Le 27 janvier à 12h30, Nicolas Stoquer vous donne rendez-vous pour un sujet explosif en direct sur Géopolitique Profonde :
La thèse de la fuite de laboratoire prend désormais le devant de la scène internationale. Le nouveau directeur de la CIA affirme que l’origine du Covid-19 est plus probablement liée à une fuite accidentelle dans un laboratoire de Wuhan qu’à une transmission naturelle. Ces déclarations marquent un tournant décisif et confirment ce que certains dénonçaient depuis des années.
Une confirmation tardive qui bouleverse le narratif officiel
Pendant des années, la théorie d’une fuite de laboratoire a été écartée comme « complotiste ». Pourtant, des alertes précoces, notamment celles du professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, auraient dû mettre en garde les décideurs. Dès 2020, il pointait des anomalies dans le génome du virus, suggérant des manipulations humaines. Moqué, censuré, il voit aujourd’hui ses affirmations réhabilitées par les déclarations explosives de la CIA.
Le FBI, déjà engagé sur cette piste en 2023, soutient désormais officiellement cette thèse. Mais cette confirmation tardive soulève une question brûlante : qui savait, et qui a choisi de se taire ? Les gouvernements, les organisations internationales comme l’OMS et même des figures clés de la science mondiale sont aujourd’hui sous le feu des projecteurs.
Qui sera tenu pour responsable ?
La révélation d’une fuite de laboratoire implique des responsabilités multiples. D’abord, la Chine est directement accusée de négligences graves dans la gestion du laboratoire de Wuhan. Pékin nie catégoriquement, mais la pression internationale augmente. Si une fuite accidentelle est confirmée, les demandes de réparations économiques et politiques se multiplieront.
Cependant, la Chine n’est pas seule en cause. Des documents dévoilés récemment montrent que des subventions américaines, via des programmes comme celui du NIH (National Institutes of Health), ont financé des recherches controversées au laboratoire de Wuhan. Anthony Fauci, autrefois intouchable, est désormais accusé d’avoir soutenu ces projets malgré les risques connus. Cette coopération scientifique sino-américaine place Washington dans une position délicate, divisée entre désignation de boucs émissaires et protection de ses propres institutions.
Enfin, les grandes organisations internationales, telles que l’OMS, pourraient également être incriminées pour leur gestion opaque et leur refus d’investiguer sérieusement l’hypothèse d’une fuite de laboratoire. Ces entités devront répondre de leurs décisions face à une opinion publique de plus en plus méfiante.
Une manipulation mondiale révélée
Les implications de cette révélation vont bien au-delà de l’origine du virus. Les mesures prises par les gouvernements – confinements, pass sanitaires, campagnes d’injections massives – apparaissent désormais sous un jour nouveau. La gestion de la pandémie semble avoir été guidée autant par des considérations politiques que sanitaires.
Certains évoquent une instrumentalisation de la crise pour accroître le contrôle étatique sur les populations. Cette stratégie mondiale est aujourd’hui remise en cause, et les responsables politiques pourraient être confrontés à des procès pour leurs choix controversés. En Europe, en particulier, des voix s’élèvent pour demander des enquêtes indépendantes sur les décisions prises pendant la pandémie.
Un tournant géopolitique majeur
Ces révélations entraînent également des conséquences géopolitiques d’ampleur. Les États-Unis, en rendant ces informations publiques, visent directement la Chine, mais risquent également de s’exposer à des critiques internes. Cette affaire devient le théâtre d’une confrontation entre les puissances mondiales, chacune tentant de détourner l’attention de ses propres responsabilités.
La « boîte de Pandore » désormais ouverte, l’opinion publique réclame des comptes. Les responsables, qu’ils soient scientifiques, politiques ou institutionnels, devront bientôt affronter des conséquences juridiques et diplomatiques. Les tensions entre Pékin et Washington atteignent un point critique, tandis que des pays comme la Russie et l’Inde, moins impliqués dans les accusations, observent et préparent leur riposte stratégique.
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