🔥 Les essentiels de cette actualité
- Découvrez comment Anthony Fauci et le laboratoire de Wuhan ont contourné le moratoire sur les recherches à gain de fonction, révélant une corruption sanitaire mondiale.
- Explorez les liens troubles entre le P4 de Wuhan et la France, avec BioMérieux et Alain Mérieux au cœur d’une coopération opaque.
- Apprenez pourquoi des traitements efficaces comme l’hydroxychloroquine ont été écartés pour imposer une dépendance mondiale aux vaccins et aux tests PCR.
- Comprenez comment Facebook et les géants du numérique ont muselé les voix dissidentes, imposant un narratif officiel au détriment de la vérité.
Le 12 avril à 9h, le Docteur Typhaine Pinsolle et Myriam Palomba sont les invitées de Mike Borowski sur Géopolitique Profonde.
Le Dr Typhaine Pinsolle est une scientifique française spécialisée en microbiologie médicale. Elle est connue pour ses prises de position concernant la pandémie de COVID-19 et les vaccins, qu’elle qualifie d’armes biologiques. Forte de son expertise, elle se distingue par ses analyses pointues sur des sujets scientifiques complexes, notamment la protéine Spike, et se positionne en opposition au narratif officiel.
Myriam Palomba est une journaliste et directrice de rédaction française, connue pour son travail dans la presse people. Elle a occupé des postes clés dans des magazines tels que Public et est également active dans la production de contenu digital. Myriam Palomba se distingue par son franc-parler et son regard critique sur les médias et la politique.
La version officielle d’un virus émergé d’un marché aux animaux ne résiste plus aux faits. Derrière l’épidémie, c’est un réseau international d’alliances troubles entre scientifiques, institutions sanitaires, géants du numérique et industriels qui se dessine. Fauci, EcoHealth Alliance, Facebook, BioMérieux et le laboratoire P4 de Wuhan sont au cœur de cette stratégie mondiale où la science devient un instrument de domination.
Cette enquête révèle comment Fauci et le laboratoire de Wuhan incarnent les rouages d’une corruption sanitaire mondiale aux ramifications multiples.
Fauci et Wuhan : le contournement du moratoire, au cœur de la corruption sanitaire
En 2014, les États-Unis imposent un moratoire sur les recherches dites « à gain de fonction », qui visent à rendre les virus plus dangereux pour mieux les étudier. Mais ce moratoire est contourné. Anthony Fauci, par l’intermédiaire de l’EcoHealth Alliance, transfère ces expérimentations vers la Chine. Le laboratoire P4 de Wuhan, cofinancé par la France, devient le théâtre d’opérations clandestines financées par des fonds publics américains. Des documents du NIH prouvent que ces fonds ont servi à rendre les coronavirus plus transmissibles entre humains.
Ce détournement scientifique est loin d’être isolé. Il s’inscrit dans une mécanique bien huilée, où des acteurs comme Facebook jouent un rôle clé. Mark Zuckerberg propose à Fauci un appui algorithmique pour museler toute voix dissidente. Résultat : le débat scientifique est supprimé, les médecins sont censurés, et une vérité officielle s’impose à coups de bannissements numériques. Le mensonge se diffuse à grande vitesse, protégé par le bouclier des géants du numérique.
Corruption sanitaire : les liens troubles entre le P4 de Wuhan et la France
Le laboratoire P4 de Wuhan n’est pas une anomalie chinoise. Il est le fruit d’une coopération franco-chinoise initiée par Alain Mérieux et son entreprise BioMérieux. Inspiré du modèle lyonnais, le P4 de Wuhan est conçu avec des technologies françaises. Mais très vite, Pékin évince les experts français, verrouille le site et poursuit ses recherches dans l’opacité la plus totale. L’État français, loin de dénoncer cette trahison, se tait. Ce silence n’est pas un oubli : il protège des intérêts économiques puissants.
BioMérieux, en participant à cette aventure, cherchait à pénétrer le marché chinois du diagnostic. L’entreprise a fourni son savoir-faire sans en exiger le contrôle, légitimant une structure opaque sans garde-fous. La corruption sanitaire prend ici tout son sens : des institutions publiques et des industriels collaborent à des projets incontrôlables, au mépris des conséquences sanitaires. Le lien entre Wuhan et Lyon est direct, et la responsabilité française est totale.
Vaccin, tests PCR et interdiction des traitements
Au début de la crise, des traitements efficaces sont volontairement écartés. Hydroxychloroquine, ivermectine, azithromycine : tout est fait pour discréditer les approches alternatives. Cette interdiction n’est pas scientifique, elle est stratégique. Il fallait créer une dépendance mondiale au vaccin, justifier les campagnes de tests de masse, verrouiller la médecine autour d’un narratif unique. Ce verrouillage n’a pas protégé la population : il a enrichi les acteurs de la crise.
BioMérieux, une fois encore, se retrouve au bon endroit. Spécialiste des tests PCR, l’entreprise explose ses bénéfices en 2020, avec une hausse de 19 % de son chiffre d’affaires. Chaque test devient un produit de consommation imposé. Et chaque patient testé alimente une machine à profits soutenue par les États. En éliminant les traitements précoces, le système a prolongé artificiellement la pandémie pour maximiser les retours sur investissement des laboratoires.
La crise du Covid-19 ne se résume pas à une catastrophe sanitaire : elle dévoile une corruption systémique où Fauci, Wuhan et de puissants acteurs de l’industrie manipulent la vérité au nom du pouvoir. Dévoiler cette corruption sanitaire n’est pas une option, c’est une urgence démocratique.
IMPORTANT - À lire
Découvrez chaque mois dans notre revue papier des analyses approfondies sur la corruption sanitaire mondiale. Nous dévoilons les réseaux opaques qui lient des acteurs comme Fauci, Wuhan et les géants de l'industrie, et qui manipulent la vérité au nom du pouvoir.
Notre revue va plus loin que cet article et explore les ramifications géopolitiques de cette crise sanitaire. Vous y trouverez des enquêtes exclusives pour mieux comprendre comment la science est devenue un instrument de domination, au mépris de la santé publique.