Le 4 avril à 19h, Sylvie Charles est l’invitée de La Grande Émission animée par Nicolas Stoquer en direct sur Géopolitique Profonde.
Sylvie Charles est une citoyenne engagée dans un combat contre les institutions. Son père a été retrouvé assassiné en 2010 et son enquête va lui faire découvrir un véritable réseau mafieux au sein des institutions françaises. La corruption à tous les étages.
Une alerte citoyenne contre la dépossession politique
Depuis le 9 novembre 2024, Sylvie Charles incarne une résistance assumée face à ce qu’elle dénonce comme une perte de souveraineté brutale orchestrée par des forces extérieures. À travers ses lettres ouvertes, elle interpelle directement les figures clés de la scène internationale, du secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres au chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov, pour dénoncer leur rôle, actif ou complice, dans les dynamiques d’ingérence qui minent la France. Loin d’un simple geste symbolique, cette prise de parole s’inscrit dans une volonté d’alerte stratégique face à une dérive globale qui ne dit pas son nom.
Le discours de Sylvie Charles tranche avec le silence complice des élites : elle accuse frontalement l’Organisation de Coopération Islamique d’avoir infiltré les plus hautes sphères de l’État français. Pour elle, ce n’est plus une question d’influence, mais d’occupation idéologique dissimulée, agissant sur les leviers politiques, juridiques et culturels du pays. Ce constat explosif résonne dans un climat de défiance grandissante où les citoyens réclament des comptes sur la perte d’indépendance nationale.
Des pressions multilatérales à la soumission programmée
Les institutions internationales ne sont plus perçues comme des arbitres neutres. L’ONU, sous la houlette de Guterres, est pointée pour son alignement systématique sur des agendas globalistes, jugés hostiles aux intérêts fondamentaux des nations souveraines. Pour Sylvie Charles et ses alliés, la France ne gouverne plus : elle applique. Entre directives européennes, pressions transatlantiques et lobbies étrangers, les décisions locales deviennent les échos d’objectifs mondiaux incompatibles avec l’identité française.
La diplomatie n’échappe pas à ce constat. Le soutien tacite ou ouvert de certaines puissances, comme la Russie ou des blocs islamiques, participe selon elle à une recomposition idéologique de la France, non pas par la force militaire, mais par l’imposition culturelle, migratoire et juridique. C’est ce basculement silencieux que le collectif de résistants entend stopper net, en réveillant les consciences.
Une mobilisation française en construction
Le combat de Sylvie Charles ne se mène pas seule. Autour d’elle, une constellation de citoyens engagés, avocats, enseignants, fonctionnaires et simples patriotes, prennent le relais pour structurer une résistance active, durable et coordonnée. Des réunions discrètes, des canaux de communication sécurisés, et une volonté de réappropriation politique animent ce nouveau front populaire de souveraineté.
Loin des partis traditionnels, cette résistance se positionne comme un rempart frontal contre la dilution de l’État français dans des structures supranationales opaques. L’enjeu n’est plus électoral, il est existentiel. Il s’agit de sauver ce qui reste de l’autonomie française avant qu’elle ne devienne une fiction historique. Et cette mobilisation, désormais reconduite officiellement, ne compte plus reculer.
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