Injustice : Non lieu pour Veran, Buzyn et Philippe

La Cour de justice de la République prononce un non-lieu pour Buzyn, Véran et Philippe : retour sur une décision qui choque l’opinion publique. La Cour de justice de la République prononce un non-lieu pour Buzyn, Véran et Philippe : retour sur une décision qui choque l’opinion publique.

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Le 9 juillet à 12h30, Mike Borowski dévoile un direct explosif sur Géopolitique Profonde. Ne manquez pas ce rendez-vous choc.
  • La Cour de justice de la République accorde l’immunité d’État aux ministres pour leur gestion du Covid-19, malgré les plaintes et les morts.
  • Le non-lieu total pour Agnès Buzyn, Olivier Véran et Édouard Philippe acte l’impunité systémique des élites. Aucune justice pour les victimes.
  • La CJR, une anomalie démocratique, refuse d’instruire sérieusement. Le système protège ses agents comme une mafia. La vérité est enterrée.

Le 9 juillet à 12h30, Mike Borowski vous propose un direct explosif, sur Géopolitique Profonde.

Non-lieu covid : l’immunité d’État actée par la Cour de justice de la République

La Cour de justice de la République a tranché : Agnès Buzyn, Olivier Véran et Édouard Philippe ne seront jamais jugés pour leur gestion du Covid-19. Poursuivis depuis 2020 pour mise en danger de la vie d’autrui et abstention volontaire de combattre un sinistre, ils bénéficient aujourd’hui d’un non-lieu total.

Une décision aussi politique que judiciaire, qui acte l’impunité systémique des élites d’État. Malgré les morts, les mensonges, les traitements indignes imposés à des milliers de patients, aucun responsable n’aura à répondre de ses actes devant un tribunal.

Le cœur de l’argument repose sur l’idée que ces ministres auraient « pris de nombreuses initiatives » face à la pandémie. Une fiction institutionnelle qui enterre toute possibilité de justice. Le non-lieu requis dès le mois de mai par Rémy Heitz, procureur général près la Cour de cassation, annonçait déjà la fin du simulacre.

Aucune mise en examen. Aucun procès. Aucun débat public. Rien. Juste un parapluie judiciaire déployé pour couvrir les décisions politiques les plus violentes jamais imposées en temps de paix à la population française.

La CJR verrouille le système

La Cour de justice de la République est une anomalie démocratique, construite pour que les ministres échappent au droit commun. Composée en majorité de parlementaires, elle agit comme un organe de protection mutuelle. Depuis sa création, elle a rarement condamné.

Dans cette affaire, elle a même refusé d’instruire sérieusement. Les plaintes de médecins, d’associations, de familles de victimes ont été balayées comme autant de poussières gênantes sur le marbre du pouvoir.

Les magistrats n’ont pas cherché à savoir pourquoi le Rivotril a été injecté massivement dans les Ehpad, ni pourquoi les masques ont été refusés aux soignants. Ils ont ignoré la destruction volontaire du stock stratégique, l’incompétence des autorités sanitaires, les décisions politiques prises dans le mépris total de la médecine de terrain.

La justice a simplement décidé que tout avait été fait « dans l’urgence », sans malveillance apparente. La fameuse « bonne foi » des gouvernants vaut désormais absolution, même lorsque les faits sont accablants.

Non-lieu covid et doctrine d’État : quand le mensonge devient loi

Ce non-lieu ne repose pas sur une vérité juridique, mais sur une doctrine d’État : les décisions prises au nom de la crise ne seront jamais jugées. La pandémie a servi de prétexte à l’imposition d’un régime d’exception. Confinements arbitraires, propagande sanitaire, censures, restrictions absurdes : tout cela s’est déroulé dans une impunité totale.

Loin d’en tirer des leçons, le système entérine la possibilité de recommencer. Pire encore, il sanctuarise l’idée qu’un ministre ne peut jamais être tenu pour responsable des conséquences de ses actes.

Cette décision clôt symboliquement la phase judiciaire de la crise du Covid-19 en France. Elle valide le narratif officiel, efface les erreurs, et interdit toute remise en cause. Les victimes n’auront pas droit à un procès. Les familles endeuillées n’auront pas droit à la vérité. Le système protège ses agents comme une mafia protège ses parrains. La justice n’a plus de comptes à rendre au peuple. Elle ne sert plus la vérité. Elle protège le pouvoir.

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