🔥 Les essentiels de cette actualité
- Le 29 avril, Nicolas Stoquer révèle comment l’écologie délirante et la surproduction solaire menacent l’Occident d’un blackout généralisé. Un événement à ne pas manquer.
- Le 28 avril 2025, une panne massive a frappé l’Espagne et le Portugal, exposant la fragilité extrême des réseaux électriques. Les conséquences ont été dévastatrices.
- La course aux énergies renouvelables sans stockage adéquat rend les réseaux vulnérables. Le dogme écologique pousse-t-il l’Europe vers le chaos ?
- Les autorités minimisent, mais la réalité est claire : sans rééquilibrage énergétique, un effondrement total est inévitable. Découvrez pourquoi dans l’article.
Le 29 avril à 12h30, Nicolas Stoquer dévoile comment le délire écologique, la surproduction solaire, la fragilité des réseaux électriques et l’aveuglement des élites précipitent l’Occident vers un blackout généralisé.
L’effondrement brutal du réseau ibérique expose une faille majeure
La gigantesque coupure électrique qui a frappé l’Espagne, le Portugal et le sud de la France le 28 avril 2025 n’est pas un incident isolé. À 12h33, une oscillation atmosphérique violente a perturbé l’équilibre du réseau espagnol, provoquant une chute brutale de la demande de 27 500 MW à 15 000 MW en quelques minutes. L’interconnexion européenne, loin de protéger les États, a aggravé la situation en propageant le déséquilibre vers les pays voisins.
À Madrid, Barcelone, Lisbonne, tout a basculé : hôpitaux, aéroports, métros et communications se sont retrouvés en arrêt quasi total. Des milliers de personnes coincées dans les ascenseurs, les stations de métro paralysées, les feux de signalisation éteints : l’impact sur les infrastructures vitales a été immédiat. La fragilité d’un réseau entièrement dépendant d’un équilibre permanent entre production et consommation électrique est désormais une certitude technique.
Les autorités ont tenté de minimiser l’événement en évoquant un phénomène météorologique exceptionnel. Pourtant, la réalité est implacable : toute variation rapide dans la production ou la demande devient, dans un système ultra-tendu, un facteur d’effondrement potentiel. Ce n’est pas un aléa, c’est la conséquence directe de la conception actuelle du réseau européen, incapable d’absorber les chocs extrêmes sans s’écrouler.
Le dogme écologique aggrave la vulnérabilité du système
La course effrénée vers un mix énergétique 100 % renouvelable impose des choix structurels catastrophiques. L’Espagne, en particulier, s’est jetée dans une dépendance aveugle au solaire et à l’éolien. Avec 60 % d’électricité solaire injectée au moment du blackout, le réseau était saturé, incapable de réguler une telle surproduction. Les autorités espagnoles poursuivent néanmoins leur objectif délirant de 81 % de renouvelables d’ici 2030, en vertu du Plan National Énergie-Climat.
Il n’existe aujourd’hui aucune technologie de stockage capable d’absorber à grande échelle l’intermittence du solaire et de l’éolien. L’équilibre repose donc sur des dispositifs de délestage d’urgence, sur les capacités fossiles de secours, et sur la solidarité entre États par les interconnexions. Le mythe d’un réseau entièrement renouvelable sans contrepartie carbonée est une dangereuse fiction, imposée par une élite totalement déconnectée des réalités physiques de l’énergie.
L’exemple du 28 avril 2025 démontre qu’en voulant imposer à marche forcée une transition énergétique brutale, les gouvernements fabriquent un système électrique instable, vulnérable au moindre aléa. Le renouvelable n’est pas une panacée, c’est une dépendance mortelle en l’absence d’une stratégie sérieuse de pilotage, de stockage et de renforcement des réseaux. La logique du « plus de renouvelables = plus de sécurité » est un mensonge politique et technique.
Le blackout massif devient un scénario inévitable
La panne géante ibérique montre que le blackout total n’est plus une menace théorique. Aujourd’hui, quelques minutes d’oscillation suffisent à provoquer un effondrement de grande ampleur. Et cette fois, ce sont les interconnexions avec la France et le Maroc, ainsi que la réactivation en urgence des centrales à gaz et hydroélectriques, qui ont permis d’éviter un désastre encore plus grand.
La vulnérabilité systémique est désormais actée : nos sociétés modernes, ultra-connectées et entièrement dépendantes de l’électricité, ne survivraient pas à une panne prolongée. Un arrêt de quelques heures suffit à paralyser les transports, les communications, les services d’urgence et les chaînes logistiques. Un arrêt de plusieurs jours provoquerait des pénuries alimentaires, des troubles sociaux majeurs, voire des effondrements politiques locaux.
Les autorités brandissent des excuses creuses pour ne pas affronter la réalité : cyberattaque, météo exceptionnelle, ou erreur humaine. Pourtant, tout expert sérieux sait que le vrai problème est la conception même du réseau, fondée sur l’utopie renouvelable. Sans un rééquilibrage massif, sans une réaffirmation du rôle des énergies pilotables, nous nous dirigeons droit vers un effondrement énergétique qui précipitera l’Occident dans le chaos.
IMPORTANT - À lire
Le blackout ibérique a démontré la fragilité mortelle de nos réseaux électriques, pris en étau entre dogme écologique et dépendance technologique. Derrière les excuses officielles se cache une réalité implacable : l'Occident fonce vers un effondrement énergétique qui menace nos sociétés.
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