🔥 Les essentiels de cette actualité
- Le 21 avril, Mike Borowski révèle une France soumise, piégée par l’illusion de sécurité et la propagande. La soumission est devenue une norme post-Covid. Découvrez comment la désobéissance s’éteint.
- Les Français expriment une fierté face à leur obéissance, conditionnés dès l’école et par les médias. Comprenez le mécanisme de cette soumission orchestrée.
- La sécurité est utilisée comme chantage pour justifier le contrôle. Apprenez comment la peur a court-circuité le discernement des citoyens.
- La désobéissance consciente est la seule issue. Découvrez l’appel à agir en conscience pour une émancipation nécessaire.
Le 21 avril à 12h30, Mike Borowski dévoile une France profondément soumise, piégée entre illusion de sécurité, propagande étatique et extinction de la désobéissance.
Soumission collective en France : une nouvelle norme post-Covid
Ce que révèle le micro-trottoir réalisé cette semaine par Mike Borowski, ce n’est pas une anomalie dans le comportement des Français, mais une constance glaçante. À travers les réponses des passants, on comprend que la soumission n’est plus perçue comme une faiblesse mais comme une vertu sociale. Beaucoup déclarent qu’ils referaient « exactement pareil », qu’ils referaient confiance à l’État, qu’ils suivraient les consignes sans discuter. Cette docilité assumée montre que la désobéissance n’est plus une option pour une majorité. Le conditionnement a fonctionné.
Il ne s’agit pas d’un phénomène spontané. Cette obéissance aveugle a été fabriquée. Depuis l’école, on apprend à ne pas remettre en cause les autorités. Depuis les médias, on répète que l’État agit toujours pour notre bien. Cette double propagande a installé un réflexe mental : toute remise en question devient une menace, et donc un danger à éliminer. L’esprit critique est perçu comme une dérive, la rébellion comme une folie. C’est ainsi qu’on tue toute possibilité de résistance en amont.
Le plus inquiétant, c’est la satisfaction que ces individus expriment face à leur propre obéissance. Ils ne ressentent aucune gêne à dire qu’ils ont porté un masque seul dans la rue, qu’ils ont dénoncé un voisin, ou qu’ils ont pris dix doses de vaccin sans se poser une seule question. Ils sont fiers de leur docilité, car le système leur a vendu cette attitude comme un acte de « solidarité ». En réalité, c’est une soumission de masse, psychologiquement orchestrée, qui ne dit pas son nom.
L’illusion de sécurité est le moteur principal du contrôle
Ce que ces témoignages confirment, c’est que la sécurité est devenue l’argument ultime. Les Français sont prêts à sacrifier leur liberté, leur autonomie, leur lucidité, tant qu’ils se sentent « protégés ». Le virus a servi d’outil pour ancrer cette idée : pour être en sécurité, il faut obéir. Ce chantage a fonctionné parfaitement. La peur a court-circuité toute forme de discernement. Le citoyen moderne veut être rassuré, non pas libre.
Ce mécanisme ne relève pas d’un hasard. Il s’inscrit dans une stratégie de gouvernance par la peur, qui s’est industrialisée depuis vingt ans. Chaque nouvelle menace – sanitaire, climatique, terroriste – justifie un renforcement du contrôle. Chaque crise permet au pouvoir de tester de nouveaux dispositifs de surveillance. Et à chaque fois, la population accepte, parfois même réclame plus de restrictions. Ce cycle infernal est désormais intégré comme une routine.
Mais cette sécurité est un leurre. Elle n’existe que dans les discours officiels. La réalité, c’est que les mesures sanitaires n’ont jamais protégé qui que ce soit. Elles ont détruit des vies, ruiné des économies, fracturé les relations sociales. Pourtant, ceux qui ont souffert de ces politiques continuent de croire qu’elles étaient nécessaires. La cognitive dissonance est telle que les gens préfèrent souffrir encore plutôt qu’admettre qu’ils ont été manipulés. Le système a gagné non pas par la force, mais par l’illusion.
Sortir de la soumission collective : l’appel à une désobéissance consciente
Face à cette normalisation de l’obéissance, la seule issue possible est la désobéissance. Mais pas une révolte impulsive ou désorganisée. Une désobéissance consciente, construite, informée. Chaque individu doit comprendre les mécanismes de contrôle qui l’enferment. Tant que cette prise de conscience n’a pas lieu, les chaînes mentales resteront en place. Le combat est psychologique avant tout. Il commence par refuser les récits imposés.
Cette désobéissance n’est pas un acte marginal. C’est un devoir. L’Histoire l’a prouvé à maintes reprises : les sociétés ne se libèrent jamais sans une minorité déterminée à dire non. Aujourd’hui encore, cette minorité existe. Elle se forme, s’informe, agit localement. Ce sont les voix dissidentes, les créateurs de médias indépendants, les lanceurs d’alerte, les résistants du quotidien. Ils ne cherchent pas à convaincre tout le monde. Ils cherchent à tenir, à exister, à fissurer le mur du mensonge.
Rien n’est perdu. Le système ne peut pas effacer la vérité, même s’il la réprime. Plus la propagande s’intensifie, plus elle révèle sa faiblesse. Chaque acte de refus, chaque parole libre, chaque question posée devient un acte de résistance. Il ne faut pas attendre une solution miracle. Il faut devenir la solution. C’est dans cette dynamique que l’espoir renaît. Un espoir qui ne repose pas sur un sauveur, mais sur la lucidité individuelle et collective.
La soumission collective face au Covid n’est pas un simple épisode de panique, mais le fruit d’un conditionnement de longue date. Comprendre ce mécanisme, c’est poser les bases d’une émancipation nécessaire.
Il ne s’agit plus de subir, mais d’agir en conscience. En France, comme ailleurs, refuser cette soumission est aujourd’hui un enjeu de survie démocratique.
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