Urgent : la tyrannie contre les soignants résistants continue !

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🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Le 29 juin à 17h, découvrez un reportage unique de Mike Borowski devant le Conseil de l’Ordre des Infirmiers à Paris, soutenant Élodie Casaubieilh et les soignants résistants.
  • Des citoyens venus de France et du Luxembourg expriment leur indignation et solidarité face à une justice qui broie les soignants.
  • Médecins, victimes, observateurs : tous refusent l’amnésie imposée par le récit officiel et réclament la vérité.

Le 29 juin à 17h, Mike Borowski vous propose de découvrir un reportage exceptionnel : il était présent devant le Conseil de l’Ordre des Infirmiers à Paris, non seulement pour soutenir Élodie Casaubieilh, mais aussi pour donner la parole à ceux que l’on n’entend jamais. Face à une justice qui broie ses soignants résistants, il a tendu le micro à des citoyens venus de toute la France — et même du Luxembourg — pour exprimer leur indignation, leur solidarité et leur vérité. Médecins, victimes, simples observateurs : tous refusent l’amnésie imposée par le récit officiel.

Élodie Casaubieilh, infirmière résistante : une soignante sacrifiée pour avoir sauvé

Élodie Casaubieilh n’a pas plié. Infirmière libérale durant la crise sanitaire, elle a fait un choix radical : refuser l’injection expérimentale et permettre à des centaines de Français d’échapper à une obligation injuste. En produisant de faux pass vaccinaux, elle n’a pas trahi sa mission, elle l’a incarnée pleinement.

Ce n’était pas une fraude, mais un acte de résistance. Elle a protégé, soigné, agi là où d’autres ont obéi sans réfléchir. Résultat : dénoncée par ses propres associés, elle a été broyée par l’institution. Condamnée à quatre mois de prison avec sursis, radiée à vie par le conseil de l’ordre, elle incarne aujourd’hui le prix de la désobéissance éthique.

Lundi dernier, elle comparaissait en appel à Paris. Une nouvelle étape dans son combat, mais surtout un moment crucial pour des milliers de citoyens qui refusent l’amnésie collective. Car ce qui est en jeu dépasse son cas personnel. C’est toute une mémoire qu’on tente d’enterrer, toute une génération de soignants résistants qu’on veut faire taire.

Leur crime ? Avoir dit non, là où la peur imposait le silence. Leur faute ? Avoir soigné selon leur conscience, et non selon les directives d’un appareil sanitaire devenu autoritaire.

La France isole, le Luxembourg reconnaît

Sur place, les soutiens étaient nombreux. Des dizaines de citoyens, venus parfois de loin, ont fait le déplacement pour rendre hommage à une femme qui a pris des risques réels pour en protéger d’autres. Parmi eux, un médecin français qui, lui aussi, a fourni des faux pass. Il passera devant la justice en novembre. Ce n’est pas un cas isolé. C’est un réseau de soignants qui ont assumé des choix courageux, aujourd’hui criminalisés pour avoir tenu bon face à la pression systémique.

Et pendant que la France punit, d’autres pays reconnaissent. Des Luxembourgeois présents l’ont affirmé sans détour : au Grand-Duché, les victimes d’effets secondaires sont désormais reconnues. Des dispositifs existent, les cas sont étudiés, les autorités assument leur part de responsabilité. En France, c’est l’omerta. On radie, on condamne, on écrase ceux qui refusent la ligne officielle. L’écart entre les nations se creuse, et il devient impossible de prétendre que tout cela appartient au passé.

Une tyrannie sanitaire toujours active

La tyrannie sanitaire n’a pas disparu. Elle a changé de visage, mais elle agit encore. Moins médiatisée, plus insidieuse, elle continue de s’en prendre à ceux qui ont résisté. Radiations professionnelles, harcèlements administratifs, procès sans fin : la répression se poursuit en coulisses, loin des projecteurs. L’objectif est clair : décourager toute forme de contestation, effacer les traces de ce que fut la résistance médicale face à une politique sanitaire brutale.

Ce micro-trottoir donne la parole à ces invisibles. Il documente une mémoire interdite, celle des soignants qui ont choisi la vérité au lieu de la soumission. Ce n’est pas une page tournée. C’est une réalité toujours vivante, une fracture béante dans le tissu républicain. Ceux qui ont défendu la vie contre la doxa doivent être entendus. Car ce qui s’est joué hier continue de se jouer aujourd’hui : le combat pour une médecine libre, humaine, et enracinée dans la conscience.

IMPORTANT - À lire

Vous avez été témoin d'une injustice envers nos soignants résistants, qui se battent pour nous tous. Mais leur combat ne fait que commencer, et il est temps de leur donner une voix. Notre revue papier approfondit chaque mois les analyses d'actualité et de géopolitique liées à ces enjeux cruciaux.

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