Le 4 avril à 12h30, Mike Borowski vous donne rendez-vous pour un commenter un sujet d’actualité, en direct sur Géopolitique Profonde.
Une pandémie gérée comme un crime d’État
Robert F. Kennedy Jr. ne nuance pas. Le nouveau ministre de la Santé américain, nommé par Donald Trump, dénonce un véritable massacre sanitaire orchestré sous couvert de lutte contre le COVID-19. Pour lui, les responsables de cette hécatombe sont identifiés : Anthony Fauci, Bill Gates, et tout un complexe politico-pharmaceutique qui a imposé des mesures liberticides, supprimé des traitements efficaces et précipité une vaccination massive sans fondement scientifique réel.
Kennedy martèle un constat : l’usage du pouvoir a remplacé la rigueur scientifique. Les confinements, les interdictions de prescription, la censure des médecins, la stigmatisation des traitements alternatifs comme l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine ont conduit à une tragédie mondiale évitable. Cette stratégie, il la qualifie de « comportement criminel, immoral et homicide ». Ce n’est plus une polémique, c’est une mise en accusation historique, qui vise le cœur du système de santé mondial.
L’histoire jugera, insiste-t-il, mais les faits sont déjà là. Les pays qui ont rejeté la ligne officielle ont connu des taux de mortalité plus faibles. L’Afrique subsaharienne, peu vaccinée et largement réfractaire aux mesures coercitives, s’en est mieux sortie que les nations les plus soumises aux diktats de l’OMS. Ce n’est pas une coïncidence, mais une démonstration éclatante de l’échec du modèle imposé.
La jeunesse sacrifiée sur l’autel de l’idéologie sanitaire
Les conséquences sont tragiques et mesurables. Les jeunes, auparavant en parfaite santé, sont désormais confrontés à une explosion des cas de myocardite et d’arrêts cardiaques. Le lien avec la vaccination n’est plus tabou : il est évident pour Kennedy et confirmé par une hausse sans précédent de la mortalité subite chez les sportifs. Le chiffre est glaçant : plus de 100 athlètes meurent chaque mois sur le terrain, contre 29 avant la crise.
Kennedy insiste : ces morts ne sont pas des accidents, ce sont des conséquences directes d’un protocole sanitaire mortifère. Les autorités ont volontairement ignoré les signaux d’alerte. Les bases de données de pharmacovigilance, comme le VAERS aux États-Unis, explosent sous les effets secondaires graves. Mais plutôt que d’enquêter, les institutions ont choisi de censurer et de dissimuler. La vérité a été sacrifiée sur l’autel du narratif.
Le ministre dénonce également le rôle des médias de masse, complices par leur silence. Alors que les témoignages affluent, que les médecins indépendants alertent et que les chiffres parlent d’eux-mêmes, les grands canaux d’information persistent à nier la réalité. Cette omerta médiatique est un pilier essentiel du système de manipulation mis en place.
Une rupture totale avec le narratif officiel
Kennedy accuse frontalement et expose une stratégie globale d’ingénierie sociale, masquée derrière la gestion sanitaire. Le mensonge, la peur et la coercition ont été les outils d’un contrôle totalitaire expérimental, désormais documenté et assumé. La pseudo-science s’est érigée en dogme, interdisant tout débat et criminalisant la vérité.
Cette rupture assumée avec le récit officiel n’est pas une lubie : c’est une offensive argumentée, chiffres à l’appui. Kennedy pose un ultimatum aux citoyens : continuer à croire des institutions gangrenées par les conflits d’intérêts, ou se réapproprier l’information et la responsabilité individuelle. Pour lui, le choix est déjà fait.
Il annonce d’ailleurs la création prochaine d’un groupe d’experts indépendants chargé de faire toute la lumière sur la gestion de la crise. Objectif : enquêter, révéler, juger. Une déclassification complète des documents liés aux décisions sanitaires est également à l’ordre du jour. Kennedy ne veut pas seulement briser le silence — il veut faire tomber les responsables.
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