🔥 Les essentiels de cette actualité
- Alexandre Juving-Brunet lance le Franc Libre X (FLX), une crypto-monnaie adossée à l’or, visant à remplacer l’euro numérique et défier le contrôle bancaire.
- Le FLX est le moteur d’une société parallèle portée par les Comités de Salut du Peuple et Le Peuple de France, favorisant l’autonomie et la solidarité.
- Stratège assumé, Juving-Brunet prend des risques juridiques pour refonder la souveraineté populaire et préparer l’après-effondrement de l’euro.
Le 16 juillet à 19h, Alexandre Juving-Brunet est l’invité de Mike Borowski, en direct sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !
Alexandre Juving-Brunet est une figure publique connue pour son engagement dans divers mouvements sociaux et politiques. Ancien capitaine de gendarmerie, il s’est fait remarquer par son implication dans des initiatives citoyennes et a été médiatisé pour ses prises de position sur des questions de souveraineté nationale et de résistance civile.
Offensive monétaire contre l’euro numérique
Le Capitaine Alexandre Juving-Brunet vient de franchir un cap stratégique : le Franc Libre devient FLX, une crypto-monnaie adossée à l’or, aux métaux précieux et aux terres. Ce geste n’est pas une innovation technique : c’est une déclaration de guerre à l’euro numérique, au contrôle bancaire centralisé, à la dépossession monétaire organisée par Bruxelles et la BCE.
Le FLX ne cherche pas à coexister. Il veut remplacer. Pensé comme une monnaie résistante, indépendante de tout système institutionnel, il s’affirme comme la réponse radicale à une société financiarisée jusqu’à l’os. À l’opposé d’un euro numérique opaque et programmable, le FLX promet une valeur stable, enracinée dans le réel. Juving-Brunet joue le contre-modèle, et il le fait avec méthode : refus de la spéculation, impossibilité de vendre en dessous du prix d’achat, encadrement strict de l’émission. L’objectif est clair : rétablir un pouvoir d’achat sécurisé, loin de la monnaie-dette.
Le socle d’une société parallèle
Le FLX n’est pas une crypto comme les autres. Il s’inscrit dans une stratégie globale : créer une société alternative, affranchie des institutions actuelles. Juving-Brunet l’annonce depuis des mois : il ne s’agit pas de réformer le système, mais de le remplacer. Le Franc Libre, dans sa version FLX, devient le carburant de cette société parallèle portée par les Comités de Salut du Peuple (CSP) et le parti Le Peuple de France (LPF). Réseau local, monnaie indépendante, relais politique : tous les étages sont en place.
Chaque citoyen peut devenir un acteur économique libre, sans passer par les banques ou l’État. La communauté s’organise autour de valeurs partagées : souveraineté, autonomie, solidarité. L’économie parallèle naît dans les zones rurales, les petits commerces, les circuits courts. C’est la logique de la résistance en actes : détourner les flux, réinventer les échanges, construire une légitimité nouvelle. Le FLX devient ainsi l’outil monétaire d’une contre-société en gestation.
Une stratégie risquée mais assumée
Juridiquement, Alexandre Juving-Brunet joue sur une ligne rouge. Déjà condamné à quatre mois de détention pour l’émission du Franc Libre en version papier, il relance son projet avec une audace décuplée. En optant pour une crypto, il se positionne hors du radar du système bancaire, mais il n’échappe pas à la surveillance des institutions. Son discours est tranchant : il accuse l’euro de ne plus être une monnaie, mais un instrument d’appauvrissement contrôlé. Il anticipe son effondrement et prépare le terrain d’après.
L’adossement à l’or n’est pas un gadget marketing : c’est une réponse frontale à l’inflation, à la manipulation des taux, à l’effondrement annoncé des monnaies fiat. C’est aussi un acte de foi dans la valeur tangible, enracinée. Mais c’est un pari risqué. En se positionnant en dehors du cadre légal, il expose le FLX à des attaques judiciaires, économiques, voire politiques. Le système ne tolère pas les alternatives crédibles. Et celle-ci l’est.
Le FLX est un couteau dans le cœur du système monétaire actuel. Il n’est pas un simple jeton numérique : c’est une arme de rupture, maniée par un homme qui a choisi de tout risquer pour refonder la souveraineté populaire. Juving-Brunet n’est pas suicidaire. Il est stratège. Et il avance.
IMPORTANT - À lire
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