Danger : Cette Menace Pourrait Détruire la Vie de vos Enfants !

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Farida Belghoul est une militante politique française, elle est également enseignante, romancière et réalisatrice. Elle s’est d’abord fait connaître dans les années 1980 en tant que militante antiraciste, notamment en participant à la marche pour l’égalité et contre le racisme, aussi connue sous le nom de « marche des beurs ». Plus récemment, elle a attiré l’attention pour son opposition à la “théorie du genre” dans les écoles. En plus de son activisme, Farida Belghoul a écrit des romans et réalisé des films, souvent centrés sur les thèmes de l’immigration et de l’identité.

Stéphanie Reynaud est comédienne. Elle est également passionnée par les médias et la communication, et anime la chaîne YouTube nommée Tribune Libre, où elle interviewe des personnalités diverses sur des sujets d’actualité.

Jean-Luc Robert est un auteur et conférencier français reconnu pour ses analyses critiques sur les dérives sociétales, en particulier celles liées à la santé mentale et à la neurodiversité. Après une carrière en tant que psychologue spécialisé dans les troubles du comportement chez les enfants, il se tourne vers l’écriture et la vulgarisation pour dénoncer les excès de la médicalisation à outrance. Son dernier ouvrage, Neuro divers +, explore les enjeux et les conséquences du surdiagnostic chez les jeunes et les adultes, mettant en lumière les dangers de la marchandisation de la santé mentale.

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Sylvain Baron est un militant politique français. Son parcours est marqué par une volonté farouche de dénoncer les dérives du pouvoir en place et de réveiller la conscience citoyenne.

La décadence de l’éducation nationale : un effondrement programmé ?

Depuis plusieurs années, l’éducation nationale en France connaît une chute vertigineuse. Les résultats des enquêtes internationales, comme le programme PISA, sont sans appel : la France dégringole dans les classements mondiaux, notamment dans les matières fondamentales comme les mathématiques et le français. Cette érosion du niveau scolaire est d’autant plus inquiétante que nos voisins européens, eux, continuent de progresser. Comment expliquer ce déclin ?

Plutôt que de redresser la barre en renforçant l’enseignement des matières essentielles, l’État semble avoir choisi de se concentrer sur des thématiques idéologiques : cours sur le consentement, harcèlement, écologie dite « transgenre », et autres. Or, loin d’apporter des solutions aux problèmes qu’ils prétendent résoudre, ces modules semblent envenimer la situation. La violence dans les établissements scolaires explose, les cas de harcèlement augmentent, et les enseignants comme les parents se retrouvent impuissants face à cette spirale de dégradation sociale. À qui profite vraiment ce détournement du système éducatif ?

La banalisation de la sexualité à l’école : une intrusion dans la sphère familiale

L’imposition de la loi Evras est le dernier coup porté à la confiance des parents envers le système éducatif. Cette loi impose, dès le plus jeune âge, une éducation à la vie affective et sexuelle, avec des cours qui débutent dès 5 ans. Des témoignages de parents indignés affluent, évoquant des séances jugées traumatisantes par leurs enfants, à un âge où ils ne sont pas prêts à recevoir ce type d’informations. Est-il normal que l’État décide de ce qui est approprié ou non pour nos enfants sans consulter les familles ?

Plus préoccupant encore, cette éducation sexuelle intervient dans un contexte où l’école propose également la vaccination contre le papillomavirus (HPV) directement dans les établissements. Coïncidence troublante ? Cette juxtaposition soulève des interrogations sur les véritables intentions du gouvernement : la santé publique ou une volonté de normaliser la sexualité dès le plus jeune âge ? La banalisation de la pornographie et l’exposition précoce à des questions d’adultes ne sont-elles pas des signes avant-coureurs d’une génération profondément désorientée ?

Adolescents désorientés : la génération sacrifiée

Les adolescents français sont les grandes victimes de cette déstructuration éducative. Désorientés, privés de repères moraux et intellectuels, ils évoluent dans une société qui leur impose des problématiques d’adultes sans leur donner les outils pour les affronter. Entre la pression scolaire croissante, les injonctions contradictoires des médias et l’intrusion de l’école dans la sphère privée, les jeunes se retrouvent plus fragilisés que jamais. Comment s’épanouir quand l’école, autrefois sanctuaire du savoir, devient le théâtre de ces dérives idéologiques ?

Malgré les signaux d’alarme, les réactions des enseignants et des parents se font attendre. Une forme de résignation semble s’être installée, comme si personne ne voulait véritablement affronter les causes profondes de cette désorientation. L’heure est venue de se poser la question : que restera-t-il de cette génération, si elle continue de grandir sans repères clairs ni soutien solide ?

Un système à réformer d’urgence

La dégradation de l’éducation nationale est une réalité indéniable. Loin de préparer les jeunes à affronter les défis de demain, elle les désoriente et les fragilise. Il est temps que les décideurs prennent conscience de l’urgence d’une refonte en profondeur de ce système, et qu’ils cessent d’imposer des thématiques controversées sans concertation avec les familles. La France mérite une éducation qui recentre ses priorités sur les compétences essentielles, tout en protégeant ses enfants de l’intrusion idéologique.

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1 commentaires
  1. J’ignorais que l’association SOS Education est favorable à l’éducation sexuelle à l’école à partir de l’âge de 12 ans ! C’est scandaleux car cela constitue une effraction psychique. Quelle est la position de l’association des Mamans Louves ? Pour information, dans les années 80 il n’y avait que des cours de biologie au collège et au lycée. Les enseignants de sciences naturelles se bornaient à enseigner la reproduction humaine.

    En revanche, Farida Belghoul a omis de dire que la dérive satanique que la France connaît depuis le début du XXIème siècle est due à l’absence de démocratie. Si la France était devenue une démocratie en 1958 au lieu de demeurer une oligo-ploutocratie cette dérive satanique n’aurait pas eu lieu. La Constitution de la Cinquième « République » française est en effet une Constitution oligarchique. Etienne Chouard la qualifie même d’ « anticonstitution ». Malheureusement, la plupart des droitards chérissent cette Constitution oligarchique.

    Farida Belghoul se trompe également en qualifiant de « république » le régime actuel (les quatre précédentes furent également des réprivées). C’est en réalité une réprivée (réprivée = oligo-ploutocratie), comme l’a si bien dit Valérie Bugault, docteur en droit. Si la France était une république (une république peut parfaitement être une démocratie puisque le mot « république » signifie « chose publique ») la franc-maçonnerie ne pourrait pas exercer le rôle politique qu’elle exerce.

    Les quatre fondements de la démocratie sont le RIC constituant, les autres RIC (législatif, abrogatoire, révocatoire, veto), le tirage au sort des représentants et les conventions citoyennes (définies par Jacques Testart – Tout RIC devra être précédé d’une convention citoyenne dont les quinze membres tirés au sort rendront un avis éclairé sur tel sujet après avoir écouté des experts ne partageant pas la même opinion). Il n’y a pas de partis politiques dans une démocratie. Ces derniers, arme de prédilection de l’oligarchie mondialiste, dressent les Français les uns contre les autres pour le plus grand profit de cette dernière. En revanche, les représentants pourront être des membres de cercles de réflexion (Le Cercle Aristote, la Fondation Jean-Jaurès, etc.) qui auront été tirés au sort parmi des volontaires, mais il ne sera bien sûr pas impératif d’être membre d’un cercle de réflexion pour pouvoir participer à ces tirages au sort. Les représentants seront soumis au mandat impératif, à la reddition des comptes en cours et à la fin de leurs mandats et pourront faire l’objet d’un RIC révocatoire si leurs administrés ne sont pas satisfaits de leur travail.

    Vous aurez constaté comme moi que Jean-Luc Robert cautionne l’existence des partis politiques.

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