🔥 Les essentiels de cette actualité
- Le scintillement invisible des LED affecte le système nerveux, causant fatigue, céphalées et insomnie, surtout chez les vulnérables.
- Les LED, imposées sous prétexte écologique, cachent des effets secondaires connus, avec l’État complice de cette dérive.
- La lumière bleutée des LED détruit la faune nocturne, bouleversant écosystèmes et cycles biologiques.
- Une stratégie planifiée par l’État profond vise à contrôler et déstructurer la société via les LED.
Le 14 juillet à 19h, Guillaume Brun est l’invité de Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde !
Guillaume Brun est un lanceur d’alerte et pharmacien de formation. Il s’attaque aux effets invisibles mais destructeurs de la lumière LED sur la santé humaine. En croisant données scientifiques et observations cliniques, il expose une réalité occultée : troubles neurologiques, fatigue chronique, dérèglements comportementaux, en particulier chez les enfants et les personnes sensibles. Face au silence des autorités, il affirme que l’imposition massive de cette technologie constitue une menace sanitaire systémique.
Scintillement invisible, ravages visibles
Le scintillement imperceptible des ampoules LED est un poison discret qui agit en silence sur le système nerveux. Ce phénomène, appelé flicker, n’est pas perçu par l’œil humain mais est bel et bien capté par le cerveau. Les ampoules LED fonctionnent avec une modulation rapide de courant, souvent en dessous de 1000 Hz, qui génère un clignotement continu. Ce clignotement constant agit comme une agression neurologique. Des études cliniques ont établi un lien direct entre cette fréquence lumineuse et des troubles tels que la fatigue chronique, les céphalées, les pertes de concentration et l’insomnie. Chez les plus vulnérables – enfants, personnes photosensibles, autistes – l’exposition prolongée aux LED provoque des crises, des réactions violentes, voire des décompensations neurologiques majeures.
La généralisation de ces ampoules ne s’est pas faite au hasard. Sous couvert d’objectifs écologiques, l’industrie a imposé une technologie dont elle connaissait parfaitement les effets secondaires. Les grandes firmes de l’éclairage ont privilégié des composants bon marché sans se soucier de l’impact sur la santé publique. Et l’État, complice ou aveugle volontaire, a renforcé cette dérive à coups de lois et d’interdictions ciblées – bannissant les lampes à incandescence pour mieux imposer les LED, sans débat ni consultation. La santé humaine a été sacrifiée sur l’autel d’un prétendu progrès écologique.
LED, fausse écologie, vraie destruction
Les LED sont vendues comme des solutions vertes, mais leur bilan écologique réel est un leurre. Leur lumière bleutée à forte intensité détruit la faune nocturne. Les insectes, attirés et piégés par leur spectre lumineux, meurent en masse, bouleversant toute la chaîne alimentaire. Des études européennes récentes ont démontré une baisse de 50 % des populations d’insectes dans les zones éclairées aux LED. Les oiseaux migrateurs, eux, perdent leurs repères, perturbés par la clarté constante. Les tortues marines ne retrouvent plus la mer. Même les plantes, soumises à cette lumière artificielle, modifient leur cycle biologique. L’ensemble de l’écosystème nocturne est en train d’être démantelé.
Pire, ces lumières sont maintenant omniprésentes : lampadaires, phares de voiture, enseignes, éclairage domestique. Elles envahissent l’espace de vie et provoquent une surexposition continue. Les bébés et les jeunes enfants, dont le système visuel et cérébral est en formation, subissent cette agression lumineuse dès leur naissance. Les salles de maternité, les crèches, les chambres d’hôpital sont toutes éclairées au LED. On observe une explosion des cas de troubles du comportement, de troubles du sommeil et même des diagnostics précoces de troubles du spectre autistique. Une coïncidence ? Certainement pas.
L’État profond à la manœuvre
Rien dans l’histoire récente de l’éclairage ne ressemble à une évolution naturelle. Tout indique une stratégie planifiée, soutenue par les réseaux d’influence industriels et bureaucratiques. L’État profond, cette matrice d’intérêts occultes qui transcende les gouvernements élus, a orchestré l’implantation massive de ces ampoules. Ce choix technologique s’est fait en connaissance de cause. Les études sur la toxicité neurologique des LED datent de plus de vingt ans. Pourtant, aucune instance officielle ne les a prises en compte. Mieux : elles ont été étouffées, marginalisées, ignorées.
Ce déploiement massif n’est pas qu’une aberration technique, c’est un outil de contrôle. Créer des populations épuisées, irascibles, dépendantes des soins chroniques, c’est installer une société malade sous surveillance médicale constante. Les LED contribuent à ce basculement. Elles s’insèrent dans une logique de déstructuration biologique, psychique, sociale. Ce n’est pas seulement une question de santé publique : c’est un levier de dépopulation. Une réduction discrète, non violente, progressive, à travers l’érosion silencieuse de la vitalité humaine.
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