Sommet de l’OTAN : une trahison Européenne que l’on va payer cher !

L'Europe, otage du déclin de l'empire américain : une analyse implacable de sa soumission politique, militaire et technologique. L'Europe, otage du déclin de l'empire américain : une analyse implacable de sa soumission politique, militaire et technologique.

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Découvrez l’Europe vassalisée par l’Amérique, incapable d’autonomie face aux diktats de Washington. Un protectorat humilié et dépendant.
  • Des élites européennes complices sacrifient l’intérêt national. La France brade recherche, énergie, défense. La souveraineté est un tabou.
  • Jean-Pierre Petit, visionnaire ignoré en France, révèle les armes de demain. Hypersoniques, MHD, nouvelles technologies : l’avenir des conflits.

Le 26 juin à 7h, Oskar Freysinger, Nikola Mirkovic et Jean-Pierre Petit sont les invités de Nicolas Stoquer, en direct dans La Matinale de Géopolitique Profonde !

Oskar Freysinger est un homme politique suisse, ancien vice-président de l’UDC (Union Démocratique du Centre) et ex-élu au parlement suisse. Il a également exercé la fonction de Secrétaire d’État. Aujourd’hui, il se consacre à l’écriture, la traduction et partage ses analyses en tant que chroniqueur.

Nikola Mirkovic est un auteur, diplômé de l’European Business School. Président de l’association Ouest-Est, il a mené de nombreuses missions humanitaires au Donbass en guerre ainsi qu’au Kosovo et en Métochie. Il est régulièrement invité par les médias francophones et internationaux pour ses analyses géopolitiques.

Jean-Pierre Petit, physicien et ancien chercheur au CNRS, s’est progressivement tourné vers des sujets sensibles mêlant science, géopolitique et contre-information. Connu pour ses critiques du complexe militaro-industriel, il dénonce les manipulations autour des armes secrètes (comme la MHD), les mensonges d’État et les opérations sous faux drapeau. Il aborde aussi les enjeux liés à l’énergie, à la guerre technologique et à la désinformation occidentale.

L’Europe, satellite humilié d’un empire américain déclinant

Le dernier sommet de l’OTAN a sonné comme un acte de soumission en mondovision. Les dirigeants européens, alignés sans réserve sur les diktats de Washington, n’ont opposé ni stratégie ni souveraineté. Leur attitude a confirmé une réalité désormais impossible à masquer : l’Europe n’est plus qu’un protectorat américain, dépendant politiquement, militairement et technologiquement. L’arrogance trumpienne, loin d’être une anomalie, révèle la brutalité naturelle d’un empire vieillissant qui ne supporte plus que ses vassaux rêvent de diplomatie autonome.

L’humiliation est systématique. L’Europe, notamment la France, se voit interdire toute tentative d’ouverture vers l’Est, incapable de négocier avec la Russie ou l’Iran sans recevoir l’ordre inverse le lendemain. Les accords commerciaux, les stratégies énergétiques ou les interventions au Proche-Orient obéissent aux priorités américaines. Même dans ses choix économiques, l’Europe n’est plus souveraine : son industrie est dépendante, ses données capturées, ses technologies soumises au bon vouloir des GAFAM.

Une élite européenne complice et traîtresse

L’aliénation européenne ne relève pas de la contrainte seule, mais de la collaboration active d’élites autochtones. La classe dirigeante française incarne cette trahison en haute définition. Aveuglée par l’idéologie mondialiste, elle sacrifie délibérément l’intérêt national sur l’autel de la servilité transatlantique. Aucun secteur n’échappe à ce pillage organisé : recherche, énergie, défense, tous bradés ou livrés aux intérêts étrangers. La souveraineté devient un mot tabou, la grandeur nationale un souvenir honteux.

Le cas de Jean-Pierre Petit, ignoré en France mais respecté ailleurs, illustre cette pathologie collective. Découvreur des vols hypersoniques sans onde de choc, pionnier visionnaire, il incarne ce que la France refuse de voir : son propre génie scientifique. Alors que la Russie, la Chine ou d’autres grandes puissances exploitent ces découvertes pour redessiner la guerre de demain, la France choisit l’oubli, le rejet, la marginalisation de ses cerveaux. Ce déni de compétence est un sabotage pur et simple.

Jean-Pierre Petit et les armes de demain

Jean-Pierre Petit ne se contente pas de dénoncer : il propose, modélise, construit des visions. Son modèle Janus, théorie cosmologique audacieuse, est une clef de lecture des phénomènes extrêmes que la science officielle refuse d’explorer. Dans ses travaux, la physique relativiste se marie à l’intuition d’avant-garde. Il anticipe l’avenir des conflits, où les armes hypersoniques ou basées sur des phénomènes aujourd’hui incompris remplaceront le nucléaire comme facteur d’équilibre ou de chaos.

Cette vision n’est pas fantasque, elle est stratégique. Les États qui comprendront ces mutations domineront la guerre et la paix. Pendant que la France s’endort sur des paradigmes obsolètes, d’autres investissent sans retenue dans les technologies asymétriques, les nouveaux paradigmes physiques, les ruptures scientifiques. Le refus de soutenir des esprits comme Petit n’est pas une erreur, c’est une faillite civilisationnelle. L’Europe pourrait redevenir une puissance par la science. Elle choisit la soumission par ignorance.

Ce choix est mortifère. Mais il n’est pas irréversible.

IMPORTANT - À lire

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