Opposition contrôlée et dictature de la pensée : les armes du pouvoir

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🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Découvrez l’analyse critique de Brice Perrier sur la science mainstream et les médias alternatifs dans son livre « L’obscurantisme au pouvoir ».
  • Le Dr Typhaine Pinsolle expose ses vues controversées sur la pandémie et les vaccins, qualifiés d’armes biologiques.
  • Patrick Pasin aborde la géopolitique et la santé publique, critiquant la perte de souveraineté individuelle.
  • Plongez dans le débat sur la manipulation des médias alternatifs et leur impact sur la pensée critique.

Le 6 mai à 19h, Brice Perrier, Dr Typhaine Pinsolle et Patrick Pasin sont les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.

Brice Perrier est un journaliste indépendant français spécialisé en science, médecine et épistémologie, collaborant avec Marianne, Blast et Factuel. Il développe ses analyses sur Substack via sa lettre Raison Sensible.

Il vient aujourd’hui nous présenter son ouvrage L’obscurantisme au pouvoir (Max Milo), dans lequel il critique violemment la science mainstream et les dérives dogmatiques, tout en dénonçant l’irrationalité et les manipulations des médias alternatifs.

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Le Dr Typhaine Pinsolle est une scientifique française spécialisée en microbiologie médicale. Elle est connue pour ses prises de position concernant la pandémie de COVID-19 et les vaccins, qu’elle qualifie d’armes biologiques. Forte de son expertise, elle se distingue par ses analyses pointues sur des sujets scientifiques complexes, notamment la protéine Spike, et se positionne en opposition au narratif officiel.

Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.

Les dérives des médias alternatifs face à leur propre communauté

Autrefois fers de lance de la contestation et de la pensée critique, de nombreux médias indépendants ont cédé à la logique de tribu. Leur contenu ne cherche plus la vérité, mais la validation par leur audience. Au lieu de questionner en profondeur les récits dominants, ils les remplacent par des récits miroirs, calibrés pour flatter les attentes d’un public acquis. Ce phénomène transforme la dissidence en réflexe identitaire, où la ligne éditoriale ne vise plus la lucidité mais la fidélisation.

Les plateformes numériques ont renforcé cette dérive. L’algorithme récompense l’entre-soi, la confirmation biaisée, et la polarisation. Résultat : même les médias alternatifs deviennent prisonniers des logiques de visibilité. Ceux qui refusent ce jeu sont invisibilisés, tandis que les plus radicaux – ou les plus dociles vis-à-vis de leur propre niche – prospèrent. Le pluralisme qu’ils défendaient est étouffé par le besoin d’approbation. Le conformisme qu’ils dénonçaient chez les grands médias se retrouve, à peine grimé, dans leurs propres pratiques.

La science sous contrôle, habillée de consensus

Le discours scientifique est devenu un terrain idéologique verrouillé. Le système mondialiste, en habillant ses dogmes de rationalité, impose un modèle unique de vérité. Les théories qui servent les intérêts économiques ou géopolitiques dominants sont sacralisées, tandis que les voix divergentes sont frappées d’illégitimité. Cette homogénéisation du discours scientifique ne résulte pas d’un progrès, mais d’un conditionnement méthodique.

Ce nouvel obscurantisme se drape dans les habits de la rigueur scientifique, tout en écartant méthodiquement la contradiction. Les revues scientifiques, les comités d’experts et les institutions de recherche sont instrumentalisés comme des filtres idéologiques. La science cesse d’être un processus de remise en question perpétuelle pour devenir une religion officielle, intouchable, soutenue par des dogmes financés. L’autocensure règne dans les laboratoires, et le doute – pourtant moteur de la connaissance – devient suspect.

L’influence de Big Pharma dans les dérives des médias alternatifs

Les lobbies pharmaceutiques ont pris le contrôle des règles du débat scientifique. Leur influence s’étend des laboratoires aux organes de régulation, des publications aux médias. Ce sont eux qui financent, valident, diffusent. Lorsqu’un traitement ne cadre pas avec leur stratégie commerciale ou menace leur monopole, il est décrié, discrédité, voire interdit. Non pas sur la base de données rigoureuses, mais par un jeu d’influence, de pression et de propagande.

Les traitements précoces, les molécules génériques, les alternatives non brevetables sont systématiquement marginalisées. Les chercheurs qui osent défendre ces pistes sont ostracisés, leurs travaux censurés, leur carrière brisée. Le public, lui, n’entend qu’un seul son de cloche : celui des intérêts pharmaceutiques repeints aux couleurs de la science. Cette distorsion de la vérité, légitimée par des institutions complices, participe d’un système global où la santé devient un marché captif, non un bien commun.

IMPORTANT - À lire

Chaque mois, notre revue papier approfondit les sujets brûlants de l'actualité. Nous explorons les dérives de la science mainstream, les manipulations médiatiques et les jeux d'influence qui façonnent le discours dominant. Nos analyses pointues dévoilent les enjeux cachés derrière les crises sanitaires, géopolitiques et sociétales.

Plongez au cœur des débats qui transforment notre monde. Découvrez les dessous de la pandémie, le rôle des lobbies pharmaceutiques, les dérives de la censure scientifique. Notre revue vous offre un regard lucide et sans concession sur les événements qui nous impactent tous. Abonnez-vous dès maintenant pour recevoir votre exemplaire mensuel.


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