Sommes-nous en dictature ? On dévoile la purge cachée du système

Le spectre d’un coup d’État militaire en France en 2025 inquiète les élites. Analyse d’un climat explosif entre armée et pouvoir politique. Le spectre d’un coup d’État militaire en France en 2025 inquiète les élites. Analyse d’un climat explosif entre armée et pouvoir politique.

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Découvrez la purge cachée du système avec Mike Borowski et ses invités sur Géopolitique Profonde. Un débat explosif sur la démocratie en France.
  • Maître Danglehant attaque la ministre des Armées pour dénonciation calomnieuse. Une riposte contre un pouvoir qui instrumentalise la justice.
  • L’armée, dernier rempart contre l’effondrement ? Le pouvoir craint une fracture interne et réprime les voix militaires dissidentes.
  • La justice française viole les droits fondamentaux, selon les recours européens. La neutralité judiciaire est en péril.

Le 9 avril à 19h, Maître François Danglehant, Sylvain Baron et Christian Cotten sont les invités de Mike Borowski, sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !

Maître Danglehant, quant à lui, est un avocat reconnu pour son engagement en faveur des droits des citoyens. Sa carrière est jalonnée de combats juridiques contre les abus institutionnels et les injustices sociales. Défenseur des causes populaires, il incarne une voix juridique puissante qui s’oppose à la concentration du pouvoir et plaide pour une démocratie plus participative et respectueuse des libertés individuelles. Ces deux personnalités, bien que venant d’horizons différents, partagent une même vision critique du système politique actuel et s’efforcent de promouvoir un véritable renouveau démocratique en France.

Sylvain Baron, journaliste engagé, revient tout juste de son périple en Ukraine, où il a plongé au cœur des zones de conflit à Zaporija et Marioupol.

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Christian Cotten est un psychosociologue français, il a fondé une entreprise de formation controversée et s’est engagé en politique en créant le parti « Politique de Vie ». Connu pour ses prises de position atypiques, il a notamment accusé George W. Bush de crimes contre l’humanité. En décembre 2024, il dépose une plainte contre Brigitte Macron pour usurpation d’identité.

Coup d’État militaire en France en 2025 : fiction ou scénario plausible ?

L’État français redoute un réveil de l’armée. Depuis plusieurs années, les élites politiques observent avec inquiétude la montée d’un discours militaire critique, porté par d’anciens officiers attachés aux valeurs de la nation. Le système le sait : une partie de l’institution militaire reste encore fidèle au peuple, et non aux directives idéologiques d’un pouvoir en perte de légitimité. La lettre ouverte des généraux, parue dans Valeurs Actuelles, a marqué un tournant. Elle a exprimé une vérité que beaucoup redoutent d’entendre : la France est en danger, et ses dirigeants ne protègent plus ni son identité ni sa souveraineté.

En réaction, le pouvoir n’a pas hésité à instrumentaliser la justice pour criminaliser la parole militaire. Les généraux Coustou et Delawarde ont été poursuivis pour avoir simplement exprimé un constat lucide. Leur relaxe récente n’efface pas la volonté initiale de répression. Cette attitude du gouvernement montre clairement que le pouvoir politique craint une fracture interne, un basculement où l’armée pourrait s’ériger contre l’effondrement programmé du pays. La machine répressive ne cherche plus à sanctionner des délits, mais à étouffer les signaux d’alarme lancés par ceux qui connaissent les mécanismes profonds de l’État.

a peur d’un coup d’État militaire en 2025 n’est plus un fantasme : elle façonne déjà les réactions du pouvoir. Elle s’incarne dans l’acharnement disciplinaire contre le général Coustou, de nouveau ciblé par le ministre des Armées, Sébastien Lecornu. Malgré une relaxe en justice, le pouvoir persiste, incapable d’accepter qu’une voix militaire ose encore se lever. Le système redoute un précédent : qu’un général désobéisse, qu’il prenne la parole, et surtout qu’il soit suivi. En 2025, la menace d’un coup d’État militaire en France, même minime, reste une obsession pour les élites politiques. C’est pourquoi chaque insoumis doit être brisé, rapidement et sans bruit.

Une justice transformée en bras armé du régime

La séparation des pouvoirs n’est plus qu’une façade. Ce que révèlent les affaires Coustou, Delawarde, et Natacha Rey, c’est l’effondrement de la neutralité judiciaire. Les décisions sont politiques, les accusations instrumentalisées, et les procès deviennent des mises en scène idéologiques. Dans un État de droit réel, la justice protège les libertés. En France, elle les neutralise dès qu’elles dérangent. Les relaxes obtenues par certains ne sont pas des victoires du droit, mais des échecs de la stratégie répressive – provisoires et vite compensés par de nouvelles poursuites.

Le cas de François Dangléhant illustre cette dérive. Cet avocat, en première ligne contre les abus de l’État, attaque désormais la ministre des Armées devant la Cour de Justice de la République pour dénonciation calomnieuse et usurpation de qualité. Ce n’est pas un détail juridique. C’est une riposte frontale contre un pouvoir qui ment, qui fabrique de faux statuts pour justifier des procédures, et qui instrumentalise la justice comme une arme de guerre politique. L’objectif est clair : détruire socialement, financièrement et symboliquement tout opposant.

Les recours engagés au niveau européen, notamment devant la Cour européenne des droits de l’homme, montrent que l’État français viole systématiquement les droits fondamentaux. Le cas Natacha Rey, persécutée pour ses enquêtes sensibles, prouve que toute démarche d’investigation indépendante est désormais criminalisée. Le pouvoir a compris que les procédures judiciaires peuvent devenir des outils de harcèlement légal, vidant de sa substance toute opposition. La justice ne rend plus la loi, elle fabrique la soumission.

Coup d’État en vue ? L’armée française face à un pouvoir en crise

Le pouvoir a transformé les procédures disciplinaires militaires en instruments de purge idéologique. L’armée, autrefois neutre et structurée pour protéger la nation, est aujourd’hui infiltrée par une logique de surveillance et de contrôle total des opinions. Les officiers qui refusent de se plier au politiquement correct, ceux qui rappellent que leur serment va à la République et non au gouvernement du moment, sont systématiquement ciblés. L’appareil disciplinaire est dévoyé pour faire taire, exclure, humilier.

L’affaire Coustou en est l’illustration la plus frappante. Relaxé par la justice civile, il est pourtant à nouveau convoqué par le ministère des Armées dans le cadre d’une procédure interne. Il ne s’agit pas d’une mesure de droit, mais d’une vengeance politique. L’armée devient ainsi le laboratoire d’une société de contrôle, où même les anciens militaires n’ont plus le droit d’exister publiquement sans soumission totale. Le régime tente d’éteindre toute voix pouvant annoncer un coup d’État militaire en France.

Cette dérive est d’autant plus grave qu’elle prépare un verrouillage complet du débat public. Si les militaires ne peuvent plus parler, si les juges suivent les consignes, si les avocats sont persécutés, alors la dictature n’est plus une menace, elle est une réalité installée. La peur d’un soulèvement intérieur pousse le régime à étendre le contrôle sur tous les corps intermédiaires. Le système se durcit, et face à ce durcissement, seule une information libre, lucide et déterminée peut encore faire obstacle.

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