Persécutée par le service hospitalier français : le témoignage dur du Dr Pria Elena

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🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Le Dr Pria Elena, médecin généraliste à Paris, dénonce les conditions insalubres des dispensaires municipaux qui l’ont exposée à une infection chronique sévère en 2012.
  • En France, elle fait face à un déni médical organisé : rendez-vous annulés, diagnostics incohérents, et une stratégie délibérée pour la faire taire.
  • Son combat révèle un pouvoir médical tentaculaire prêt à sacrifier une soignante pour protéger ses intérêts, une affaire étouffée par l’APHP et la mairie de Paris.

Le 5 juillet à 9h, le Docteur Elena Pria est l’invitée de Mike Borowski, pour Géopolitique Profonde.

Le Docteur Elena Pria est une médecin généraliste diplômée de l’Université Paris V – Descartes, lauréate de la faculté de médecine en 1999. Elle possède un parcours international, formée également à la Sorbonne (Paris VII) et à l’Université de Bucarest.
Elle exerce depuis 1999 dans un cabinet libéral situé dans le 7e arrondissement de Paris. Connue pour ses consultations longues, elle se spécialise dans les bilans de santé, le suivi vaccinal et la médecine générale adulte/enfant.
Elle s’est aussi fait connaître de par son engagement social, ayant travaillé dans les dispensaires municipaux de la mairie de Paris, où elle dénonce aujourd’hui les conditions insalubres qui l’ont exposée à une infection chronique sévère.

Un docteur brisé par un système complice

Le Dr Pria Elena n’est pas une inconnue pour les habitants de Paris. Médecin généraliste de terrain, elle a soigné pendant des années dans un dispensaire mis à disposition par la mairie. Mais ce lieu n’a rien d’un sanctuaire médical. Moisissures, champignons, insalubrité criante : les conditions de travail s’apparentent plus à un abandon organisé qu’à un espace de soins digne de ce nom.

Et c’est là que tout bascule. Exposée en continu à un environnement toxique, le Dr Pria contracte en 2012 une infection chronique sévère, diagnostiquée aux États-Unis. Le verdict est sans appel : déficit immunitaire sévère, maladie incurable, pronostic vital engagé.

Mais l’affaire prend une autre tournure quand elle tente de faire reconnaître sa situation. En France, aucune oreille attentive, aucun diagnostic cohérent. On lui renvoie l’image d’une hypocondriaque en mal d’attention. Ce que les médecins français nomment « migraine » est une pathologie destructrice, attestée par des examens américains.

Une chape de plomb se referme sur elle. Un mur de silence, organisé, structuré, verrouillé. La mairie de Paris, au cœur de cette affaire, refuse d’assumer la responsabilité des lieux insalubres. Le déni médical devient une stratégie.

Le sabotage médical comme arme de guerre

Dès que son nom apparaît sur une fiche, le mécanisme se déclenche. Rendez-vous annulés, consultations refusées, examens bâclés, hospitalisations impossibles. Les urgences deviennent un théâtre d’humiliation : heures d’attente, puis rejet pur et simple.

Aucun dossier médical ne suit une logique clinique. Les résultats sont incohérents, les comptes rendus d’imagerie contredisent les paroles des praticiens. On ne veut pas la soigner, on veut l’éteindre. C’est la mécanique d’une élimination douce, professionnelle, orchestrée par des rouages administratifs en apparence neutres.

Dr Pria n’a pas le droit à une seconde expertise, encore moins à une reconnaissance officielle. En 2017, elle saisit l’ARS. L’agence botte en touche, transfère le dossier à la Direction Juridique de l’APHP.

Résultat : silence radio et même refrain méprisant. Tout est verrouillé pour empêcher que le scandale ne remonte à la surface. On ne veut surtout pas que le public découvre que des médecins ont été forcés de travailler dans des bâtiments toxiques, au cœur même de la capitale.

Une affaire étouffée par le pouvoir médical

Ce n’est pas un simple oubli ou une négligence. C’est une stratégie délibérée d’invisibilisation. Le combat du Dr Pria Elena révèle un engrenage bien huilé où la médecine devient une arme politique. Derrière les blouses blanches, l’omerta. Derrière les murs des hôpitaux, un pouvoir tentaculaire, opaque, où la vérité clinique s’efface devant les impératifs institutionnels. L’APHP, la mairie de Paris, l’ARS : tous alignés pour faire taire une voix devenue trop gênante.

Sur les ondes de Radio Courtoisie, elle dévoile ce que peu osent dire. Le système de santé peut tuer socialement. Il peut détruire une carrière, isoler une femme, et nier jusqu’à l’existence même de la maladie. Le pot de terre affronte un monstre froid, implacable, bureaucratique.

Dr Pria n’est pas seulement une victime. Elle est un symbole. Celui d’un système prêt à sacrifier une soignante pour ne pas avoir à reconnaître ses propres fautes. Celui d’un pouvoir médical qui n’hésite pas à détruire pour se protéger.

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