La franc-maçonnerie a transformé l’école en outil de domination intégrale

Le 24 avril à 19h, Ludovic Malot Laurence Waki et Christian Cotten sont les invités de Mike Borowski, en direct sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !

Ludovic Malot, spécialiste en théologie et en histoire des religions, est reconnu pour ses analyses percutantes sur les bouleversements politiques et spirituels de notre époque. Auteur de plusieurs essais, il met en lumière les liens occultes entre les élites mondialistes et la dégradation de notre civilisation.

Christian Cotten est un psychosociologue français, il a fondé une entreprise de formation et s’est engagé en politique en créant le parti « Politique de Vie ». Connu pour ses prises de position atypiques, il a notamment accusé George W. Bush de crimes contre l’humanité. En décembre 2024, il dépose une plainte contre Brigitte Macron pour usurpation d’identité.

Laurence Waki est une philosophe, écrivaine et essayiste française engagée dans la critique des normes sociales et des dérives autoritaires contemporaines. Elle s’est fait connaître par ses tribunes dans France-Soir, où elle dénonce la soumission croissante des citoyens aux injonctions étatiques et la perte d’autonomie individuelle.

L’école comme instrument de désintégration familiale et de rééducation idéologique

Loin d’être un lieu neutre de transmission du savoir, l’école républicaine est devenue l’un des outils majeurs de la désintégration de la cellule familiale traditionnelle, en particulier catholique. Ce projet n’est ni récent ni innocent. Il s’inscrit dans un plan structuré porté historiquement par la franc-maçonnerie, qui a toujours vu dans l’Église et la famille chrétienne des obstacles à l’expansion de l’État total. L’instruction obligatoire a été conçue pour arracher l’enfant à l’influence spirituelle des parents et le placer sous tutelle idéologique de l’État.

Au fil des décennies, les réformes ont vidé l’école de toute substance intellectuelle, la transformant en une garderie sociale, où la discipline est bannie, l’exigence remplacée par la bienveillance obligatoire, et la transmission remplacée par le divertissement pédagogique. L’école n’élève plus : elle nivelle. Les enfants, privés de racines et de repères, deviennent des individus déconnectés de toute tradition, prêts à accueillir sans résistance les normes du nouvel ordre éducatif.

En effaçant les contenus classiques, en détruisant la verticalité du savoir et en supprimant l’autorité du maître, l’école républicaine fait place à un système où seule l’idéologie égalitariste domine. L’enseignement moral et civique devient un vecteur de propagande antireligieuse, anti-identitaire et profondément matérialiste. L’objectif est clair : détruire la souveraineté intellectuelle de l’enfant pour le transformer en rouage docile du système.

La mixité scolaire, cheval de Troie de l’uniformisation des genres

L’imposition de la mixité dans l’école n’a jamais été un progrès pour l’enfant : c’est un outil d’uniformisation mentale pensé pour déconstruire les différences naturelles entre les sexes. En niant les rythmes cognitifs et affectifs distincts des garçons et des filles, on impose une éducation qui ne s’adapte à aucun d’eux. Cette confusion programmée perturbe leur développement et fragilise leur identité propre.

Les garçons, plus dynamiques et visuels, ont besoin de cadre, de compétition et d’objectifs clairs. Le système les bride, les médicalise, les dévalorise. Résultat : ils décrochent massivement, exclus dès le plus jeune âge de l’espace scolaire. Les filles, elles, plus structurées à court terme, sont orientées vers les filières de soins et d’assistanat, délaissant les sciences et les filières techniques, de peur de se masculiniser. Ce résultat n’est pas une erreur : c’est l’effet recherché.

La neutralisation de la polarité sexuelle dès l’enfance est une phase essentielle dans la guerre contre l’identité sexuée. Elle prépare à l’acceptation de toutes les formes de « fluidité » imposées par les idéologies du genre, avec le soutien actif de l’Éducation nationale, des médias, et des ONG subventionnées. À terme, le garçon viril et la fille féminine deviennent des déviants. Le modèle recherché est l’être neutre, interchangeable, sans résistance intérieure.

Le système bancaire verrouille la population dans une prison financière

L’appareil bancaire mondial, sous contrôle des grandes institutions financières transnationales, est aujourd’hui un acteur central du contrôle des masses. À mesure que la confiance populaire dans le système monétaire s’effondre, les banques adoptent des mécanismes de chantage déguisés : gel des avoirs, limitations de retrait, traçabilité numérique. Le client est ainsi intimidé pour ne pas sortir de l’ordre établi.

Ce contrôle passe aussi par la généralisation de la monnaie électronique et la destruction programmée du cash, présenté comme un outil obsolète, voire suspect. En réalité, le cash est l’ultime bastion de la liberté financière. Tant qu’il existe, le citoyen peut encore échapper à la surveillance. Mais les banques et les États veulent une population connectée, traçable et dépendante des algorithmes de notation sociale.

Tout individu qui tente de reprendre la main sur son épargne devient un problème pour le système. L’objectif est clair : empêcher tout mouvement d’émancipation. Le système bancaire n’est pas un prestataire de services, c’est un instrument politique. Il ne protège pas vos économies, il les utilise comme levier de soumission silencieuse. Le compte en banque devient un bracelet électronique financier.

Loin d’un simple lieu d’apprentissage, l’école apparaît aujourd’hui comme un levier central d’endoctrinement des enfants, façonnant une génération privée de repères et soumise à des normes imposées. Face à cette dérive, le réveil des consciences éducatives devient une urgence collective.