🔥 Les essentiels de cette actualité
- Farida Belghoul, militante française, sera en direct le 7 juillet à 19h sur Géopolitique Profonde. Découvrez son parcours et ses combats contre la théorie du genre à l’école.
- L’école française sabotée par le pédagogisme depuis les années 1970. Une génération sacrifiée, incapable de lire et raisonner. Est-ce un sabotage orchestré par les réseaux maçonniques?
- L’éducation sexuelle utilisée comme arme de conditionnement. Les élèves ciblés par les nouvelles normes imposées par les loges. Une offensive politique téléguidée pour imposer la théorie du genre.
- Les parents, débordés et anesthésiés, ne voient pas le désastre scolaire. Une population distraite et exténuée qui ne peut résister. L’école, zone d’expérimentation idéologique.
Le 7 juillet à 19h, Farida Belghoul est l’invité de La Grande Émission animée par Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.
Farida Belghoul est une militante politique française, elle est également enseignante, romancière et réalisatrice. Elle s’est d’abord fait connaître dans les années 1980 en tant que militante antiraciste, notamment en participant à la marche pour l’égalité et contre le racisme, aussi connue sous le nom de « marche des beurs ». Plus récemment, elle a attiré l’attention pour son opposition à la “théorie du genre” dans les écoles. En plus de son activisme, Farida Belghoul a écrit des romans et réalisé des films, souvent centrés sur les thèmes de l’immigration et de l’identité.
L’école sabotée : influence de la franc-maçonnerie et du pédagogisme
Le naufrage scolaire français n’est ni un accident ni une défaillance technique. Il résulte d’un sabotage méthodique orchestré par les ingénieurs du pédagogisme, véritable bras armé de la république maçonnique. Depuis les années 1970, les méthodes dites « actives », « participatives » ou « constructivistes » ont remplacé l’enseignement structuré, l’effort intellectuel et l’autorité pédagogique. L’enfant, érigé en petit roi, est censé construire lui-même ses savoirs.
Résultat : une génération sacrifiée, incapable de lire correctement, de comprendre un texte, de raisonner avec rigueur. L’illettrisme n’est pas une conséquence imprévue, c’est l’objectif masqué d’une rééducation silencieuse orchestrée depuis les loges.
Derrière cette destruction de la transmission des savoirs se cache une stratégie idéologique planifiée par les réseaux maçonniques. Leur objectif : éradiquer la culture classique, le sens critique, et l’héritage civilisationnel au profit d’un individu déraciné, docile et malléable. Une école qui n’enseigne plus est une école qui ne transmet plus rien.
Elle devient alors une coquille vide, façonnée par les injonctions des sociétés initiatiques. Le pédagogisme n’est pas une erreur, c’est un outil conçu pour préparer l’édifice mental d’une nouvelle humanité, sans repères, sans racines, prête à accueillir les dogmes les plus radicaux.
L’éducation sexuelle comme arme de conditionnement
Privés de repères intellectuels, les élèves deviennent des cibles faciles pour les nouvelles normes imposées par les loges. À peine savent-ils lire qu’ils doivent déjà apprendre la « diversité des sexualités », le consentement, ou la fluidité des genres.
Derrière l’apparente bienveillance éducative se cache une offensive politique d’une redoutable efficacité : imposer la théorie du genre comme vérité scientifique, banaliser les identités multiples, déconstruire l’altérité sexuelle. Le tout téléguidé par les cercles maçonniques qui, depuis l’intérieur des institutions, réécrivent le sens même de l’éducation.
Et pour faire passer la pilule, la machine à culpabiliser tourne à plein régime : sauver la planète, ne pas harceler, apprendre à « consentir », devenir un citoyen modèle. Pour ces causes, l’institution ne lésine ni sur les heures de cours, ni sur les budgets.
Mais dès qu’il s’agit des fondamentaux, silence absolu. Pire encore, certains enseignants, déjà inféodés à cette idéologie, prennent des décisions lourdes de conséquences sans l’avis des parents : orientation forcée, séances sur l’identité de genre, interventions militantes. Il est où le consentement là ? Faites ce que je dis, pas ce que je fais. Les professeurs deviennent les relais zélés d’un programme dont ils ne contestent plus la matrice idéologique : la franc-maçonnerie.
École et franc-maçonnerie : comment l’idéologie passe sous le radar des parents
Pendant que leurs enfants s’enfoncent dans l’ignorance organisée et l’embrigadement sexuel, les parents regardent ailleurs. Écrasés par la charge mentale, les impératifs professionnels, les démarches administratives et la course permanente contre le temps, ils ne perçoivent pas l’ampleur du désastre. Le système maçonnique a parfaitement compris ce mécanisme : une population distraite, fragmentée et exténuée ne peut pas résister. Elle ne peut qu’accepter.
Cette passivité parentale n’est pas fortuite. Elle est le fruit d’un conditionnement social et économique savamment orchestré. Le citoyen lambda n’a plus la force ni les moyens de remettre en question ce qui se passe à l’école. Il délègue, il abdique.
L’institution, jadis perçue comme un pilier de l’ascension sociale et du savoir, devient une zone d’expérimentation idéologique, où se joue l’avenir psychique des générations futures. La république maçonnique a verrouillé l’école : elle détruit les intelligences, confisque les consciences, et redéfinit l’humain selon ses dogmes ésotériques.
IMPORTANT - À lire
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