Mike se rend à la conférence interdite sur les injections

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🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Mike Borowski dévoile un reportage choc sur la conférence interdite des Enfants d’Hippocrate, où médecins et victimes brisent le silence sur les effets post-injection à ARN messager.
  • Plus de 193 000 effets indésirables recensés, dont 40 000 graves. Myocardites, thromboses, décès subits : les chiffres alarmants qui exigent le retrait immédiat des injections.
  • Des preuves irréfutables montrent que les injections pénètrent tous les tissus et franchissent la barrière placentaire. Une balance bénéfice-risque désormais intenable face à l’inefficacité avérée.
  • Des voix s’élèvent pour dénoncer une crise sanitaire dans la crise. Le Pr Perronne et d’autres exigent vérité et reconnaissance pour les victimes. Un tournant crucial à découvrir.

Le 6 mai à 17h, Mike Borowski vous invite à découvrir son reportage à l’occasion de la conférence de l’association « les enfants d’Hippocrate ». Un événement hors du système, tenu loin des projecteurs médiatiques officiels, où médecins, chercheurs, victimes et figures publiques ont brisé l’omerta sur les effets post-injection à ARN messager.

Face caméra, ils révèlent ce que les autorités refusent d’admettre : une crise sanitaire dans la crise, marquée par des milliers d’effets secondaires graves, des décès inexpliqués et un silence institutionnel assourdissant. Ce reportage donne la parole à ceux qu’on a voulu faire taire — pour que, cette fois, tout le monde entende.

Effets secondaires du vaccin ARN messager : une parole enfin libérée

Trois ans après le déploiement massif des injections à ARN messager, une contre-narration médicale et citoyenne s’impose avec force. Réunis sous l’égide de l’association « Les Enfants d’Hippocrate », présidée par le Dr Louis Fouché, médecins, chercheurs et victimes ont brisé le silence autour des conséquences sanitaires post-vaccinales.

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L’acteur Martin Loizillon, connu pour son rôle dans Un Village Français, a ouvertement soutenu cette initiative, lui conférant une résonance publique supplémentaire. Aux côtés du Pr Christian Perronne, du Dr Hélène Banoun et du biologiste Jean-Michel Escarguel, les chiffres ont parlé.

Plus de 193 000 effets indésirables ont été officiellement recensés, dont plus de 40 000 graves – soit un quart des cas déclarés. Parmi les pathologies les plus citées : myocardites, thromboses, décès subits, sans oublier les symptômes chroniques persistants comme les douleurs articulaires, neurologiques ou encore les inflammations cardiaques.

Le Dr Escarguel va plus loin et parle d’une « troisième Shoah », une Shoah par injection, pour désigner l’ampleur de ce qu’il considère comme un désastre sanitaire orchestré. Cette conférence de presse n’a pas simplement dénoncé. Elle a exigé : le retrait immédiat de toutes les injections à base d’ARNm.

Le récit officiel s’effondre sous les preuves

Alors que les gouvernements et les institutions sanitaires persistent à défendre le bénéfice-risque des vaccins à ARNm, les données s’accumulent contre eux. Les visuels diffusés lors de la conférence montrent une réalité implacable : les injections à ARNm pénètrent tous les tissus de l’organisme, franchissent la barrière placentaire, se retrouvent dans le lait maternel, atteignent le fœtus chez l’animal. Le vaccin, loin de rester au site d’injection, envahit l’organisme. Ce constat biologique est désormais irréfutable.

Quant à l’efficacité, elle s’avère faible à nulle au fil du temps. Des études récentes montrent une efficacité contre Omicron réduite à 19–27 % après seulement trois à quatre mois. Pire encore, il n’existe aucune preuve d’un effet sur la transmission du virus – ce qu’a confirmé en octobre 2022 Janine Small, cadre dirigeante chez Pfizer.

L’efficacité clinique reste floue, notamment chez les femmes enceintes et les groupes à risques, pour lesquels aucun test spécifique n’a été exigé avant la mise sur le marché. Les vaccins actuels n’ont pas non plus été évalués sur les variants récents, laissant planer un doute majeur sur leur utilité réelle.

Une balance bénéfice-risque désormais intenable

La conférence a mis en avant un concept clé : la balance bénéfice-risque est défavorable. Cette assertion ne relève plus d’un soupçon, mais d’un constat fondé sur des chiffres officiels, des témoignages de terrain et des analyses scientifiques indépendantes. Les intervenants ont souligné le manque de transparence dans les procédures d’homologation, l’opacité sur les essais cliniques, et l’inadmissible légèreté dans le suivi post-vaccinal.

Le mot d’ordre est clair : stopper les injections à ARNm, enquêter, et surtout reconnaître les victimes. Ce ne sont pas de simples chiffres, ce sont des vies humaines. Des parents, des enfants, des professionnels actifs soudainement invalides. Des familles détruites. Dans les mots du Pr Perronne, « le temps est venu de dire la vérité, coûte que coûte ». Ce rassemblement, loin d’être marginal, incarne une lame de fond que les autorités sanitaires ne pourront plus ignorer.

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