🔥 Les essentiels de cette actualité
- Découvrez l’analyse de la guerre permanente menée par les élites mondiales et ses impacts dévastateurs sur les peuples et les nations.
- Comprenez comment Donald Trump a été asservi aux néoconservateurs, abandonnant son discours souverainiste pour une rhétorique guerrière.
- Apprenez comment la guerre contre les peuples européens se manifeste par des décrets et des plans d’austérité, visant à déraciner les identités.
Le 17 juillet à 7h, Oskar Freysinger, Nikola Mirkovic et Serge Federbusch sont les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer en direct sur Géopolitique Profonde.
Oskar Freysinger est un homme politique suisse, ancien vice-président de l’UDC (Union Démocratique du Centre) et ex-élu au parlement suisse. Il a également exercé la fonction de Secrétaire d’État. Aujourd’hui, il se consacre à l’écriture, la traduction et partage ses analyses en tant que chroniqueur.
Nikola Mirkovic est un auteur, diplômé de l’European Business School. Président de l’association Ouest-Est, il a mené de nombreuses missions humanitaires au Donbass en guerre ainsi qu’au Kosovo et en Métochie. Il est régulièrement invité par les médias francophones et internationaux pour ses analyses géopolitiques.
Serge Federbusch est un essayiste et homme politique français, connu pour ses positions tranchées sur la politique nationale et son engagement contre le déclin de Paris. Fondateur du mouvement Aimer Paris, il est un critique fervent des élites politiques et des dysfonctionnements de la gestion publique.
L’empire de la guerre permanente
Le mot d’ordre est lancé, martelé en boucle par le fidèle exécutant de l’oligarchie mondialiste : « Nous sommes en guerre. » Emmanuel Macron ne fait qu’assumer un rôle de marionnette docile dans une guerre totale déclenchée par les élites transnationales.
Mais cette guerre n’est pas défensive, elle est d’extermination. Elle cible l’âme des peuples, la foi chrétienne, les identités enracinées et les souverainetés nationales. Elle frappe là où les résistances sont encore debout : en Russie, dans les pays des BRICS, au sein même des populations européennes qui refusent la dissolution dans l’universalisme marchand.
La logique est simple : tout ce qui ne se plie pas au modèle globalisé doit être anéanti. Sous prétexte de paix par la force, les stratèges de Davos, de Washington et de Bruxelles déclenchent des conflits asymétriques. Ils bombardent au nom des droits de l’homme, imposent des embargos au nom de la sécurité, et réduisent les peuples à la misère au nom de la stabilité.
L’Ukraine n’est qu’un laboratoire. Le chaos est le moteur, la guerre leur méthode, la reconstruction leur rente. Ils veulent brûler la planète pour y rebâtir leur ordre technocratique.
Trump asservi aux néoconservateurs
Donald Trump, symbole déchu de l’opposition au système, a sombré dans le giron néoconservateur. La rhétorique guerrière a pris le pas sur le discours souverainiste. Ce ne sont plus les ouvriers de Detroit ou les vétérans du Midwest qu’il défend, mais les intérêts du complexe militaro-industriel.
Il a laissé les néocon dont le Républicain Lindsay Graham, éructent contre Poutine, reprendre la main. Un ultimatum de 50 jours est désormais agité contre la Russie et ses partenaires économiques, avec en ligne de mire un affrontement militaire total.
Mark Rutte, agent du globalisme européen, souffle sur les braises. Mike Pompeo, en prédicateur halluciné, rejoue le grand récit biblique d’un empire du Bien contre les forces du Mal. Ce messianisme américain, forgé dans l’ignorance et l’arrogance, devient un délire civilisationnel.
L’Amérique ne se veut plus seulement puissance, elle se rêve juge et bourreau de l’humanité. Mais à force de transformer le dollar en fusil, elle se tire une balle dans le pied. Le monde bascule, les alliances se recomposent, et la monnaie américaine perd chaque jour en crédibilité.
Les élites mondialistes et la guerre contre les peuples européens
Sur le sol européen, la guerre ne se mène pas avec des chars, mais avec des décrets, des lois, des plans d’austérité. En France, le projet de destruction du peuple avance à visage découvert. François Bayrou, haut-commissaire au plan, a franchi un cap symbolique. Il a proposé de supprimer deux jours fériés : le 8 mai et surtout le lundi de Pâques.
Pire, il a osé déclarer que cette fête « n’a aucune signification religieuse ». Une ignorance crasse, ou un mépris assumé. Car Pâques, cœur du calendrier chrétien, célèbre la Résurrection du Christ. Elle est la pierre angulaire de la foi, la victoire sur la mort, la promesse du salut.
Cette sortie n’est pas un accident. Elle fait partie d’un programme : déraciner les peuples, effacer leur mémoire, dissoudre leurs repères. Supprimer les fêtes chrétiennes, c’est effacer le sacré du calendrier, imposer le règne du travail perpétuel, du rendement sans fin, du consumérisme sans âme.
C’est aussi préparer les esprits à un changement de civilisation, où les traditions européennes sont sacrifiées sur l’autel de la neutralité culturelle. Le budget 2026 est taillé dans la même logique. Il annonce des coupes massives dans les dépenses publiques, une attaque frontale contre les services sociaux, et un démembrement méthodique de l’État.
Tout cela n’est pas un ajustement budgétaire, c’est une opération de liquidation. L’État-nation est remplacé par une structure managériale, où les citoyens deviennent des ressources humaines à optimiser. La France, comme ses voisins, est transformée en colonie intérieure, gérée par une caste hors-sol, coupée du réel, mais alignée sur l’agenda mondialiste. Et pendant que les peuples se débattent, cette caste encaisse les dividendes de la guerre.
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