Les Français Disent Non à la Folie de Macron (Et Ça Fait Mal)

Le 16 mars à 17h, on demande aux Français s’ils acceptent que l’État prélève leur épargne pour financer une économie de guerre.

Le rejet total de la ponction sur l’épargne des Français

L’idée que l’État puisse prélever dans l’épargne des Français pour financer une économie de guerre est massivement rejetée. La plupart des citoyens interrogés refusent catégoriquement qu’on touche à leur argent pour des décisions qu’ils jugent éloignées de leurs intérêts. Ils dénoncent une mesure injuste qui frapperait avant tout les classes moyennes et les petits épargnants, alors que les grandes fortunes bénéficient toujours d’exemptions et de niches fiscales.

Certains pointent du doigt une mauvaise gestion de l’argent public. Avant de ponctionner l’épargne, l’État devrait commencer par réduire ses propres dépenses excessives, notamment les subventions inutiles, le coût du gouvernement et certaines aides distribuées à des publics non prioritaires. Beaucoup estiment que les finances publiques sont déjà gaspillées, et qu’un prélèvement sur l’épargne ne serait qu’un nouveau vol organisé par l’État.

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Le rejet des décisions stratégiques

La colère contre le gouvernement et la classe politique est omniprésente. Les décisions économiques et militaires sont dictées par des élites déconnectées des préoccupations des citoyens. Le mécontentement envers Emmanuel Macron est particulièrement marqué, beaucoup le considèrent comme un président autoritaire, prêt à imposer des mesures impopulaires sans aucun débat démocratique.

Certains dénoncent une instrumentalisation du conflit en Ukraine pour justifier de nouvelles restrictions et taxes. Pour eux, les dirigeants français utilisent la guerre comme un prétexte pour renforcer le contrôle sur la population, tout en obéissant aux intérêts de l’OTAN et des États-Unis. Cette vision alimente un rejet du narratif officiel et une demande de souveraineté accrue dans les décisions stratégiques.

L’opposition à l’engagement militaire et au sacrifice imposé

L’idée d’un engagement militaire direct contre la Russie est largement contestée. Si certains sont prêts à défendre le pays en cas d’attaque directe, l’immense majorité refuse de participer à une guerre perçue comme un affrontement entre grandes puissances où la France n’a aucun intérêt vital. La perspective d’une conscription obligatoire inquiète particulièrement les jeunes, qui rejettent l’idée d’être envoyés sur un front au service d’intérêts étrangers.

Beaucoup rappellent que la nature de la guerre a changé : les conflits modernes se jouent désormais sur le terrain économique, technologique et informationnel bien plus que sur le champ de bataille. Certains considèrent donc absurde l’idée de demander aux citoyens des sacrifices humains alors que les guerres se gagnent par l’intelligence artificielle, les cyberattaques et les drones. Cette prise de conscience alimente un rejet profond de toute mobilisation forcée.

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