🔥 Les essentiels de cette actualité
- Le 30 avril à 19h, François Dubois présente Captionem, dénonçant le remplacement de l’humain par la machine. Découvrez son analyse en direct sur Géopolitique Profonde.
- Patrick Pasin et Christian Cotten discutent de la géopolitique et de la souveraineté individuelle face à l’État profond. Ne manquez pas leurs révélations explosives.
- L’intelligence artificielle et la robotique sont les outils de contrôle totalitaire de l’État profond. Comprenez comment elles façonnent notre avenir dans cet article.
Le 30 avril à 19h, François Dubois, Patrick Pasin et Christian Cotten sont les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.
François Dubois est un ancien adjudant de la Gendarmerie nationale française, devenu lanceur d’alerte et auteur. Après avoir quitté l’institution en raison de désaccords avec sa hiérarchie, il a publié Alice au pays de Lucifer et enseigne le droit pénal. Collaborateur de Profession Gendarme et Strategika.fr, il dénonce les dérives autoritaires du gouvernement et milite pour la résistance des forces de l’ordre face à la tyrannie républicaine.
Son ouvrage le plus récent, Captionem, qu’il viendra nous présenter lors de l’émission, dévoile sans détour la véritable finalité de ce projet : le remplacement progressif de l’humain par la machine.
Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.
Christian Cotten est un psychosociologue français, il a fondé une entreprise de formation et s’est engagé en politique en créant le parti « Politique de Vie ». Connu pour ses prises de position atypiques, il a notamment accusé George W. Bush de crimes contre l’humanité. En décembre 2024, il dépose une plainte contre Brigitte Macron pour usurpation d’identité.
La progression fulgurante de l’intelligence artificielle et de la robotique n’est pas un simple accident de l’histoire. Derrière l’écran brillant du progrès technologique se cache une ambition froide et implacable : celle de l’État profond. À travers une gouvernance secrète, il orchestre l’essor d’outils capables de remodeler radicalement la société humaine, non pour l’émanciper, mais pour l’asservir.
Comment l’État profond expérimente un totalitarisme numérique grâce à l’intelligence artificielle
Depuis plusieurs décennies, l’État profond peaufine ses méthodes en toute discrétion. Loin des projecteurs, il construit les fondations d’un ordre technocratique destiné à contrôler intégralement les masses. À travers la généralisation des objets connectés, la reconnaissance faciale et l’analyse prédictive des comportements, il érige un filet invisible autour de chaque individu. La pandémie mondiale a servi de laboratoire à ciel ouvert, permettant de tester l’efficacité de ces outils de surveillance à une échelle inédite.
Dans cette dynamique, l’intelligence artificielle n’est pas qu’un simple auxiliaire ; elle est la colonne vertébrale de cette gouvernance invisible. Loin des promesses utopiques, l’IA devient l’arme suprême pour anticiper, encadrer et réprimer toute forme de dissidence. Chaque geste, chaque parole, chaque émotion est disséquée pour alimenter des bases de données gigantesques, véritables armes silencieuses d’un nouveau totalitarisme algorithmique.
De Skynet à la réalité : vers un monde sans humains
Ce qui était hier l’apanage de la science-fiction devient aujourd’hui une feuille de route pour les élites de l’État profond. Skynet et Terminator ne sont plus des fictions extravagantes ; ils esquissent le futur que certains tentent d’imposer. La fusion de l’intelligence artificielle avec les capacités robotiques annonce un basculement brutal : l’humain, jugé imprévisible et faillible, est peu à peu considéré comme obsolète.
L’armée, les industries, même certaines fonctions sociales sont déjà en cours d’automatisation poussée. Derrière cette révolution, l’objectif est limpide : substituer la force de travail humaine par des entités parfaitement programmables et entièrement soumises aux intérêts des élites. Les projets transhumanistes ne cherchent pas à améliorer l’Homme, mais à le rendre interchangeable, éliminable, dépassé par sa propre création.
La technologie moderne, une prison dorée pour l’humanité
Sous couvert de confort et de connectivité, l’État profond construit une cage numérique dont il sera bientôt impossible de s’échapper. L’hyperconnexion ne promet pas l’émancipation ; elle fabrique un individu déshumanisé, réduit à un flux de données à traiter, surveiller, exploiter. Chaque appareil connecté, chaque plateforme sociale, chaque assistant vocal devient un maillon d’un immense réseau carcéral invisible.
La perte progressive du lien à la nature, à la communauté et à soi-même enferme l’homme dans une bulle artificielle où la machine dicte désormais le rythme de l’existence. Cette dynamique n’est pas accidentelle. Elle s’inscrit dans une stratégie méticuleusement élaborée pour dissoudre la souveraineté individuelle et installer une gouvernance totale, froide, déshumanisée. Ce n’est plus seulement l’avenir qui est en jeu : c’est l’essence même de l’humanité.
IMPORTANT - À lire
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