🔥 Les essentiels de cette actualité
- Découvrez comment la loi maçonnique sur l’euthanasie impose une culture de mort en France, sous couvert de dignité, selon Mike Borowski.
- Apprenez les fondations idéologiques posées par Henri Caillavet et Pierre Simon, et l’influence des loges maçonniques sur cette législation.
- Comprenez pourquoi le discours de Macron à la Grande Loge marque un tournant et comment cette loi pourrait banaliser la mort médicalement provoquée.
Le 31 mai à 12h30, Mike Borowski dévoile les dessous explosifs de la loi maçonnique sur l’euthanasie : comment la République impose une culture de mort sous couvert de dignité.
La matrice maçonnique derrière la loi
Le projet de légalisation de l’euthanasie en France est directement issu de réseaux maçonniques. Depuis des décennies, le Grand Orient de France, fer de lance de la laïcité radicale, œuvre pour inscrire ce droit à la mort dans la loi républicaine. Le sénateur Henri Caillavet, figure centrale de cette mouvance, a formulé dès les années 70 les contours de ce qui deviendra plus tard l’aide active à mourir. À ses côtés, Pierre Simon, médecin et grand maître, conceptualise une nouvelle médecine déliée de tout attachement spirituel. Ensemble, ils posent les fondations idéologiques d’une république où l’homme décide seul de la fin de sa vie.
Le discours d’Emmanuel Macron prononcé devant la Grande Loge de France en mai 2025 marque un tournant inédit. Jamais un président en exercice n’avait osé franchir ce seuil symbolique. En s’adressant à cette obédience, Macron a validé publiquement son alignement avec les orientations maçonniques. Il n’a pas parlé aux Français, il a parlé aux frères. Cette allocution n’est pas un hasard : elle précède de peu le vote à l’Assemblée nationale. Ce lien direct entre le politique et les loges renforce l’hypothèse d’une influence organisée, méthodique, d’une élite qui impose sa vision de l’humanité. Dans cette optique, la loi sur l’euthanasie n’est pas une avancée sociale, mais un aboutissement stratégique.
Le rôle joué par l’ADMD (Association pour le droit de mourir dans la dignité), largement influencée par ces cercles, ne laisse place à aucune ambiguïté. Elle agit comme le bras armé sociétal des loges, normalisant dans les médias et les institutions une idée fondamentalement contraire à l’éthique du soin. L’aide à mourir, telle que présentée, repose sur une vision désacralisée de la vie humaine, réduite à une mécanique de confort. Ce n’est plus la souffrance que l’on combat, c’est l’existence même de la dépendance qu’on cherche à éradiquer.
Une loi meurtrière sous des dehors compatissants
Derrière l’apparente compassion, la logique de cette loi est létale. Loin d’un encadrement précis, elle ouvre un champ immense à l’arbitraire médical et administratif. Les critères énoncés, comme le « pronostic vital engagé », sont volontairement flous, permettant une interprétation subjective à la convenance des instances décisionnaires. Cette absence de garde-fous traduit une volonté délibérée : banaliser l’acte de mort médicalement provoquée pour qu’il devienne une solution ordinaire.
En vérité, cette loi organise un système de mise à mort légalisée. Une personne souffrante, affaiblie psychologiquement, se verra offrir l’option létale comme un soulagement. L’État lui tendra la seringue plutôt que le bras. On inverse la vocation du soin : au lieu d’accompagner la vie, on la supprime pour répondre à un « mal-être » devenu insoutenable. Ce changement de paradigme est radical. Il marque une rupture anthropologique majeure dans notre rapport à l’humanité.
Cette législation ne protège pas les vulnérables, elle les expose. Les personnes âgées, les handicapés, les dépressifs chroniques deviennent des cibles idéales pour un système médical sous pression. Dans un contexte de crise hospitalière, la tentation sera grande d’orienter vers l’euthanasie des patients jugés incurables ou coûteux. Cette rationalisation de la mort n’est pas une fiction. Elle est déjà perceptible dans les débats budgétaires, dans les discours sur la gestion des ressources sanitaires. La logique comptable se superpose désormais à l’éthique.
La mort devient une réponse administrative. Le protocole remplace la compassion, la procédure remplace la prière. La France, patrie de Descartes, a tranché : elle préfère la fin rapide à l’accompagnement fidèle. Le suicide assisté devient un choix politique, présenté comme un droit, mais vécu comme une obligation sociale par les plus faibles.
République laïque, culture de mort assumée
La République ne cherche plus à élever l’homme, elle entend désormais le libérer de toute transcendance. Cette loi sur l’euthanasie s’inscrit dans une dynamique plus large : celle d’une laïcité dévoyée en idéologie mortifère. Tout ce qui relève de l’âme, du sens, du mystère, est effacé au profit d’une mécanique rationnelle, technique, définitive. On ne croit plus en la vie, on gère la fin. Ce renversement moral est le fruit d’un long processus de déconstruction spirituelle, piloté depuis les loges.
Ce n’est pas un hasard si toutes les religions, sans exception, se dressent contre cette loi. Catholiques, protestants, juifs, musulmans, orthodoxes : tous dénoncent la violence éthique d’un texte qui viole le principe fondamental de la dignité humaine. La République n’écoute plus ses croyants, elle leur impose une norme qui nie la valeur intrinsèque de la vie. Elle promeut une liberté qui tue, un progrès qui anéantit.
Cette culture de mort, profondément enracinée dans la pensée maçonnique, va désormais irriguer tout le tissu social. Dans les écoles, les hôpitaux, les médias, l’idée que l’on peut « partir dignement » va s’imposer comme une évidence. Les résistances seront marginalisées, moquées, taxées de réactionnaires. Le débat ne sera plus permis, car la décision a déjà été prise. La République ne débat plus, elle décrète.
Le discours de Macron à la Grande Loge n’est pas un geste symbolique, c’est un acte de soumission. En célébrant les grands architectes de cette idéologie, il affirme que la loi sur l’euthanasie n’est pas une simple mesure sociale, mais une réforme civilisationnelle. Elle parachève l’œuvre des loges : déraciner l’homme, rompre avec l’héritage chrétien, établir une République transhumaniste où la mort est une prestation encadrée.
Cette loi n’est pas une aide à mourir. C’est une incitation à disparaître.
IMPORTANT - À lire
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