Le 15 mars à 12h30, Mike Borowski vous prépare une émission sous haute tension sur Géopolitique Profonde.
Recruter les jeunes : une machine bien huilée
La franc-maçonnerie ne laisse rien au hasard. Pour attirer la jeunesse, elle infiltre universités, grandes écoles et réseaux professionnels. L’objectif est simple : capter des esprits vifs, ambitieux et malléables.
Les conférences publiques, les débats sur la démocratie et les « valeurs républicaines » ne sont que des appâts. Sous couvert de réflexions philosophiques, les loges repèrent les plus réceptifs et les invitent à des cercles plus fermés. Là, l’endoctrinement commence : la fraternité, la solidarité et l’humanisme sont mis en avant pour séduire.
La cooptation fait le reste. Un jeune talent recommandé par un initié sera naturellement introduit dans le réseau. Avantages professionnels, promotions facilitées et carnet d’adresses en or : la promesse est alléchante.
Mainmise sur la société : l’influence invisible
La franc-maçonnerie ne se contente pas de recruter. Elle façonne les décisions politiques, l’opinion publique et les normes sociales. Son pouvoir repose sur plusieurs leviers bien établis.
D’abord, son implantation dans les cercles du pouvoir. Ministères, hauts magistrats, administration publique : des postes clés où l’appartenance à une loge garantit une progression rapide. Rien ne se fait sans que les « frères » ne s’arrangent entre eux. Derrière chaque grande réforme sociétale, on retrouve l’empreinte des loges : de la laïcisation radicale aux lois bioéthiques, tout est dicté par leurs intérêts.
Ensuite, leur influence sur les médias et les think tanks. Des journalistes et éditorialistes proches des loges façonnent le débat public sans jamais révéler leur appartenance. Ils diffusent les idées maçonniques sous couvert de neutralité, imposant peu à peu une pensée unique qui évince toute opposition.
Faire croire qu’elles ont disparu, tout en contrôlant tout
Leur plus grande force ? Faire croire qu’elles n’ont plus d’influence. Officiellement, la franc-maçonnerie serait en perte de vitesse. En réalité, elle se rend invisible pour mieux agir.
D’abord, par l’opacité. La plupart de ses membres restent cachés. On ne voit que quelques figures médiatiques mises en avant pour donner l’illusion d’une organisation transparente.
Ensuite, par la stratégie victimaire. Dès qu’on les critique, les loges crient à la persécution et au complotisme. Une tactique bien rodée pour museler toute opposition et détourner l’attention de leur véritable pouvoir.
Enfin, par le contrôle des lois et des mentalités. Elles façonnent peu à peu une société conforme à leurs dogmes. Famille, spiritualité, souveraineté : tout ce qui s’oppose à leur vision doit disparaître. Et les prochaines réformes le prouveront encore.
La franc-maçonnerie n’a jamais perdu son pouvoir. Elle l’a simplement dissimulé. Aujourd’hui, elle recrute la jeunesse pour assurer sa pérennité et continuer à imposer son agenda sous couvert de modernité et de progrès. La machine est bien en place, et elle avance sans résistance.
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