🔥 Les essentiels de cette actualité
- L’ADMD, soutenue par le Grand Orient de France, milite pour légaliser le suicide assisté, rebaptisé « aide à mourir » pour normaliser l’acte létal.
- Depuis 15 ans, l’ADMD a investi 6 millions d’euros en lobbying, grâce à un fonds de dotation opaque, influençant les institutions via un réseau maçonnique.
- Les francs-maçons, bien que minoritaires, occupent 35 % des sièges à l’Assemblée, imposant des réformes sociétales comme la loi sur la fin de vie.
- Le glissement sémantique vers « aide à mourir » prépare l’opinion à accepter l’inacceptable, dans un cadre de déshumanisation progressive.
Le 19 avril à 12h30, Mike Borowski révèle comment la franc-maçonnerie, via l’ADMD et ses réseaux parlementaires, impose le suicide assisté sous couvert d’« aide à mourir » dans une stratégie assumée de culture de mort.
L’ADMD, bras armé maçonnique d’un projet idéologique
L’Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD) ne relève pas du hasard. Elle est le fruit d’un projet idéologique précis, impulsé dès 1980 par Henri Caillavet, figure centrale de la franc-maçonnerie française. Soutenue sans réserve par le Grand Orient de France, l’ADMD milite ouvertement pour la légalisation du suicide assisté, dissimulé aujourd’hui sous l’appellation édulcorée d’« aide à mourir ». Ce changement lexical, loin d’être anodin, participe à une stratégie de normalisation d’un acte létal, en rupture totale avec les fondements anthropologiques de notre civilisation.
Depuis quinze ans, l’ADMD a investi plus de 6 millions d’euros dans le lobbying parlementaire, les campagnes médiatiques et la production de contenus influents. Ce financement massif, canalisé par un fonds de dotation opaque, lui a permis de placer ses idées au cœur des institutions, en s’appuyant sur un réseau de décideurs initiés. Ce maillage maçonnique transforme un projet de niche en orientation nationale. Loin d’être une réponse humaniste à la souffrance, cette offensive vise à institutionnaliser le droit de tuer sous couvert de compassion.
La manœuvre est d’autant plus pernicieuse qu’elle ne repose pas sur un mouvement populaire, mais sur une infrastructure d’influence minoritaire et organisée. La société française, dans son immense majorité, demeure réservée voire hostile à la légalisation du suicide assisté. Mais les voix discordantes sont étouffées dans l’espace public, disqualifiées au nom du progrès. C’est l’aboutissement d’une stratégie de subversion culturelle menée de longue date par les loges les plus actives.
Une démocratie confisquée par une minorité initiée
Les chiffres sont accablants : alors que les francs-maçons représentent moins de 1 % de la population française, ils occuperaient 35 % des sièges à l’Assemblée nationale. Cette surreprésentation, bien documentée, n’est pas le fruit du hasard. Elle résulte d’une stratégie d’entrisme vieille de plusieurs décennies, visant à peser sur toutes les décisions d’importance. La loi sur la fin de vie n’est pas un cas isolé : elle s’inscrit dans une dynamique plus large d’imposition de réformes sociétales majeures par des élites idéologiquement homogènes.
Ces parlementaires, souvent discrets sur leur affiliation, fonctionnent selon une logique de réseau. Le projet de loi actuel, qualifié de « compromis » par ses défenseurs, est en réalité un cheval de Troie qui fait sauter tous les verrous éthiques. Il prévoit que les médecins pourront administrer une substance létale, ou accompagner le patient dans l’auto-administration. Ce pouvoir de vie ou de mort, donné au système médical, signe la médicalisation officielle du suicide. Et demain, rien n’empêchera l’extension de ce droit à d’autres publics : mineurs, personnes vulnérables, migrants en détresse.
La députée Sandrine Rousseau, toujours en quête de surenchère idéologique, a déjà proposé que l’« aide à mourir » soit ouverte aux sans-papiers. Derrière le paravent humanitaire, c’est une logique eugéniste qui se dessine : celle d’un tri silencieux entre les vies jugées dignes d’être vécues et les autres. Les mêmes réseaux qui militent pour l’accueil massif des migrants veulent ensuite leur offrir le suicide assisté comme seule issue à la précarité. C’est une vision profondément nihiliste de l’humanité, incompatible avec toute conception digne de la solidarité.
Glissement sémantique et avancée d’une culture de mort
Le changement de vocabulaire est central. En abandonnant les termes explicites de « suicide assisté » et d’« euthanasie », la loi tente de désarmer moralement ses opposants. L’expression « aide à mourir » sonne plus douce, presque compatissante. Mais elle dissimule la réalité brutale d’un système qui institutionnalise l’acte de mettre fin à une vie. Ce glissement sémantique, volontaire et assumé, est une tactique de manipulation de masse. Il prépare l’opinion à accepter l’inacceptable, en désamorçant les résistances linguistiques avant même le débat politique.
Cette novlangue mortifère s’inscrit dans un cadre plus large de déshumanisation progressive. Après la constitutionnalisation de l’IVG, qui élève l’avortement au rang de principe fondamental, le suicide assisté devient la nouvelle frontière d’une société où la vie n’a plus de valeur en soi. Tout est réversible, programmable, supprimable. La culture de mort ne progresse pas par la violence, mais par la loi, les mots et les habitudes. Ce n’est plus la souffrance qu’on combat, mais la vie elle-même, dès qu’elle dérange, coûte ou dérange l’ordre établi.
Ce projet s’articule aussi avec une vision malthusienne du monde. La question de la dépopulation, longtemps marginale, s’impose désormais dans les cercles de pouvoir. Moins d’humains pour moins de problèmes. La promotion de l’avortement, du suicide assisté, de l’euthanasie et bientôt de la sélection génétique, convergent vers une société où la vie est soumise à des critères d’utilité. C’est un modèle post-humain, fondé sur la gestion technocratique des existences. Et ce modèle s’impose sans débat réel, car la parole dissidente est criminalisée sous prétexte de haine ou de complotisme.
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