Qui Détient Vraiment le Pouvoir en France ? Non, ce n’est Pas Macron !

Le 8 mars à 9h, Gary Laski est l’invité de Mike Borowski sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !

Gary Laski est un docteur en philosophie, ancien élève de Chantal Delsol, une philosophe renommée du courant libéral-conservateur. Ses travaux s’inscrivent dans une réflexion critique sur la modernité, le pouvoir et les dérives idéologiques de nos sociétés contemporaines. À travers ses analyses, il interroge les mécanismes de domination intellectuelle et politique, dénonçant les formes insidieuses de contrôle social et de manipulation médiatique.

Une démocratie confisquée par une élite invisible

La France n’est plus gouvernée par son peuple, mais par une oligarchie qui contrôle toutes les institutions sous couvert de légitimité démocratique. Le pouvoir ne réside plus à l’Élysée, mais dans les mains d’une élite administrative, financière et médiatique qui impose son agenda sans aucune opposition réelle. Derrière l’illusion du vote, les choix stratégiques sont verrouillés : quelle que soit l’élection, les mêmes intérêts dominent et les mêmes politiques sont appliquées. L’Union européenne, les multinationales et les grands groupes financiers dictent les décisions, reléguant les représentants du peuple au rang de simples exécutants.

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L’État n’est plus un garant du bien commun, mais un instrument au service de cette caste dirigeante. La justice, la haute administration et les grands corps de l’État sont noyautés par des technocrates interchangeables, formés dans les mêmes écoles et partageant les mêmes intérêts. La séparation des pouvoirs a disparu : l’exécutif contrôle le législatif par la pression des partis, et la justice est utilisée comme une arme contre toute contestation. Le citoyen n’a plus aucun recours face à des décisions prises en cercle fermé, toujours au bénéfice des mêmes acteurs.

La tyrannie moderne : censure, surveillance et coercition

Le contrôle de la population repose aujourd’hui sur une architecture de domination totale. La censure numérique élimine toute pensée dissidente sous prétexte de lutte contre la désinformation. Les médias de masse, aux mains de quelques milliardaires, fabriquent une opinion publique artificielle en répétant en boucle les mêmes discours formatés. Le débat contradictoire a disparu, remplacé par une propagande omniprésente qui impose ce qu’il est permis de penser.

L’État s’est doté d’un arsenal juridique et technologique pour neutraliser toute opposition. Le fichage des citoyens à travers les réseaux sociaux, les caméras intelligentes et la surveillance des transactions bancaires permet un contrôle permanent. Les forces de l’ordre sont instrumentalisées pour réprimer les mouvements de contestation, criminalisant toute forme de dissidence sous couvert de maintien de l’ordre. Parallèlement, la répression judiciaire s’abat sur les figures d’opposition, tandis que les médias orchestrent leur discréditation systématique.

La société est progressivement asservie par des mécanismes de chantage économique et social. L’État impose des restrictions ciblées qui punissent les réfractaires : exclusion des services publics, privation de certains droits fondamentaux et pression sur l’emploi. La peur est utilisée comme une arme, poussant les individus à l’auto-censure et à la soumission volontaire.

La crise sanitaire, laboratoire d’un pouvoir absolu

De 2020 à 2022, la crise sanitaire a servi de test grandeur nature pour l’instauration d’un régime autoritaire sous couvert d’urgence. Le gouvernement a imposé des mesures liberticides d’une ampleur inédite : confinement généralisé, interdiction de circuler, couvre-feu arbitraire. Jamais la France n’avait connu un tel niveau de contrôle de sa population en temps de paix.

L’ingénierie sociale a été l’arme principale de cette manipulation massive. La peur du virus, entretenue par une communication de crise permanente, a conditionné les citoyens à accepter l’inacceptable. L’exclusion sociale des non-vaccinés, la division de la population et la stigmatisation de toute critique ont créé une société fracturée, où chacun était sommé d’obéir sous peine de sanctions. Cette crise a permis d’habituer la population à la soumission à des règles absurdes, préparant le terrain pour de futures restrictions sous d’autres prétextes.

Mais le plus inquiétant reste l’héritage de cette période. L’État a pris goût à ce pouvoir absolu et n’entend pas y renoncer. Les outils de surveillance et de contrôle expérimentés durant la crise sont aujourd’hui intégrés dans le fonctionnement normal du pays. Le pass sanitaire, l’identification numérique et les restrictions sous prétexte de sécurité sont devenus des instruments permanents du nouvel ordre autoritaire. Le Covid-19 n’a pas créé cette tyrannie, il a simplement permis d’en accélérer l’instauration définitive.

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