5 ans après la pandémie : les Français persécutés témoignent

La société de surveillance en France s'impose via le numérique, la censure, et le contrôle social. Voici l'analyse d'un glissement silencieux. La société de surveillance en France s'impose via le numérique, la censure, et le contrôle social. Voici l'analyse d'un glissement silencieux.

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Le 1er mai à 17h, Mike Borowski dénonce les vies brisées par l’État durant la pandémie. Des soignants suspendus, des familles précarisées, des suicides : un système punitif sans pitié.
  • Des mesures sanitaires ont mené à des perquisitions et licenciements brutaux. Le cadre juridique tordu pour traquer les dissidents. Une société conditionnée à mépriser ses résistants.
  • Les victimes ont trouvé une conscience nouvelle et une force imprévue. Une contre-société émerge, brisant le monopole du discours. Le pouvoir a perdu la guerre du récit.
  • Les libertés fondamentales s’effondrent sous un pouvoir sans freins. Surveillance numérique, censure, ZFE : vers une société sous tutelle. Le combat pour la liberté est lancé.

Le 1er mai à 17h, Mike Borowski demande aux Français s’ils acceptent de vivre sous contrôle numérique, sans liberté d’expression, ni souveraineté, après cinq ans de dérives politiques et de persécutions sanitaires.

L’État a broyé des vies

Les mesures sanitaires imposées durant la pandémie ont engendré un effondrement humain d’une ampleur inédite. Des soignants suspendus sans salaire, des familles entières précipitées dans la précarité, des mères de famille poussées au suicide, voilà la réalité d’un système qui a puni au lieu de protéger. Le refus d’obtempérer face à un produit médical expérimental a suffi à expulser des professionnels chevronnés du monde du travail. Ces décisions ont été exécutées froidement, sans débat, sans recours, sans pitié.

Les récits ne relèvent pas de l’émotion, mais de faits vérifiables : perquisitions, mises sur écoute, garde à vue, licenciements brutaux. Le cadre juridique a été tordu pour traquer ceux qui refusaient d’adhérer au dogme sanitaire. Une infirmière virée de son cabinet, dénoncée par ses associés, traînée devant les forces de l’ordre. Un soignant expérimenté réduit à balayer des cours d’usine. Le pouvoir a organisé l’écrasement des dissidents sans retenue.

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Cette mécanique de punition sociale a été soutenue activement par une partie de la population. Des soignants insultés, crachés, frappés en allant chercher de la nourriture. Une société conditionnée à mépriser ses propres résistants, animée par la peur et entretenue dans l’hystérie par les relais médiatiques. Ce n’est pas un accident, c’est une stratégie. Une stratégie de séparation, d’humiliation, de dissuasion. Le message était clair : résister, c’est disparaître.

En l’espace de quelques mois, des milliers de citoyens ont perdu leur emploi, leur dignité, parfois même leur logement. Certains ont été contraints de faire la manche, de vendre leur maison, de vivre dans leur voiture. Ces personnes, hier encore actives et respectées, ont été jetées hors du système comme des parias. Elles n’ont pas été victimes d’un virus, mais d’un appareil politico-administratif qui a choisi l’élimination plutôt que le dialogue.

Les cicatrices sont profondes, mais elles sont aussi les preuves vivantes de la faillite morale du système. Aucun discours officiel ne pourra effacer les souffrances infligées par des décisions arbitraires. Le temps n’efface pas l’injustice. Il la grave.

Le pouvoir a perdu la guerre du récit

Ceux qui ont tout perdu ont trouvé autre chose : une conscience nouvelle. La violence subie a éveillé une force imprévue. Des milliers de Français se sont réveillés, ont compris, ont décidé de ne plus jamais se taire. Le pouvoir a pu imposer ses règles, mais il a échoué à imposer son récit. Une rupture culturelle s’est opérée. Les citoyens n’écoutent plus les injonctions sans réfléchir. Le doute a changé de camp.

L’éveil d’une contre-société est désormais irréversible. Les figures persécutées sont devenues des repères. L’information circule, hors des circuits officiels, par des réseaux, des collectifs, des publications indépendantes. Le monopole du discours a explosé. Ceux qu’on appelait hier « complotistes » sont aujourd’hui écoutés, suivis, parfois même remerciés. Le discrédit jeté sur eux n’a pas suffi à briser leur crédibilité.

La parole unique, autoritaire, a montré ses limites. En voulant écraser toute divergence, le système a révélé son vrai visage : celui d’un régime de contrôle. Cette prise de conscience est massive. Même ceux qui avaient cédé aux injonctions commencent à douter. Le pouvoir symbolique du gouvernement s’est effondré. L’autorité ne repose plus sur la légitimité, mais sur la répression. Et cela change tout.

Ceux qui ont résisté ne sont plus seuls. Ils forment une avant-garde qui redonne du sens aux mots « liberté », « responsabilité », « dignité ». Ils montrent que l’obéissance n’est pas un devoir, mais un choix. Et que le choix de la vérité a un prix. Ce prix, ils l’ont payé. Mais ce prix les rend inattaquables.

La peur ne fonctionne plus. Le ressort est cassé. Le système peut encore menacer, sanctionner, censurer. Mais il ne peut plus convaincre. Il n’a plus la confiance. Il n’a plus la parole. Il n’a plus le peuple. La guerre du récit est perdue.

Vers une société sous tutelle

Depuis cinq ans, les libertés fondamentales se sont effondrées sous les coups de boutoir d’un pouvoir sans freins. Le confinement n’a été que la première étape. Le pass sanitaire, puis le pass vaccinal, ont ancré la logique du contrôle numérique. La surveillance est devenue le nouveau modèle social. Le DSA, la censure sur les réseaux, la fermeture de médias comme RT France ont fait le reste.

La liberté de circulation est attaquée par les ZFE, qui empêchent les plus modestes de se déplacer. La liberté financière est étranglée par le plafond de retrait en espèces et l’introduction rampante de l’euro numérique. La liberté d’expression est vidée de sa substance : on peut penser, mais plus parler. L’autocensure est généralisée. Les réseaux sociaux censurent, les tribunaux sanctionnent, les familles isolent.

Une génération entière est née dans ce monde étouffant. Elle ne sait pas ce qu’elle a perdu. Pour elle, la soumission numérique est naturelle. Payer sans espèces, se faire tracer, s’autocontrôler, tout cela est présenté comme pratique, moderne, inévitable. Le danger n’est pas visible, il est culturel. Il s’enracine dans l’habitude. Et cette habitude tue la liberté.

Le peuple n’est plus souverain. Il est géré, comme une base de données. L’État ne se contente plus de gouverner, il administre les comportements. La démocratie est devenue une illusion administrative. Le citoyen n’est plus un acteur, mais une cible. Et cette logique de gestion algorithmique est appelée à s’étendre.

Ceux qui voient ce glissement sont aujourd’hui marginalisés, mais leur lucidité est vitale. Car ils sont les derniers remparts contre une société intégralement pilotée par des codes QR, des passes, des interfaces, des plafonds, des sanctions automatisées. Le combat est clair : liberté ou servitude.

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