🔥 Les essentiels de cette actualité
- Le 24 avril, Mike Borowski couvre l’appel de Francis Lalanne du 20 avril, ignoré par les grands médias. Des rassemblements citoyens se tiennent devant plusieurs mairies de France.
- À Paris, devant l’Hôtel de Ville, les manifestants expriment un rejet du régime et accusent Emmanuel Macron de trahison. Ils exigent la paix et la destitution du président.
- Les participants dénoncent une logique de guerre orchestrée pour le profit et une manipulation médiatique. Ils appellent à l’unité et à la paix pour construire un avenir meilleur.
Le 24 avril à 17h, Mike Borowski s’est immergé au cœur de l’événement ignoré par les grands médias : l’appel de Francis Lalanne du 20 avril.
Des rassemblements citoyens ont fleuri devant plusieurs mairies de France. À Paris, la mobilisation s’est tenue devant l’Hôtel de Ville. Micro à la main, Il a tendu l’oreille, capté les colères, enregistré les mots crus d’un peuple qui ne veut plus se taire.
Ce reportage brut donne à entendre ce que la République ne veut plus entendre : accusations de trahison, rejet du régime, appel à la paix et à la destitution d’Emmanuel Macron.
Rassemblement citoyen à Paris : « La République n’est pas une démocratie »
Le 20 avril, en plein cœur de Paris, plusieurs centaines de citoyens se sont rassemblés à l’appel de Francis Lalanne. Mais ici, pas de slogans creux ni de pancartes banales. Les paroles sont franches, les mots lourds de sens.
« La République n’est pas une démocratie. La République est un régime qui prétend être une démocratie et qui devient de plus en plus une sorte d’oligarchie monarchique. »
Pour beaucoup, le système actuel n’a plus rien de démocratique.
Les critiques visent directement le président. « Macron est un criminel. Il y a de la haute trahison, il y a du crime contre l’humanité, il y a du crime de guerre et bien d’autres. » Pour lui, Emmanuel Macron n’est pas seulement illégitime, il est dangereux. Le danger, expliquent plusieurs voix sur place, vient d’une volonté délibérée d’entraîner la France dans un conflit qui ne la concerne pas : « Il est en train de tenter d’emmener la France vers la guerre. Une guerre qui n’a absolument aucune raison d’être contre le peuple russe, qui est un peuple frère. »
Une exigence claire : paix et destitution
Face à cette dérive, les exigences sont posées sans détour : « Les gens demandent la destitution d’Emmanuel Macron et la paix. » Ce double mot d’ordre structure toute la mobilisation. Pas de compromis, pas de faux débats. La guerre avec la Russie est perçue comme une absurdité, une manipulation orchestrée au sommet de l’État. « On voit bien comment on essaie, par la propagande, par les médias mainstream, de faire rentrer dans l’esprit des gens que nous allons rentrer en guerre, pour qu’ils s’y habituent, pour qu’ils l’acceptent petit à petit. »
L’ambiance est tendue mais lucide. Les participants dénoncent l’inaction politique et la passivité de l’opposition : « Comment imposer la destitution alors que visiblement l’opposition parlementaire ne fait pas le travail ? Tu sais qu’on a que des marionnettes dans cette grande baraque où ils s’ennuient tous. »
Une guerre pour le profit, pas pour le peuple
La logique de guerre est perçue comme une mise en scène au service d’intérêts financiers. « Ils veulent juste avoir un prétexte pour envoyer de l’argent à BlackRock parce qu’ils veulent défendre leur système financier », dénonce une manifestante. Pour elle, les grandes puissances économiques ont pris le contrôle des décisions, au détriment du peuple. Le rassemblement dénonce une manipulation massive où la vérité est systématiquement travestie : « Non, les Russes ne veulent pas nous envahir. Non, les Russes ne vont pas aller jusqu’en Bretagne. »
Et au-delà du discours, c’est l’image de la France qui se détériore : « Un pays se développe avant tout par l’image de stabilité qu’il dégage. Quand vous donnez l’image d’un pays déglingué, dirigé par des gens extrêmement méprisables, les investisseurs internationaux ne viennent pas chez vous. »
La rue comme dernier recours
Dans cette mobilisation, chacun joue un rôle. Certains distribuent des tracts, d’autres filment ou débattent. Mais tous sont présents avec une conviction commune. « Il faut être actif, pas uniquement recevoir, mais aussi être là, présente, écrire, communiquer, faire de la contagion avec notre entourage. » Une femme ajoute : « Notre boulot, c’est de faire du grignotage, hein ? Que chacun, avec ses voisins, les personnes qu’on rencontre… »
Le rejet du système s’accompagne d’un appel à l’unité : « Le peuple pour le peuple. » Et une vérité s’impose : « Il faut la paix pour pouvoir construire des choses, pour avoir une vie positive pour nous, pour nos enfants et pour nos vieux. »
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