L’heure des comptes a sonné : Gérard Miller devant la justice !

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🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Gérard Miller en garde à vue pour viols et agressions sexuelles, la justice rattrape le psychanalyste médiatique.
  • 27 femmes, dont 7 mineures, dénoncent un prédateur sexuel protégé par son aura intellectuelle et son ancrage à gauche.
  • Le masque du faux moraliste tombe, révélant la pourriture d’un milieu politico-médiatique corrompu.
  • L’affaire Miller signe l’effondrement du « camp du bien », une élite hypocrite prête à couvrir les pires crimes.

Le 1er octobre à 12h30, Nicolas Stoquer vous invite à le rejoindre, en direct sur Géopolitique Profonde, pour parler d’un sujet brûlant d’actualité.

Le masque du faux moraliste Gérard Miller tombe enfin

Gérard Miller, le psychanalyste médiatique et donneur de leçons attitré de la gauche morale, vient d’être rattrapé par la justice française. Placé en garde à vue par la brigade de protection des mineurs, il doit désormais répondre de crimes d’une gravité extrême : viols, agressions sexuelles et faits de pédophilie présumée. Celui qui aimait se présenter comme une conscience progressiste, compagnon de route de La France Insoumise, symbole du “camp du bien”, voit son masque tomber brutalement.

Pendant des décennies, il a profité d’un privilège idéologique, protégé par un système judiciaire et médiatique complice, retardant sans cesse l’heure des comptes. Aujourd’hui, ce “serial Miller”, adulé sur les plateaux télé et dans les amphis universitaires, se retrouve face à la vérité judiciaire et aux dizaines de victimes qui réclament justice. La chute est aussi spectaculaire qu’attendue, et elle signe la faillite morale d’un milieu politico-médiatique corrompu.

La fin d’une immunité idéologique

Pendant plus d’un an et demi, l’affaire Miller a stagné malgré la gravité des accusations. Vingt-sept femmes, dont sept mineures à l’époque des faits, ont dénoncé un prédateur sexuel protégé par son aura intellectuelle et son ancrage idéologique à l’extrême gauche. Cette lenteur judiciaire prouve une évidence : tant que Miller se drapait dans son rôle de militant progressiste et de star médiatique, il bénéficiait d’une forme d’immunité.

Les témoignages accablants s’accumulaient, mais le parquet tardait à agir, offrant au prédateur présumé un confort scandaleux. Le “privilège rouge” a longtemps fonctionné comme un bouclier pour cet ancien maoïste devenu figure du progressisme mondain. Les élites parisiennes fermaient les yeux, préférant protéger l’un des leurs que de rendre justice aux victimes.

Aujourd’hui, avec la garde à vue, ce bouclier idéologique se fissure enfin. La gravité des faits rapportés, les récits répétitifs d’un mode opératoire toujours identique – alcool, hypnose, jeunes femmes vulnérables – font éclater au grand jour un système de prédation toléré par le silence complice d’un milieu.

Miller pensait pouvoir échapper à tout, couvert par ses réseaux, ses amitiés politiques et sa notoriété télévisuelle. La justice, contrainte par l’ampleur de l’affaire, n’a plus pu rester passive. La chute de Miller révèle que le camp prétendument “humaniste” cache en réalité une élite hypocrite, prête à couvrir les pires crimes tant qu’ils proviennent de l’un des leurs.

L’effondrement du camp du bien

Ce scandale dépasse le seul cas Miller. Il incarne l’effondrement d’un système où les autoproclamés “défenseurs des faibles” s’érigeaient en juges moraux tout en cachant les pratiques les plus sordides. Gérard Miller n’était pas seulement psychanalyste : il était chroniqueur, professeur, réalisateur, invité permanent des plateaux.

Son vernis intellectuel masquait une réalité de prédation systématique. Les accusations de viols, d’agressions sexuelles et de manipulations psychologiques détruisent l’image construite pendant des décennies. Le symbole de la gauche morale s’écroule, révélant la pourriture d’un milieu médiatique et universitaire qui se nourrissait de son autorité.

Et Miller n’est pas un cas isolé. Ces dernières années, la gauche “vertueuse” s’est enlisée dans une succession de scandales sexuels, de Cahuzac à Quatennens, de Baupin à Abad, jusqu’à l’emblématique affaire Cotinneau, toujours les mêmes donneurs de leçons, ou soit disant défenseurs des faibles, rattrapés par leurs turpitudes.

À chaque fois, les réseaux militants, universitaires et médiatiques ont tenté d’étouffer les affaires, protégeant leurs icônes au nom du combat politique. L’affaire Miller n’est donc qu’un énième chapitre d’une longue série où la gauche morale se révèle être la gauche prédatrice. La gauche bien-pensante, prompte à accuser ses adversaires, se trouve une fois encore démasquée, prisonnière de ses propres démons.

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