🔥 Les essentiels de cette actualité
- Découvrez comment la peur est utilisée comme outil de contrôle des masses lors de La Grande Émission le 10 avril à 19h avec des experts en ingénierie sociale.
- Marion Saint-Michel explore la gouvernance perverse et la manipulation psychologique dans son livre, offrant des clés pour s’en libérer.
- Sylvain Baron et Andrzej Linowiecki partagent leurs expériences sur le terrain, illustrant les mécanismes de désinformation et de contrôle à l’œuvre dans le monde.
- Apprenez à résister à l’ingénierie sociale et à reprendre le contrôle de votre esprit pour une société plus libre et autonome.
Le 10 avril à 19h, Marion Saint-Michel, Sylvain Baron et Andrzej Linowiecki sont les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.
Au programme : la stratégie d’ingénierie sociale s’inscrit dans une logique globale de contrôle des masses par la manipulation psychologique et culturelle.
Marion Saint-Michel est une psychologue clinicienne et diplômée en sciences politiques. Après une première carrière dans la fonction publique, elle exerce désormais en cabinet libéral. Elle est l’auteure du livre « Gouvernance perverse : La décoder, s’en libérer« , publié aux Éditions Résurgence. Dans cet ouvrage, elle explore le concept de « gouvernance perverse » en décrivant comment des pratiques de manipulation, de désinformation et de contrôle peuvent s’installer dans les structures organisationnelles. L’auteure commence par définir ce qu’est la perversion en psychopathologie, puis montre comment ces mécanismes pervers se sont manifestés de manière flagrante dans divers contextes.
Sylvain Baron, journaliste engagé, revient tout juste de son périple en Ukraine, où il a plongé au cœur des zones de conflit à Zaporija et Marioupol.
Andrzej Linowiecki est un écrivain et historien polonais spécialisé dans les mouvements d’opposition en Europe de l’Est, notamment ceux qui ont lutté contre le communisme. Il a écrit plusieurs ouvrages sur l’histoire de la Pologne, en particulier sur le mouvement Solidarnosc, et son rôle dans la chute du régime soviétique.
Ingénierie sociale : l’arme invisible du pouvoir moderne
Ce que l’on appelait jadis propagande s’appelle aujourd’hui ingénierie sociale. Le pouvoir ne cherche plus à imposer par la force : il infiltre les esprits. Derrière les discours sur le progrès, la modernité ou la liberté, une guerre psychologique silencieuse s’opère. Elle ne vise pas à convaincre, mais à désorienter. Elle ne cherche pas à élever, mais à désintégrer. La manipulation des perceptions devient un outil de gouvernance à part entière, façonnant une société dépolitisée, dépendante, soumise.
Confusion des repères, hypersexualisation, destruction de la cellule familiale : ces phénomènes ne sont pas des dérives spontanées, mais des opérations coordonnées. Le système fabrique le chaos moral et culturel pour affaiblir les défenses collectives. En détruisant les structures traditionnelles – famille, identité, spiritualité – il isole l’individu, le rend vulnérable et parfaitement malléable. L’objectif n’est pas l’émancipation mais le contrôle total, jusqu’aux recoins les plus intimes de la psyché humaine.
La peur comme accélérateur du contrôle social
La pandémie de Covid-19 a révélé l’ampleur du dispositif. Ce ne fut pas un événement sanitaire, mais un exercice mondial de soumission. La peur a été méthodiquement orchestrée. Les injonctions contradictoires, les confinements arbitraires et les passes sanitaires n’étaient pas des erreurs de gestion : ils faisaient partie d’un protocole de conditionnement massif. Une population apeurée devient prévisible, donc contrôlable.
Le langage a été détourné pour anesthésier les consciences. « Liberté » s’est muée en surveillance, « solidarité » en obéissance. Ce piratage sémantique n’est pas anodin : c’est un verrou mental qui empêche toute remise en question du récit officiel. Le pouvoir impose son vocabulaire pour verrouiller la pensée. Le discours n’informe plus, il programme. La novlangue devient l’ultime frontière du totalitarisme moderne.
Du chaos organisé au contrôle des masses : anatomie d’un pouvoir
Face à cette stratégie sophistiquée, la première ligne de défense est intérieure. La résistance commence par l’esprit. Refuser les récits préfabriqués, rompre avec les réflexes conditionnés, retrouver des repères solides : voilà l’enjeu. Reprendre le contrôle de son corps, de ses émotions et de sa pensée est devenu un acte de rébellion. Ce n’est pas par la violence que l’on renverse le système, mais par la lucidité et la reconquête du réel.
L’ingénierie sociale se nourrit de la passivité mentale. Il faut donc cultiver une vigilance constante, déchiffrer les mécanismes de manipulation et reconstruire une grille de lecture cohérente. Restaurer la vérité des mots, transmettre des repères stables et redevenir souverain sur soi-même, voilà les fondations d’une société libre. Ce combat n’a rien d’abstrait : il se joue chaque jour, dans nos choix, nos lectures, nos silences ou nos refus.
Face à l’ingénierie sociale et au contrôle des masses, la reconquête de notre autonomie mentale et émotionnelle devient un impératif. Comprendre les mécanismes de manipulation, refuser les récits imposés et restaurer des repères solides permet de sortir du conditionnement. La liberté ne se mendie pas : elle s’apprend et se défend au quotidien, par la lucidité et la résistance intérieure.
IMPORTANT - À lire
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