🔥 Les essentiels de cette actualité
- Le 2 mai à 12h30, Mike Borowski révèle que 99 % des Français ignorent le Great Reset. Un projet qui pourrait bouleverser nos vies.
- Le Great Reset, un programme du Forum économique mondial, est absent des médias de masse. Pourquoi ce silence ?
- Le pouvoir réel se cache derrière des partenariats public-privé. Comprendre le Great Reset est crucial pour résister à cette domination invisible.
Le 2 mai à 12h30, Mike Borowski revient sur le micro-trottoir qu’il a tourné récemment. Il est allé à la rencontre des Français dans la rue. Verdict sans appel : 99 % d’entre eux n’ont jamais entendu parler de Klaus Schwab ni du ‘Great Reset’. Pourtant, ce projet pourrait bouleverser nos vies bien plus qu’on ne l’imagine…
Mais au fond, le Great Reset, c’est quoi ? Un projet obscur ou une transformation planifiée du monde ? Cet article vous éclaire.
Ignorance organisée sur le Great Reset
Place de la Bastille, centre névralgique de Paris. Lieu de passage, de débats, d’histoire révolutionnaire. Et pourtant, sur les questions majeures de notre époque — Great Reset, Davos, Klaus Schwab — c’est le vide absolu. Les passants, interrogés au hasard, ne savent rien. Aucun ne reconnaît ces termes, à l’exception d’une personne. Ce constat brutal révèle une réalité profonde : la fracture entre le monde réel et les sphères de décision mondialisées.
Loin d’être une lacune anodine, cette ignorance est produite, entretenue, encouragée. Les médias de masse, désormais intégrés dans des conglomérats financiers internationaux, ont abandonné toute mission de vigilance. À la place d’une information claire et documentée sur les structures de pouvoir global, ils inondent le public d’émotions, de polémiques et de fictions politiques. Le résultat est une société déconnectée des véritables centres de commandement, incapable d’identifier ceux qui prennent les décisions qui la concernent.
Les Français n’ignorent pas seulement des noms : ils sont maintenus à l’écart des mécanismes réels de domination. Le Great Reset n’est ni une rumeur ni une théorie marginale. C’est un programme structuré, formulé publiquement par le Forum économique mondial, et relayé par des dirigeants politiques et économiques de premier plan. Pourtant, il demeure absent des journaux télévisés, des radios généralistes, des pages principales des grands quotidiens. Le silence n’est pas un oubli. C’est une stratégie.
Qui contrôle vraiment le Great Reset ?
Le pouvoir réel ne se présente plus sous les traits du politique. Il avance sous le masque du « partenariat public-privé », de la « transition numérique », de « l’innovation pour le bien commun. » Klaus Schwab, fondateur du Forum de Davos, théorise depuis des années la fusion des États, des entreprises et des nouvelles technologies. Ses ouvrages sont accessibles, ses discours publics, traduits. Mais aucun débat sérieux n’a lieu à ce sujet dans les grands médias français.
Cette invisibilité médiatique protège un système entier. Le citoyen ne vote pas pour les membres du Forum de Davos, ne mandate pas BlackRock, ne choisit pas l’orientation des politiques imposées par les grandes institutions financières ou sanitaires. Pourtant, ces entités façonnent son quotidien. En matière de santé, de finance, d’énergie, d’éducation, les décisions viennent d’instances opaques, internationales, technocratiques. Ce système se passe de démocratie en cultivant l’ignorance.
Le terme « État profond » n’a rien d’ésotérique. Il désigne la couche invisible mais opérante du pouvoir : celle qui relie bureaucraties, grandes entreprises, lobbys transnationaux et groupes d’influence. Son efficacité repose sur sa capacité à rester hors du champ de perception du grand public. En masquant ses visages, en brouillant ses mots, en ridiculisant ceux qui le dénoncent, il assure sa domination sans confrontation.
Réinformer le public : pourquoi comprendre le Great Reset est crucial
Ce que révèle cette expérience de terrain, c’est l’ampleur du chantier qui attend les médias indépendants. L’enjeu ne se limite pas à produire du contenu alternatif : il faut toucher les consciences là où elles se forment encore, dans les rues, les files d’attente, les transports, les marchés. Le savoir devient un acte de résistance. Réinformer, ce n’est pas seulement corriger l’erreur, c’est libérer de l’aveuglement.
GPTV Investigation a fait un choix clair : aller à la rencontre du réel, documenter l’ignorance et proposer des clés de compréhension. Face à un système médiatique verrouillé, le contact direct avec les citoyens devient une arme politique. Il ne suffit pas d’exister en ligne. Il faut occuper le terrain, diffuser, discuter, provoquer le débat partout où c’est encore possible.
Cette reconquête repose sur la force des faits, la clarté du langage, la persévérance. Elle exige des relais locaux, des réseaux humains, des actions coordonnées. Chaque micro-trottoir, chaque vidéo partagée devient une brèche dans le mur du silence. Il s’agit de réveiller la capacité d’analyse, de relier les points, de sortir de la sidération. Une population qui comprend les mécanismes du pouvoir n’est plus gouvernable de l’extérieur.
IMPORTANT - À lire
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