Le 5 février à 16h, Mickaël vous donne rendez-vous pour découvrir un nouveau micro-trottoir, sur GPTV Investigation.
Le sujet ? Les tensions géopolitiques s’intensifient, les conflits armés se multiplient et la guerre économique s’accélère. La Troisième Guerre mondiale ne se profile pas à l’horizon : elle est déjà là. Ses fronts sont multiples, ses armes sont diverses, et la majorité des populations occidentales refusent encore d’en voir les signes.
Un conflit mondial aux multiples visages
Les affrontements militaires en Ukraine, au Moyen-Orient, en Mer de Chine méridionale et en Afrique ne sont que la partie émergée d’une guerre bien plus vaste. Ce conflit global ne se limite pas aux bombardements et aux tranchées : il est économique, monétaire, technologique et idéologique.
Les sanctions occidentales contre la Russie, l’isolement économique de l’Iran, les tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine, la guerre des semi-conducteurs, les déstabilisations monétaires orchestrées par la FED et la BCE, tout cela constitue des actes de guerre à part entière. Les États ne s’affrontent plus uniquement par les armes, mais aussi par la destruction économique et la dépendance énergétique. L’Europe, en première ligne, en paie déjà le prix fort avec une industrie en déclin et une crise énergétique sans précédent.
Un Occident désarmé psychologiquement face au chaos
Pendant que des puissances comme la Russie, la Chine ou l’Iran préparent activement leurs populations à la guerre et au sacrifice national, l’Occident s’enfonce dans l’individualisme, la décadence et la perte du sentiment patriotique.
Les générations élevées dans l’opulence et le confort absolu n’ont jamais connu l’épreuve du feu. Les jeunes Occidentaux ne sont plus préparés psychologiquement, ni même physiquement, à affronter un conflit d’envergure mondiale. Là où les guerres du passé ont été gagnées par l’engagement d’une population soudée autour de valeurs communes, les sociétés occidentales actuelles sont profondément atomisées et désorientées.
Cette déconstruction programmée n’est pas un accident. Elle a été orchestrée depuis des décennies par les élites mondialistes à travers l’endoctrinement médiatique, l’éducation nivelée par le bas et la glorification du pacifisme à tout prix. En détruisant l’esprit de corps, la mémoire historique et la notion de devoir national, ces élites ont rendu les peuples incapables de défendre leur propre civilisation.
Une guerre idéologique pour le contrôle des peuples
La Troisième Guerre mondiale ne se joue pas seulement sur le terrain militaire. Elle est aussi une guerre cognitive. Les peuples occidentaux sont soumis à un conditionnement de masse, orchestré par les médias et les institutions supranationales, visant à maintenir l’illusion de paix et de prospérité pendant que l’effondrement s’accélère.
Les vérités dérangeantes sont censurées, les discours dissidents sont diabolisés, et toute tentative de contestation est réprimée sous l’accusation de complotisme ou de désinformation. Cette manipulation ne fait que renforcer l’apathie générale, rendant les masses incapables de réagir aux véritables enjeux qui détermineront leur avenir.
Dans le même temps, les flux migratoires massifs, l’ingénierie sociale et la fragmentation ethnique des nations occidentales sont des armes de guerre non conventionnelles utilisées pour affaiblir et diviser les sociétés. En diluant les identités nationales et en imposant des modèles multiculturels dysfonctionnels, les élites mondialisées s’assurent qu’aucune cohésion sociale ne puisse renaître en cas de crise majeure.
Vers un embrasement total ?
Les tensions entre les grandes puissances atteignent un point critique. L’affrontement militaire direct entre blocs devient de plus en plus probable. La course aux armements s’accélère, les alliances stratégiques se redessinent et les conflits par procuration se multiplient.
Le dollar vacille, les BRICS s’organisent pour imposer une alternative monétaire, et les guerres énergétiques redéfinissent la carte du pouvoir mondial. L’Occident est en perte de vitesse, tandis que l’Eurasie prend de plus en plus l’ascendant. La fenêtre d’opportunité pour un conflit militaire majeur est ouverte, et les années à venir seront décisives.
Les peuples occidentaux sont-ils prêts à affronter ce choc ? La réponse est évidente : non. Une population qui a perdu tout sens du collectif, du sacrifice et de la résilience ne peut pas survivre à un conflit d’une telle ampleur. L’avenir appartient aux nations préparées, disciplinées et déterminées à défendre leur souveraineté.
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