Hommage au Dr Gayet : le grand résistant de la crise sanitaire

Radié pour avoir défendu des traitements précoces, le Dr Gayet a combattu la dictature sanitaire jusqu’à sa mort, symbole d’une médecine libre et dissidente. Radié pour avoir défendu des traitements précoces, le Dr Gayet a combattu la dictature sanitaire jusqu’à sa mort, symbole d’une médecine libre et dissidente.

Le 6 avril à 19h, le Professeur Christian Perronne et Nicolas Meyer sont les invités de Mike Borowski, pour rendre hommage au Docteur Stéphane Gayet, en direct sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !

Le Professeur Christian Perronne est un infectiologue français, ancien chef de service à l’hôpital de Garches et spécialiste des maladies infectieuses. Il s’est distingué par ses travaux sur la maladie de Lyme et ses critiques de la gestion sanitaire, notamment durant la pandémie de Covid-19. Auteur de plusieurs ouvrages, il reste une figure controversée du débat médical.

Le Dr Nicolas Meyer incarne une vision critique de la gouvernance sanitaire contemporaine. Expert en santé publique et biostatistique, il dénonce la confiscation de la recherche par des logiques politico-industrielles. Défenseur d’une science libre, il plaide pour une refondation de la santé publique, affranchie des injonctions technocratiques et des conflits d’intérêts.

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Le Dr Gayet, une figure de proue de la résistance médicale

Le Dr Stéphane Gayet s’est imposé comme l’un des médecins les plus déterminés à s’opposer à la gestion sanitaire autoritaire du Covid-19. Infectiologue expérimenté et spécialiste en hygiène hospitalière, il n’a jamais cédé à la pression médiatique ni institutionnelle. Dès les premiers mois de la crise, il a plaidé pour des traitements précoces, notamment l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine, considérant qu’attendre l’aggravation des symptômes pour traiter relevait de la non-assistance à personne en danger. Ce positionnement l’a immédiatement placé dans le viseur de l’appareil sanitaire, qui refusait catégoriquement tout protocole sortant du cadre vaccinal ou des consignes gouvernementales strictes. Harcelé par le Conseil de l’Ordre jusqu’à sa radiation, puis frappé par la maladie, le Dr Gayet est mort en février 2025, victime d’un acharnement institutionnel que ses proches dénoncent comme un véritable assassinat moral.

Gayet a été un porte-voix de la liberté thérapeutique, défendant avec constance le rôle central du médecin dans la décision de soin, contre la bureaucratisation croissante de la médecine. Il a dénoncé avec force la manière dont le Conseil de l’Ordre, au lieu de protéger les praticiens indépendants, s’est transformé en bras armé du ministère de la Santé, traquant toute pensée divergente. Le Dr Gayet a parlé, écrit, enseigné, sans jamais plier. Il a soutenu les collectifs de soignants suspendus, les scientifiques censurés, et tous ceux qui osaient s’opposer à la doxa sanitaire imposée.

Cette posture lui a valu une radiation brutale en 2022, sanction maximale, prononcée pour des prescriptions jugées « non conformes ». Cette décision a été prise dans un contexte de délation organisée, ses confrères ayant transmis ses ordonnances au Conseil de l’Ordre. Le Dr Gayet a assumé ses actes sans faillir, refusant de renier ses principes. Pour beaucoup, cette radiation fut l’exemple parfait d’une chasse aux sorcières institutionnelle, visant à faire taire ceux qui mettaient en question le tout-vaccinal et la soumission totale au protocole unique.

Une guerre ouverte contre le dogme sanitaire

Le Dr Gayet n’était pas seulement un praticien expérimenté, c’était aussi un intellectuel libre, rigoureux et incisif. Il a écrit de nombreux articles pour vulgariser les dérives sanitaires de l’époque, expliquant les risques de la politique du “tout injection” et la marginalisation de la réflexion médicale individuelle. Il dénonçait avec constance l’utilisation des agences de santé comme relais idéologiques, imposant des normes absurdes, souvent contre-productives, en particulier dans les établissements hospitaliers. Il a montré que ces protocoles étaient dictés non pas par l’efficacité clinique, mais par des intérêts politico-économiques, souvent liés à l’industrie pharmaceutique.

Gayet a également mis en lumière la terreur administrative infligée aux médecins qui sortaient du rang. Auditions, menaces, sanctions, suspensions de traitement : le système a organisé une répression systémique de la pensée médicale indépendante. Il a témoigné de cette pression, tout en continuant de parler publiquement. Il savait que cela mettait en jeu sa réputation, sa carrière, sa santé même. Mais il a tenu bon, persuadé que son rôle était de résister au mensonge et de défendre les fondements éthiques de la médecine : soigner selon sa conscience et le bien du patient.

La persécution institutionnelle, prolongée et brutale, a été un facteur aggravant dans l’évolution de sa maladie. Entouré par la solidarité d’autres soignants dissidents, il a continué à dénoncer la dérive autoritaire du monde médical jusqu’à ses derniers jours. Il a laissé un message limpide : la médecine ne peut survivre sans liberté. Son combat est devenu un symbole pour tous les résistants à la dictature sanitaire, et son nom circule aujourd’hui dans tous les cercles de réflexion indépendante sur la santé et la vérité scientifique.

Pionnier oublié de la lutte contre la maladie de Lyme

Bien avant la pandémie, le Dr Gayet s’était déjà illustré dans un autre combat : la reconnaissance de la maladie de Lyme chronique. Alors que la plupart des infectiologues français niaient son existence, il écoutait, examinait et traitait les patients que la médecine institutionnelle avait abandonnés. Il fut l’un des premiers à affirmer que les diagnostics officiels étaient souvent insuffisants, et que de nombreux malades restaient sans prise en charge adaptée. Il a proposé des protocoles thérapeutiques évolutifs, inspirés de la pratique américaine, plus avancée sur ce terrain.

Il a soutenu les associations de patients et s’est heurté, une fois encore, à l’hostilité des institutions. Pourtant, il a continué à publier, à enseigner et à recevoir, jusqu’à sa retraite, des malades venus de toute la France. Pour ces patients, il représentait l’un des rares médecins à ne pas nier leur souffrance. Il a compris avant tout le monde que la maladie de Lyme était le symptôme d’une médecine française figée dans ses certitudes, incapable d’évoluer face aux complexités cliniques modernes.

Ce combat a renforcé son engagement global : contre la pensée unique, pour une médecine de terrain, humaine, courageuse. Sa vision transversale des risques infectieux, son approche clinique ancrée dans la réalité du malade, et son rejet de l’idéologie administrative, font de lui un pionnier inclassable, aujourd’hui encore méprisé par les institutions, mais salué par tous ceux qui refusent de se soumettre à une médecine déshumanisée. Sa mort, en février 2025, a laissé un vide immense dans le cœur des résistants médicaux et des milliers de patients qu’il a aidés contre vents et marées.

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