🔥 Les essentiels de cette actualité
- Thibault Kerlirzin dévoile l’agenda caché du Forum de Davos sur l’entomophagie, une stratégie pour transformer notre alimentation et notre société.
- Le Forum de Davos, avec l’ONU, pousse les insectes comme solution écologique, mais c’est un cheval de Troie pour contrôler notre consommation.
- L’entomophagie s’inscrit dans un plan global de réduction des libertés et de réorientation vers une société post-industrielle.
- Chaque crise sert de prétexte pour imposer des normes intrusives, où l’insecte symbolise une société sans voix pour l’individu.
Le 20 avril à 19h, Thibault Kerlirzin est l’invité de La Grande Émission animée par Raphaël Besliu sur Géopolitique Profonde.
Thibault Kerlirzin est un consultant en stratégie d’intelligence économique, diplômé de l’Ecole de Guerre Economique et de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales. Depuis plusieurs années, il s’est spécialisé dans l’analyse du rôle trouble que jouent les ONG, autoproclamées porte-voix de l’intérêt général, dans la guerre économique qu’affrontent les entreprises et les acteurs publics. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur l’influence des lobbies écologistes, de George Soros, de Davos et de Maurice Strong.
L’entretien avec Thibault Kerlirzin dévoile comment l’introduction des insectes dans notre alimentation s’inscrit dans un agenda précis orchestré par Davos.
Insectes et alimentation : l’agenda caché du Forum de Davos
« Vous mangerez des insectes » : derrière cette phrase devenue virale se cache une idéologie bien plus profonde que la simple expérimentation culinaire. Ce projet, porté à bout de bras par le Forum économique mondial, prétend résoudre les crises alimentaires et écologiques en imposant un nouveau régime de consommation. Mais à y regarder de plus près, l’entomophagie s’intègre dans un plan global de transformation sociale et politique, où contraintes écologiques et gouvernance technocratique vont de pair. L’entretien exclusif avec Thibault Kerlirzin lève le voile sur les coulisses d’une opération bien rodée.
La promotion méthodique des insectes
Depuis une décennie, le Forum de Davos, épaulé par l’ONU via la FAO, orchestre une campagne massive de promotion des insectes comme source alimentaire. Sous couvert d’arguments écologiques et nutritionnels, cette démarche bénéficie du soutien d’organismes influents, de multinationales et de figures médiatiques. IKEA conçoit ses propres bugburgers, la presse normalise la pratique, et les célébrités hollywoodiennes jouent le rôle de vitrines publicitaires. L’Union européenne emboîte le pas, multipliant les autorisations de mise sur le marché pour divers types d’insectes transformés.
Mais cette stratégie n’est pas spontanée. Elle s’inscrit dans un schéma cohérent de réduction de la consommation de viande, de modification des habitudes alimentaires et de réorientation de l’agriculture mondiale. L’insecte devient un cheval de Troie : ce n’est pas l’aliment qui compte, mais le message de soumission à un modèle unique et planifié de survie collective.
L’agenda de Davos : insectes et contrôle alimentaire global
L’entomophagie s’insère dans un récit plus large, celui de la transition vers une société post-industrielle, pilotée par des élites mondialistes. Ce récit, martelé à travers les notions de développement durable, d’empreinte carbone et d’économie circulaire, impose une reconfiguration complète des modes de vie. L’objectif n’est pas de nourrir, mais de discipliner. La consommation d’insectes, comme le pass carbone ou la limitation des naissances, relève de la même logique d’ingénierie sociale : créer l’illusion du choix dans un système contraint.
Ce projet s’accompagne d’une restriction des libertés concrètes. Moins de viande, moins de voitures, moins d’enfants. En échange : la promesse d’un monde sauvé, mais au prix d’une servitude douce, maquillée en vertu écologique. L’UE, loin d’agir pour ses peuples, agit comme relais zélé de cet agenda international, sacrifiant l’abondance alimentaire sur l’autel d’un pseudo-progrès vert.
De la crise à la contrainte, un basculement orchestré
Le véritable danger n’est pas l’insecte en tant que tel. C’est la manière dont il symbolise une société où l’individu n’a plus voix au chapitre. Chaque crise – qu’elle soit sanitaire, environnementale ou économique – sert de prétexte à l’imposition de normes de plus en plus intrusives. L’alimentation à base d’insectes devient alors un marqueur : celui d’un monde où l’humain est reprogrammé pour « survivre proprement », mais non pour vivre pleinement.
Thibault Kerlirzin, dans son enquête, démontre que ce basculement n’est ni fortuit ni isolé. Il résulte d’une convergence d’intérêts entre institutions internationales, fondations privées et gouvernements acquis à la cause transnationale. Leur but : imposer une nouvelle rationalité politique où l’exception devient règle, et où la norme se construit sur la peur et la pénurie organisée.
IMPORTANT - À lire
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