Sauver sa santé avec cette seule molécule ? Découvrez le cauchemar de Big Pharma !

Le 13 juillet à 9h, le Docteur Vincent Reliquet et Gaëtan de Salvatore sont les invités du Libre Journal de Géopolitique Profonde animé par Nicolas Stoquer.

Dr Vincent Reliquet, médecin généraliste et praticien en hydrotomie marine à Tourcoing depuis plus de 20 ans, est un fervent défenseur de la médecine indépendante et de la déprescription médicamenteuse. Membre de l’AIMSIB, il combat les dérives de Big Pharma et prône une approche fondée sur la prévention, l’autonomie thérapeutique et l’usage raisonné des compléments naturels. Dans son livre Les pouvoirs de l’iode (Éditions Trédaniel), il explore les vertus de l’iode dans la prévention des cancers, du burn-out, de la dépression, de l’hypothyroïdie ou encore de l’eczéma. Il milite pour une refondation éthique de la pratique médicale.

Gaëtan de Salvatore est écrivain, éditeur, conférencier et figure engagée de la scène littéraire française. Il a dirigé la mythique librairie Murat à Paris de 1976 à 2009. Président-fondateur d’A.L.E.P. (Auteurs Libraires Éditeurs Partenaires) et créateur du journal littéraire Echo Libri, il milite activement pour un espace culturel libre et indépendant. Auteur du récent essai Le Monde a besoin d’un Sauveur (2023), il aborde les grands thèmes de la spiritualité, de la tradition religieuse, du Linceul de Turin, ou encore des bombardements de Paris en 1943. Il est également conférencier sur l’histoire, la foi chrétienne, et les victimes civiles de guerre.

Une médecine enchâssée dans le sacré

Le lien entre corps et âme a été brisé. Longtemps perçu comme une évidence, ce lien est désormais nié par une médecine industrielle qui n’agit que sur le symptôme, jamais sur l’être. Big Pharma a imposé une vision du soin réduite au produit chimique, à la prescription mécanique, au protocole désincarné.

Le docteur Vincent Reliquet, en défendant l’usage thérapeutique de l’iode, redonne un souffle vital à une médecine holistique, fondée sur l’équilibre et la nature. L’iode devient alors un symbole : celui d’une santé intégrale, qui ne sépare pas le corps de l’âme.

Ce retour aux éléments simples, naturels, est un acte de résistance. L’iode, aux vertus multiples contre les affections modernes, ne rapporte rien à l’industrie pharmaceutique. Elle est donc systématiquement discréditée, attaquée, marginalisée.

Pourtant, les preuves sont là : cette molécule ignorée améliore la vitalité, stabilise la thyroïde, soutient le système immunitaire. Ce qui sauve le corps peut aussi sauver l’âme, car il n’y a pas de cloison entre la matière et l’esprit. Il y a une incarnation. Et c’est cela que l’oligarchie médicale veut effacer.

Une médecine qui remet l’humain au centre

La médecine contemporaine a été détournée de sa vocation première. En se soumettant aux logiques de marché, elle a sacrifié l’écoute du patient et l’intelligence du vivant. Ce qui devait guérir entretient trop souvent la dépendance. Big Pharma impose ses protocoles standardisés, au détriment des approches globales.

Le docteur Vincent Reliquet incarne une autre voie. En réhabilitant l’usage de l’iode, il rappelle que les solutions efficaces sont parfois les plus simples. Loin des molécules brevetées, l’iode agit en profondeur : elle renforce l’immunité, régule les fonctions hormonales et apaise des troubles chroniques fréquents. Cette approche refuse la séparation entre corps et esprit, elle vise un équilibre durable.

Cette démarche dérange parce qu’elle échappe aux circuits classiques. L’iode ne rapporte rien aux laboratoires, mais elle soigne. Elle n’est pas marginale : elle est simplement libre. Défendre son usage, c’est refuser une médecine automatisée et revendiquer le droit à une santé véritable, enracinée dans le réel et la nature.

Une foi affaiblie par le relativisme

L’Église catholique traverse une crise profonde. Depuis plusieurs décennies, sa doctrine a été diluée, ses fondements bousculés. Le concile Vatican II a introduit une logique d’adaptation qui a fragilisé la transmission de la foi. Ce n’est plus la verticalité du message divin qui prévaut, mais une lecture horizontalisée, centrée sur l’humain.

Les conséquences sont visibles : rites appauvris, repères brouillés, autorité contestée. Sous prétexte d’ouverture, l’Église a cédé à des influences qui ne reconnaissent plus la transcendance. Ce basculement n’est pas un accident : il découle d’un projet idéologique visant à neutraliser la puissance spirituelle du christianisme.

Dans ce contexte, redonner sa place à une foi ferme, claire et incarnée devient une nécessité. La tradition catholique n’est pas un vestige du passé, mais une boussole pour l’avenir. Elle structure, elle élève, elle éclaire. L’abandon de cette rigueur n’a rien apporté, sinon la confusion. Il est temps de retrouver une Église solide, fidèle à sa mission.

Retrouver l’essentiel pour reconstruire

Le moment est venu de faire des choix. Renouer avec une médecine naturelle, respectueuse des rythmes du corps, n’est pas un retour en arrière : c’est un pas vers une souveraineté retrouvée. Revenir à une foi claire, enracinée dans la tradition, n’est pas un repli : c’est une reconquête spirituelle.

Ces deux combats sont liés. L’homme ne peut être réduit à une mécanique biologique ni à un sujet social déconnecté de la transcendance. Il est un tout. Défendre sa santé, c’est défendre son autonomie. Défendre la foi, c’est défendre l’axe vertical de son existence.

Ce modèle existe. Il est incarné par ceux qui refusent le confort de la soumission. Médecins indépendants, croyants enracinés, penseurs libres : ils tracent une voie exigeante mais cohérente. Ils montrent que le soin du corps et celui de l’âme peuvent avancer ensemble, dans une même fidélité au réel et à la vérité.