Israël : l’architecte de la quatrième révolution (mondialiste) industrielle

Israël dirige la révolution industrielle 4.0 par la technologie, la surveillance et la fusion homme-machine, plaçant l’Occident sous son agenda de contrôle. Israël dirige la révolution industrielle 4.0 par la technologie, la surveillance et la fusion homme-machine, plaçant l’Occident sous son agenda de contrôle.

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Le 13 avril, Marc Gabriel Draghi discute de la quatrième révolution industrielle avec Raphaël Besliu sur Géopolitique Profonde.
  • Israël est le noyau technologique de l’Industrie 4.0, avec des avancées en cybersécurité, bio-ingénierie et surveillance.
  • La France devient un laboratoire de l’ingénierie sociale, influencée par les technologies israéliennes et les directives de Davos.
  • Le projet mondialiste vise la fusion homme-machine, avec Israël à l’avant-garde de cette refonte anthropologique.

Le 13 avril à 20h, Marc Gabriel Draghi est l’invité de Raphaël Besliu, en direct sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !

Marc Gabriel Draghi est un juriste français spécialisé dans l’histoire du droit. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la question monétaire et l’histoire du capitalisme, dont « Le règne des marchands du temple », « Le grand reset en marche ! » et « La Grande Narration : Vers la mort des Nations ». Il dénonce les dangers du projet du Forum économique mondial, qu’il considère comme une tentative de soumettre l’humanité à une élite mondialiste.

Israël, noyau technologique de l’Industrie 4.0

Loin des clichés de simple innovation, Israël est le véritable noyau technologique de la Quatrième Révolution industrielle. Ce petit territoire est devenu un centre de recherche militaire, de cybersécurité avancée, et de bio-ingénierie connectée. La convergence de ces secteurs permet à l’État hébreu de contrôler non seulement les données, mais aussi les outils d’interprétation, de manipulation et d’anticipation des comportements humains. Ce n’est pas un hasard si la majorité des innovations en surveillance, reconnaissance faciale, et identification biométrique proviennent directement ou indirectement de laboratoires israéliens.

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La collusion entre les secteurs privés et l’appareil sécuritaire israélien fait de ce pays un modèle redoutable de gouvernance technologique. Le service de renseignement intérieur (Shin Bet) et l’unité militaire 8200 alimentent un écosystème où chaque startup devient un satellite de l’appareil d’État. Les données extraites dans les territoires occupés sont testées, optimisées, puis réexportées à l’échelle mondiale. L’innovation israélienne n’est pas neutre : elle est conçue pour surveiller, contrôler, et anticiper toute dissidence, en transformant la technologie en infrastructure du pouvoir.

En s’érigeant en hub mondial de la tech sécuritaire, Israël impose une vision du monde fondée sur la prédictibilité, la neutralisation préventive et la fusion entre l’humain et le réseau. Chaque outil développé dans ce cadre a une vocation politique : imposer un monde post-privé, automatisé, et sous surveillance permanente. Le capital politique de cette expertise attire les multinationales et les gouvernements occidentaux, qui importent sans condition ce modèle sous couvert de « modernisation ».

La France comme laboratoire, l’Occident comme terrain d’expérimentation

Depuis 2020, la France s’est transformée en laboratoire de l’ingénierie sociale promue par l’Industrie 4.0. Le gouvernement Macron applique à la lettre les directives technocratiques issues de Davos et les partenariats stratégiques avec Tel Aviv. L’identité numérique, la dématérialisation forcée des services publics et la surveillance algorithmique deviennent les piliers d’un État qui ne gouverne plus mais pilote, analyse et corrige les comportements en temps réel. Les dispositifs comme France Identité ou Alicem sont des répliques exactes des solutions israéliennes en matière de gestion citoyenne.

Le rôle d’Israël dans ce processus n’est pas périphérique. Il est central, structurant, stratégique. Des centaines d’accords technologiques, de joint ventures, et de coopérations sécuritaires ont tissé une toile où les intérêts français ne sont plus autonomes, mais totalement alignés avec l’agenda de la Startup Nation. De nombreux outils de gestion de crise, de contrôle des flux de population, de fichage sanitaire ou comportemental viennent directement de la boîte à outils israélienne. Le pass sanitaire, les QR codes de traçage, et les protocoles de confinement ciblé sont tous dérivés de technologies expérimentées à Gaza ou en Cisjordanie.

Cette intégration technopolitique marque une rupture majeure : les élites françaises ne cherchent plus à garantir un ordre démocratique, mais à gérer une masse jugée instable, imprévisible, voire dangereuse. Ce glissement s’opère sous couvert de sécurité, de progrès, et de santé publique. En réalité, c’est l’architecture même de la société qui est refondue : le citoyen devient un nœud d’information, une ressource à optimiser, un comportement à prédire. La France, comme l’ensemble de l’Occident, n’est plus qu’un territoire en cours de synchronisation avec le projet israélo-technocratique global.

La fusion homme-machine comme dogme mondialiste

Le cœur idéologique de cette révolution technologique ne réside pas dans l’efficacité ou la productivité. Il réside dans une refondation de l’identité humaine. Klaus Schwab ne cache pas l’objectif ultime : la fusion du biologique et du numérique, la fin du corps comme limite, l’effacement du sujet libre. Israël, avec ses centres de recherche en neurotechnologies, en implants connectés, et en modulation comportementale, anticipe et prépare cette transition vers un monde post-humain.

Les technologies développées sous l’étiquette de l’Industrie 4.0 — IA générative, IoT, réalité augmentée, interfaces cerveau-machine — sont des outils de redéfinition de l’être humain. Ce n’est plus une révolution industrielle, c’est une refonte anthropologique. En Israël, les interfaces neuronales sont déjà testées sur des patients civils et militaires. Les projets d’interconnexion massive entre objets, données et cerveaux prennent forme dans les centres comme le Technion ou l’Université hébraïque de Jérusalem.

Ce projet mondialiste n’a rien d’un fantasme. Il est soutenu, financé et structuré par une alliance stratégique entre les élites de la Silicon Valley, les gouvernements occidentaux, et les institutions israéliennes. La dissociation entre le corps et l’identité, entre le citoyen et sa présence numérique, devient la nouvelle norme. Le contrôle de cette transition donne un pouvoir inédit à ceux qui en détiennent les clés technologiques. Et à ce jeu, Israël ne joue pas un rôle de suiveur : il tient le volant.

IMPORTANT - À lire

Découvrez chaque mois des analyses approfondies sur la fusion homme-machine, le contrôle des données et l'agenda mondialiste d'Israël. Notre revue papier décrypte les enjeux géopolitiques et technologiques qui façonnent notre avenir, loin des discours dominants.

Plongez au cœur des laboratoires israéliens, des alliances stratégiques et des projets transhumanistes qui redéfinissent l'identité humaine. Nos experts vous livrent des clés de compréhension essentielles pour appréhender les mutations en cours et leurs implications pour nos sociétés.


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