Le 19 janvier à 12h30, Mike Borowski dénonce la destruction de la statue de Jeanne d’Arc à Nice, une attaque orchestrée par des élites idéologiques et la franc-maçonnerie pour effacer l’identité chrétienne et patriotique de la France au profit d’une cancel culture mondialiste.
Nice abat un monument de foi et de patriotisme
La destruction de la statue de Jeanne d’Arc à Nice ne relève pas d’un simple désaccord administratif. Il s’agit d’une attaque frontale contre l’identité française, orchestrée par des élites idéologiques et soutenue par un système judiciaire infiltré par des cercles anti-traditionnels. Cette opération marque une étape supplémentaire dans la guerre culturelle menée contre la mémoire nationale.
La préfecture a invoqué un « manquement financier » de 170 000 euros pour justifier la destruction de cette statue. Cette excuse est une façade hypocrite. Si une telle situation avait concerné une œuvre contemporaine ou progressiste, aucun obstacle administratif n’aurait été soulevé. Ici, la cible est claire : Jeanne d’Arc, symbole de la France chrétienne et patriote, dérange parce qu’elle incarne tout ce que les élites veulent effacer.
La sculpture, réalisée par l’Atelier Missor, reconnu pour son ancrage catholique et traditionaliste, subit une attaque délibérée. Ce n’est pas un hasard. Les œuvres liées à notre héritage sont systématiquement visées par des institutions devenues des relais d’un progressisme destructeur. Pendant ce temps, des manifestations ouvertement contraires aux valeurs françaises, comme les festivals satanistes à Toulouse, sont protégées et financées. Le deux poids, deux mesures est flagrant : ce qui célèbre l’identité nationale est attaqué, ce qui la dénigre est encouragé.
Cette destruction à Nice n’est pas un cas isolé, mais bien une pièce supplémentaire dans le puzzle de la déconstruction systématique de notre histoire.
La franc-maçonnerie orchestre l’effacement de l’identité française
La franc-maçonnerie joue un rôle central dans cette offensive contre l’identité française. Ce réseau, solidement implanté dans les sphères judiciaires et administratives, agit comme le levier principal d’une stratégie visant à déraciner la mémoire collective de la France. Son hostilité historique envers l’Église catholique et la tradition nationale se traduit aujourd’hui par des décisions qui ciblent spécifiquement les symboles enracinés de notre histoire.
Jeanne d’Arc représente une France fière, chrétienne et patriote. Ces valeurs sont incompatibles avec l’idéologie universaliste et déracinée promue par les cercles maçonniques. Ces derniers orchestrent une guerre culturelle sous des apparences légales, manipulant les institutions pour effacer les figures emblématiques de notre héritage. La justice française, largement infiltrée, applique cette stratégie avec zèle. Ce n’est pas une coïncidence si des projets progressistes obtiennent systématiquement le soutien des institutions tandis que les œuvres traditionalistes sont systématiquement attaquées.
La méthode est claire : effacer, remplacer, reprogrammer. Jeanne d’Arc est une cible parce qu’elle incarne une identité forte et un socle de valeurs que ces cercles veulent anéantir.
Les héros de la France éliminés au nom du progressisme
Jeanne d’Arc n’est pas simplement une figure historique. Elle est le symbole de la résistance, de la foi et du patriotisme. Elle représente l’unité de la France face à l’adversité, une inspiration pour des générations de Français. La destruction de sa statue à Nice est bien plus qu’un acte administratif : c’est une déclaration de guerre contre l’histoire de France et son identité.
Ce démantèlement envoie un message clair : tout ce qui incarne la grandeur de la France doit disparaître pour laisser place à une société déconnectée de ses racines. Pendant que des symboles de décadence sont célébrés, les héros de la nation sont éliminés. Cette opération s’inscrit dans un projet global de cancel culture, où l’on réécrit l’histoire pour la rendre compatible avec les idéologies mondialistes.
Effacer Jeanne d’Arc, c’est effacer l’âme française. C’est nier la fierté d’un peuple pour lui imposer une vision déracinée. C’est substituer l’héroïsme par l’oubli. Cette attaque est un signal : la mémoire nationale est la prochaine cible d’un système hostile à tout ce qui fait la force de la France.
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