Officiel : vous ne pouvez plus critiquer la folie LGBT !

Analyse d'une justice à deux vitesses et d'une propagande LGBT imposée à travers la culture officielle en France. Analyse d'une justice à deux vitesses et d'une propagande LGBT imposée à travers la culture officielle en France.

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Le 5 mai 2025, sept citoyens condamnés pour avoir critiqué un spectacle de Thomas Jolly. Peines de prison avec sursis, amendes et stage de citoyenneté imposés.
  • La justice française réprime les critiques en ligne, protégeant les artistes proches du pouvoir. Les réseaux sociaux deviennent des pièges pour les opposants.
  • Le spectacle de Jolly, perçu comme une provocation, a divisé les Français. Critiques légitimes transformées en délit, instaurant une censure judiciaire.
  • Le traitement médiatique et judiciaire vise à imposer le silence et l’adhésion. La criminalisation du désaccord s’installe par la peur et la sanction.

Le 7 mai à 12h30, Nicolas Stoquer révèle comment la justice, les JO Paris 2024 et la propagande LGBT ont scellé l’interdiction de critiquer le pouvoir… même d’un simple tweet.

Justice d’exception pour artiste sous protection

Le jugement du 5 mai 2025 marque un tournant répressif dans la gestion de l’expression en ligne. Sept citoyens, sans antécédents, ont été condamnés à des peines de prison avec sursis, à des amendes lourdes et à un stage de citoyenneté, simplement pour avoir exprimé leur indignation face à un spectacle qu’ils jugeaient dégradant. Les sanctions visent à intimider les opposants au discours officiel. Il ne s’agit plus de protéger la dignité d’un homme, mais de faire taire toute critique sur les réseaux sociaux.

Le deux poids deux mesures devient une politique assumée. Les discours de haine islamiste qui ont précédé l’assassinat de Samuel Paty avaient été négligés, minimisés, relégués au second plan. Ici, dès les premières heures après la diffusion des critiques envers Thomas Jolly, la machine judiciaire s’est emballée. Perquisitions, gardes à vue, réquisitions de comptes numériques : l’arsenal répressif a été déployé sans retenue. La justice spectacle protège les protégés du pouvoir, pas le peuple.

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Ce jugement est politique. La justice a appliqué les consignes du pouvoir, sans chercher à nuancer les propos tenus par des individus souvent désespérés, indignés, exaspérés. Les réseaux sociaux deviennent piégés, chaque mot peut valoir la prison. Ceux qui osent contester la propagande LGBT ou la direction artistique des JO deviennent des cibles. L’affaire Thomas Jolly cristallise cette dérive autoritaire masquée derrière le vernis de la “lutte contre la haine”.

La cérémonie de la discorde

Le spectacle de Thomas Jolly n’était pas un hommage à la culture française ni une célébration du sport. C’était une scène de provocation, pensée pour choquer, cliver, polariser. L’image d’un dîner travesti, clairement inspirée de la Cène, avec des drag queens surjouant le sacré, a été perçue comme une insulte par des millions de Français. Plutôt qu’unir autour des JO, la cérémonie a divisé profondément un peuple déjà fracturé.

La présence d’artistes militants LGBT, mis en avant comme ambassadeurs culturels, n’était pas neutre. C’était un acte idéologique, assumé, revendiqué. Jolly a imposé sa vision, sous couvert d’“art vivant”, en instrumentalisant un événement national pour promouvoir une lecture politique du monde. Les millions de téléspectateurs ont assisté à un spectacle excluant, moralisateur, destiné à rééduquer le regard populaire plutôt qu’à émerveiller ou fédérer.

Face à cette mise en scène, les critiques n’étaient ni haineuses ni gratuites : elles étaient l’expression d’une colère légitime. Les symboles religieux tournés en dérision, les normes sociales renversées, la fierté nationale diluée dans un message globaliste – voilà ce qui a fait réagir. Les Français n’ont pas vu une célébration, ils ont vu un détournement de leur mémoire collective, une provocation cynique mise en scène avec arrogance.

Répression et silence imposé

Désormais, critiquer un spectacle subventionné devient un délit. Le procès de ces sept Français révèle la volonté d’instaurer une censure judiciaire sur la parole numérique. Quand l’État protège à ce point un metteur en scène, jusqu’à surveiller et condamner les propos tenus contre lui, c’est qu’il y a connivence assumée entre pouvoir culturel et pouvoir politique. Thomas Jolly, protégé de Brigitte Macron, devient intouchable.

La condamnation collective des critiques de Jolly n’a rien d’isolé. Elle s’inscrit dans une stratégie globale de criminalisation du désaccord. Peu importe la forme : tweet maladroit, message privé, publication en colère… Tout est scruté, interprété, retourné contre les citoyens. L’idéologie dominante s’installe non pas par débat, mais par la peur et la sanction. Le simple fait de ne pas applaudir le discours officiel devient suspect.

Le traitement médiatique achève le processus. Les grands titres, alignés, n’ont repris que le point de vue de la victime désignée. Aucun espace pour le doute, aucune interrogation sur le caractère disproportionné des peines. Ce n’est plus la justice qui apaise, mais une vengeance étatique, sous couvert d’humanisme. L’État exige non seulement le silence, mais l’adhésion. Et ceux qui refusent seront poursuivis, condamnés, effacés.

IMPORTANT - À lire

La justice d'exception protège les artistes sous couvert d'humanisme, et criminalise le désaccord des citoyens. L'idéologie dominante s'installe par la peur et la sanction, exigeant l'adhésion plutôt que le débat.

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