🔥 Les essentiels de cette actualité
- Alain Soral et Fabrice Di Vizio débattent sur l’avenir de la France ce soir à 19h sur Géopolitique Profonde.
- La République et l’Union européenne accusées de détruire l’identité française. La laïcité, une arme de décomposition nationale ?
- Le catholicisme proposé comme solution pour sauver la France. Renaissance spirituelle nécessaire pour restaurer l’unité nationale ?
Le 28 avril à 19h, Alain Soral et Fabrice Di Vizio sont les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.
Alain Soral est un intellectuel et essayiste franco-suisse. Président de l’association Égalité et Réconciliation, il a également fondé la maison d’édition Kontre Kulture. Personnalité sulfureuse, ses analyses lui ont valu une persécution médiatique, politique et judiciaire colossale.
Maître Fabrice Di Vizio s’est fait connaître comme un fervent défenseur des libertés individuelles et un opposant aux mesures sanitaires prises par le gouvernement français durant la pandémie de COVID-19. Avocat inscrit au barreau de Paris, il s’est imposé dans le paysage médiatique grâce à ses prises de position audacieuses et sa volonté de contester ce qu’il considère comme des atteintes aux libertés fondamentales.
La France traverse une crise existentielle sans précédent. À travers les fractures identitaires, religieuses et politiques, une question brutale s’impose : qui est responsable de l’assassinat de la nation française ?
Ce soir, deux invités confrontent leur analyse : responsabilité de la République, trahison par l’Union européenne, laïcité dévoyée, solution catholique. Une confrontation d’idées vitale pour comprendre si la France est condamnée ou si elle peut encore renaître.
République, ennemie intime de la France ?
La République est au cœur du procès : certains dénoncent son rôle actif dans la destruction méthodique de la France historique. Née dans le sang et la rupture, la République aurait installé un système fondé sur la négation des traditions, de la foi catholique et de l’identité nationale. Sous couvert d’émancipation, elle aurait méthodiquement arraché les fondations spirituelles et sociales du pays, livrant la nation aux idéologies de l’individualisme et du relativisme.
La laïcité serait l’une des armes principales de ce processus : présentée comme un principe neutre, elle aurait en réalité instauré une religion d’État sans Dieu, où toute transcendance est éradiquée au profit d’un humanisme stérile. Derrière cette façade de neutralité, la République aurait construit un ordre nouveau, hostile à tout ce qui fait l’âme française.
Europe, République et Laïcité : instruments de la décomposition nationale
L’Union européenne s’impose dans le débat comme une superstructure venant parachever l’œuvre de sape intérieure. Pour certains, elle n’est qu’une excroissance de la matrice républicaine, accélérant l’effacement des souverainetés et diluant l’identité des peuples au nom d’une uniformisation technocratique. Le lien entre République et Union européenne devient ainsi une évidence : même origine idéologique, même projet de dissolution.
La laïcité, quant à elle, dépasse le simple cadre juridique pour devenir une véritable idéologie d’État. En prétendant neutraliser le religieux, elle a vidé la société de ses repères métaphysiques, livrant le terrain à toutes les déviances et à toutes les dominations. Cette vacuité spirituelle alimente l’érosion de la cohésion nationale, affaiblit la résistance culturelle et précipite la France dans l’oubli d’elle-même.
Catholicisme, dernier rempart pour la survie française ?
Le retour au catholicisme est au centre des solutions envisagées. Pour beaucoup, la France ne peut être sauvée sans renouer avec ce qui l’a faite. Le baptême de Clovis, l’alliance millénaire entre le Trône et l’Autel, l’enracinement dans la foi chrétienne : autant d’éléments sans lesquels la France n’est qu’une coquille vide, incapable de retrouver sa grandeur passée.
Le catholicisme apparaît ainsi non comme une nostalgie, mais comme une nécessité historique et spirituelle. Il constitue la seule matrice capable de restaurer l’unité nationale, de redonner un sens au destin collectif et d’offrir une boussole morale à une société déboussolée. La politique sans foi n’aurait produit que des ruines ; seule une renaissance spirituelle pourrait reconstruire un ordre véritable.
Le débat de ce soir ouvre donc des questions fondamentales : faut-il sortir de la République, de l’Union européenne, ou rétablir d’abord la primauté du spirituel pour espérer une véritable restauration française ?
À travers l’affrontement des arguments, c’est l’avenir même de la France qui se joue.
IMPORTANT - À lire
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