🔥 Les essentiels de cette actualité
- Débat explosif le 26 juin à 19h sur GPV avec Alexandra Brazainville, critique des idéologies progressistes, et Yohan Pawer, fondateur du Collectif Éros.
- Bruno Moneroe, chanteur catholique et conservateur, défend les valeurs traditionnelles face à la pensée dominante.
- Animé par Mike Borowski, cet échange promet une confrontation idéologique intense. Ne manquez pas ce direct !
Le 26 juin à 19h, Alexandra Bazainville, Yohan Pawer et Bruno Moneroe sont les invités de Mike Borowski, en direct sur GPV !
Alexandra Brazainville est une influenceuse française engagée sur les questions sociétales et culturelles, notamment autour des thématiques de genre et d’identité. Connue pour ses prises de position critiques vis-à-vis des idéologies progressistes, elle intervient dans des médias alternatifs où elle défend une vision conservatrice et souverainiste de la société.
Yohan Pawer est un militant français et fondateur du Collectif Éros, un mouvement engagé contre l’idéologie woke et les dérives de l’extrême gauche. Très actif sur les réseaux sociaux, il se positionne au cœur des batailles culturelles contemporaines et mène une guerre idéologique assumée contre les courants dominants, notamment dans les sphères éducatives et médiatiques.
Bruno Moneroe est un chanteur et auteur-compositeur français, révélé par l’émission Nouvelle Star. Artiste catholique et conservateur, il utilise sa notoriété pour défendre des valeurs traditionnelles et critiquer la pensée dominante. Figure singulière de la droite culturelle, il mêle musique et engagement dans un discours résolument anti-woke.
Le LGBTisme comme outil de subversion culturelle
Le mouvement LGBT n’a jamais été une simple revendication de droits. Dès ses origines, il s’inscrit dans une dynamique de rupture totale avec les fondements civilisationnels. Ce que l’on présente comme une « lutte pour l’égalité » masque en réalité une opération métapolitique visant à dissoudre les repères traditionnels : famille, identité sexuelle, hiérarchie naturelle. Le LGBTisme ne se contente pas de réclamer l’intégration, il exige la déconstruction. Ses figures fondatrices, influencées par les milieux post-soixante-huitards, marxistes culturels et néo-freudiens, ont systématiquement posé l’hétérosexualité comme norme oppressive, la famille comme cellule fasciste, la différence des sexes comme construction artificielle à abolir.
Ce discours s’est progressivement institutionnalisé grâce à un travail de sape mené au sein des universités, des médias, des ONG, puis des structures de pouvoir. En se présentant comme une minorité opprimée, le lobby LGBT a imposé un renversement des valeurs fondé sur l’émotion, la victimisation et la culpabilisation. Loin de chercher l’harmonie, il vise à instaurer une inversion normative : glorification de la confusion, diabolisation de la stabilité, apologie de l’exception contre la règle. L’idéologie LGBT fonctionne ainsi comme un vecteur d’ingénierie sociale destiné à fracturer l’ordre naturel.
Macron, bras armé du progressisme destructeur
L’accession d’Emmanuel Macron au pouvoir marque un tournant décisif dans la radicalisation LGBT au sein de l’appareil d’État. Issu des sphères mondialistes, formé par des réseaux où se croisent intérêts financiers, loges et think tanks progressistes, Macron incarne la synthèse parfaite entre ultra-libéralisme économique et ultra-libéralisme sociétal. Sous sa présidence, le pouvoir s’aligne ouvertement sur les dogmes LGBT : promotion de la PMA sans père, criminalisation de toute critique de la transition de genre, subvention massive des associations queer.
L’État profond, au travers de ses leviers administratifs, judiciaires et médiatiques, soutient cette dynamique avec une férocité croissante. Toute opposition au narratif LGBT est immédiatement qualifiée de « discours de haine ». La parole est confisquée, la norme inversée, la dissidence psychiatrisée. Il ne s’agit plus d’une politique de tolérance, mais d’un programme de reprogrammation mentale. Le transhumanisme sexuel devient le nouveau sacré républicain. Macron, figure du mondialisme disruptif, fait ainsi de la transition de genre un marqueur de loyauté idéologique.
L’école comme champ de bataille de l’innocence
L’éducation nationale est devenue l’instrument privilégié de cette entreprise de subversion. Les drag queens, jadis reléguées aux marges nocturnes, investissent désormais les écoles primaires avec la bénédiction des rectorats. Sous prétexte de lutte contre les discriminations, des enfants de six ans assistent à des lectures « inclusives » où la provocation sexuelle se mêle à la confusion identitaire. Cette intrusion méthodique vise à disloquer la construction psychique de l’enfant dès son plus jeune âge, en attaquant la différence des sexes comme socle fondamental de son développement.
Le mariage pour tous fut la brèche inaugurale de cette offensive. Présenté comme un simple élargissement du droit, il a en réalité introduit un paradigme nouveau : celui de l’indifférenciation sexuelle institutionnalisée. À partir de là, toutes les digues ont cédé. Le concept même de père et de mère est devenu « oppressif ». L’enfant n’est plus accueilli dans un ordre symbolique, il est façonné par une volonté politique. Cette idéologie, qui prétend libérer les individus, les coupe en réalité de toute filiation, de toute transcendance, de toute verticalité.
Le rejet croissant des homosexuels face au LGBTisme militant
Face à cette dérive totalitaire, de nombreux homosexuels expriment leur rejet de l’idéologie LGBT. Ils refusent d’être instrumentalisés par un agenda politique qui les réduit à une identité victimisée, les coupe du réel, et les enferme dans une posture de combat permanent. Beaucoup dénoncent une récupération qui dénature leurs aspirations premières : vivre en paix, sans propagande ni prosélytisme. Ils constatent que le militantisme queer, en fusionnant avec l’idéologie woke, alimente un climat délétère de surveillance morale et d’intimidation intellectuelle.
Ce rejet est d’autant plus fort que le mouvement LGBT actuel nie la réalité biologique, ridiculise les différences naturelles et impose un relativisme forcené. La majorité des homosexuels ne se reconnaît pas dans cette surenchère identitaire, où l’on exige que chaque individu définisse son genre comme on choisit une application mobile. Ils voient dans cette évolution une trahison des combats passés, un détournement par des élites qui utilisent leur cause pour imposer un nouvel ordre mondial fondé sur la confusion, l’atomisation et l’oubli des racines.
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