Effondrement général : l’alerte de Pierre Jovanovic

Le 24 octobre à 7h, Marc-Gabriel Draghi, Lara Stam, Pierre Jovanovic et Xavier Cauquil sont les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer, en direct sur Géopolitique Profonde.

Marc Gabriel Draghi est un juriste français spécialisé dans l’histoire du droit. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la question monétaire et l’histoire du capitalisme, dont « Le règne des marchands du temple », « Le grand reset en marche ! » et « La Grande Narration : Vers la mort des Nations. » Il dénonce les dangers du projet du Forum économique mondial, qu’il considère comme une tentative de soumettre l’humanité à une élite mondialiste.

Lara Stam est chroniqueuse et animatrice, passée par Radio Courtoisie avant de rejoindre Géopolitique Profonde et GPTV. Spécialiste des questions de souveraineté et d’indépendance géopolitique, elle décrypte avec un ton incisif les crises internationales et les rapports de force mondiaux. Elle traite notamment des conflits oubliés (Arménie-Haut-Karabagh) et des enjeux multipolaires. Sur GPTV, elle a animé une émission nocturne, « Un Soir avec Lara », et contribue à d’autres formats comme « La Grande émission » sur GPTV et « Le Libre Journal de Géopolitique Profonde » sur Radio Courtoisie.

Pierre Jovanovic est un journaliste économique, éditeur et éditorialiste français, auteur d’essais historiques, théologiques, financiers et politiques. Il anime sa chaîne Youtube Pierre Jovanovic – La revue de presse et vient également de publier 888 : « L’humour noir et les pouvoirs surnaturels du Christ ». Grand défenseur de l’or et l’argent métal comme valeur refuge, il nous aidera à y voir plus clair dans ce sombre avenir économique qui nous tend les bras.

Xavier Cauquil est docteur en philosophie, essayiste et auteur de plusieurs ouvrages universitaires d’économie politique publiés aux éditions L’Harmattan. Spécialiste des dérives de l’Union européenne, il anime la chaîne YouTube EUROPHILO, où il analyse les enjeux de souveraineté et de géopolitique contemporaine.

Liquidation totale de la France par Macron

La France s’effondre sous le poids de ses propres traîtres. Emmanuel Macron n’a pas créé la décadence, il l’achève. Depuis Sarkozy, Hollande et leur clique d’atlantistes vendus à Washington et Bruxelles, le pays a été méthodiquement vidé de son âme, de son or, de sa fierté. L’incarcération de Nicolas Sarkozy n’est pas une injustice, c’est un symbole : celui d’un homme qui récolte la honte qu’il a semée.

Celui qui a vendu l’or français aux Américains, bombardé la Libye sur ordre de l’OTAN et trahi Kadhafi, découvre enfin ce que subit le peuple français depuis des décennies : l’humiliation, la peur, le mépris. Dans sa cellule, l’ancien président goûte à la misère morale qu’il a infligée à son pays. La liquidation de la France, commencée par lui, est aujourd’hui achevée par Macron.

Depuis son incarcération, des vidéos tournent dans les prisons : on y entend des détenus hurler toute la nuit pour l’empêcher de dormir. Les cris de vengeance liés à l’affaire Kadhafi résonnent comme un jugement du destin. Ceux qu’il méprisait, ceux qu’il condamnait à la misère et au chaos social, lui renvoient aujourd’hui le cri du peuple trahi. Sarkozy, fossoyeur de la souveraineté nationale, goûte enfin la brutalité de la République qu’il a façonnée.

Macron, son héritier spirituel, poursuit le même programme de destruction : surveillance, spoliation, dissolution. Les traîtres paient toujours, d’une manière ou d’une autre. Et quand un ancien président subit la haine qu’il a semée, c’est toute la caste mondialiste qui tremble. La France réelle, elle, regarde et comprend : le temps de la revanche approche.

Le cambriolage du Louvre et la mort du patrimoine national

Le braquage du Louvre n’est pas un fait divers : c’est le miroir d’une France sans âme, livrée au chaos. Quand le plus grand musée du monde peut être pillé en plein Paris, c’est la preuve que l’État n’existe plus. Le patrimoine, jadis sacré, n’est plus qu’un butin pour bandes organisées. Et pendant que les trésors du peuple s’envolent, Macron reste silencieux, obsédé par ses jeux de pouvoir et ses discours creux.

Ce cambriolage est une métaphore parfaite : la France se fait cambrioler à ciel ouvert — son or, son histoire, sa dignité. Le Louvre, blessé, devient le symbole d’une nation abandonnée par ses dirigeants, trahie par ses élites, méprisée par ceux qui prétendent la gouverner.

Chaque scandale confirme la même réalité : la République macroniste n’a plus rien de régalien. L’autorité disparaît, la sécurité s’efface, le sacré est profané. Les cathédrales brûlent, les œuvres s’envolent, les symboles s’effondrent. Tout ce que la France a bâti depuis mille ans est livré aux pilleurs, aux vandales, aux financiers.

Le peuple assiste, impuissant, à la disparition de ce qui faisait sa fierté. Macron et ses semblables — Sarkozy, Hollande, les banquiers de Bruxelles — ont remplacé la nation par un marché, le sacré par le vide, la beauté par le chaos. Ce n’est plus du laxisme : c’est une politique de destruction organisée, une guerre culturelle contre l’âme française.

Chaos social et vengeance du peuple réel

La crise sociale n’est plus une menace : elle est là. Macron joue avec la réforme des retraites comme un enfant pervers avec une bombe à retardement. Un jour suspendue, le lendemain reportée, elle n’a qu’un but : maintenir le peuple dans l’incertitude et la peur. Mais la colère gronde. Les travailleurs n’en peuvent plus, les retraités s’appauvrissent, les jeunes fuient.

Le système financier vacille, la dette explose, et la Banque d’Angleterre prévient déjà d’un nouveau cataclysme. Les mêmes responsables qu’en 2008 sont encore aux commandes, et le scénario est identique : les élites se sauveront entre elles, tandis que le peuple paiera la facture. Cette fois, pourtant, la résignation n’est plus là. Les Français voient clair : la “crise” n’est pas un accident, c’est une stratégie.

Et comme si cela ne suffisait pas, le régime prépare la guerre extérieure pour cacher la guerre intérieure. L’État-major parle ouvertement de confrontation avec la Russie, suivant servilement les ordres de l’OTAN. Mais la vraie guerre, celle qui s’annonce, est civile. Elle oppose le peuple enraciné à la caste déracinée. Le pouvoir attise la division, entretient l’immigration de masse, détruit les repères et désarme la nation.

Les élites croient encore pouvoir régner sur les ruines, mais l’Histoire est en marche. Les Français n’oublient rien : ni Sarkozy le fossoyeur, ni Macron le liquidateur. La colère du peuple réel ne s’éteindra plus. Le réveil souverainiste sera brutal — et cette fois, il n’y aura plus de refuge pour les traîtres.