🔥 Les essentiels de cette actualité
- Le 9 juillet à 19h, découvrez Maître Fabrice Di Vizio, Frigide Barjot et Marie Pinsard dans La Grande Émission sur Géopolitique Profonde, animée par Mike Borowski.
- Maître Di Vizio, défenseur des libertés, critique les mesures sanitaires. Frigide Barjot, militante, s’oppose au mariage pour tous et défend la filiation biologique.
- Les médecins trahissent le serment d’Hippocrate en acceptant l’euthanasie, passant de soignants à sélectionneurs de vie.
- L’euthanasie clandestine est déjà pratiquée à l’hôpital sous couvert de « sédations profondes » et de limitations de traitements.
Le 9 juillet à 19h, Maître Fabrice Di Vizio, Frigide Barjot et Marie Pinsard sont les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
Maître Fabrice Di Vizio s’est fait connaître comme un fervent défenseur des libertés individuelles et un opposant aux mesures sanitaires prises par le gouvernement français durant la pandémie de COVID-19. Avocat inscrit au barreau de Paris, il s’est imposé dans le paysage médiatique grâce à ses prises de position audacieuses et sa volonté de contester ce qu’il considère comme des atteintes aux libertés fondamentales.
Frigide Barjot est une humoriste, chroniqueuse et militante française. Elle a été l’une des porte-paroles de la Manif pour tous, opposée au « mariage » des couples de même sexe – qu’elle veut remplacer par une union homosexuelle spécifique – et au changement de filiation en résultant. Elle a ensuite fondé l’association L’Avenir pour tous, qui défend la « filiation biologique » et la « reproduction humaine ».
Marie Pinsard est auteure, juriste, médiéviste et enseignante, engagée pour la souveraineté de la France. Militante assumée du Frexit et proche du mouvement Les Patriotes, elle se revendique « souverainiste, patriote et nazaréenne. » Forte d’une formation en droit et d’une passion profonde pour le Moyen Âge, elle articule dans ses écrits et interventions un regard historique acéré avec une défense farouche des libertés nationales. Son parcours mêle érudition, engagement citoyen et combat pour une France libre face aux dérives globalistes.
Les médecins ont trahi le serment d’Hippocrate
Le serment d’Hippocrate interdit formellement de donner la mort. « Je ne remettrai à personne du poison, si on m’en demande, ni ne prendrai l’initiative d’une pareille suggestion. » Ce serment n’est pas un symbole : c’est un engagement moral absolu.
Aujourd’hui, il est ouvertement bafoué. En acceptant l’idée d’euthanasie, les médecins ne soignent plus, ils sélectionnent. Ils trahissent leur mission première : préserver la vie jusqu’au bout, quelles que soient les circonstances.
Ce reniement ne se cache même plus. On parle de « compassion », de « dignité », mais ces mots sont des masques. Derrière ces formules lisses se cache une réalité glaçante : celle d’un corps médical qui a basculé dans une logique de gestion, d’élimination, de sélection.
Le médecin n’est plus le défenseur de la vie, mais le technicien d’une mort planifiée, acceptée, administrée. Ce n’est plus un soin, c’est un tri. Une rupture éthique sans précédent dans l’histoire de la médecine.
L’euthanasie clandestine existe déjà
Officiellement interdite, l’euthanasie est déjà pratiquée à l’hôpital. Ce sont les fameuses « sédations profondes et continues jusqu’au décès », les « limitations de traitements jugés disproportionnés ». Ce jargon aseptisé est un camouflage.
La vérité est brutale : on arrête de nourrir, d’hydrater, de soigner. On provoque la mort, volontairement, mais sans jamais prononcer le mot interdit. Cette hypocrisie sémantique permet à l’État et aux établissements de santé de tuer sans jamais assumer.
Dans les services, les décisions sont prises dans une opacité totale. Le patient ne choisit plus, il subit. Parfois même sans le savoir. On décide qu’il n’a plus de « qualité de vie ». On cesse les soins, on coupe l’alimentation, on suspend l’hydratation.
La mort survient, lente, silencieuse, provoquée. Et pourtant, aucune loi ne l’autorise. Cette euthanasie de fait est illégale, mais tolérée, encouragée même, parce qu’elle est socialement rentable. Moins de soins, moins de charges, moins de vies à accompagner.
La novlangue mortifère des médias subventionnés
Les promoteurs de la loi et les médias subventionnés ont inventé une langue nouvelle pour faire accepter l’inacceptable. Ils ne parlent jamais d’euthanasie, mais « d’aide à mourir ». Ils évitent les mots « tuer », « supprimer », « interrompre la vie », car ces termes révèlent la violence réelle de l’acte.
À la place, ils utilisent un lexique doucereux : « apaisement », « accompagnement », « respect de la volonté ». Cette novlangue anesthésie la conscience collective, elle empêche toute réaction morale.
Ces médias n’informent plus, ils endorment. Ils ne montrent pas la réalité des fins de vie provoquées, des patients affamés, déshydratés, réduits à l’état végétatif pour « alléger leur souffrance ». Ils fabriquent un récit propre, presque poétique, où la mort devient un soulagement offert avec bienveillance.
Cette propagande langagière n’est pas une maladresse, c’est une stratégie. Il faut rendre la mort désirable, pour que le peuple l’accepte sans se révolter. Derrière chaque mot soigneusement choisi se cache une politique d’élimination assumée.
De la loi encadrée à la dérive généralisée
Chaque loi dite « éthique » commence par des promesses de rigueur et de limites. On nous jure que les conditions seront strictes, les cas rares, les dérives impossibles. C’était déjà le cas avec l’IVG en 1975 : « des cas exceptionnels, pour détresse avérée », disait-on.
Cinquante ans plus tard, l’avortement est devenu un droit fondamental, déconnecté de toute détresse, parfois même pratiqué jusqu’au neuvième mois sous couvert de motif médical. Le même scénario s’écrit aujourd’hui avec l’euthanasie.
La loi sur « l’aide à mourir » est présentée avec mille garde-fous : consentement lucide, maladie incurable, souffrances réfractaires. Mais ces critères sont temporaires. Ils sont là pour faire passer la pilule. Une fois votée, la loi suivra la pente connue : les exceptions deviendront des normes, les conditions seront élargies, les catégories de patients s’étendront.
Bientôt, ce ne seront plus les mourants qui demanderont la mort, mais les déprimés, les solitaires, les dépendants. On élargira l’accès comme on l’a fait pour l’IVG, au nom de la liberté et de l’égalité. C’est une mécanique bien huilée : encadrer pour faire accepter, puis élargir sans retour.
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