🔥 Les essentiels de cette actualité
- Le 29 avril, découvrez le Capitaine Fabre-Bernadac, Christian Cotten et Franck Layré-Cassou en direct sur Géopolitique Profonde, discutant de la mobilisation contre Macron.
- Macron engage la France dans un conflit mondial sans consulter le peuple ni le Parlement, violant ouvertement la Constitution.
- Les généraux et officiers français appellent à un retour au cadre institutionnel, dénonçant la manipulation de l’opinion publique par Macron.
- L’opposition parlementaire reste inerte face aux actions de Macron, trahissant la souveraineté populaire.
Le 29 avril à 19h, le Capitaine Fabre-Bernadac, Christian Cotten et Franck Layré-Cassou sont les invités de Mike Borowski, en direct sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !
Le Capitaine Jean-Pierre Fabre Bernadac est un ancien officier de la gendarmerie française, connu pour ses prises de position critiques vis-à-vis de l’évolution de la société française, notamment sur les questions de sécurité et d’immigration. Il est le président du collectif Place d’Armes, une organisation regroupant d’anciens militaires préoccupés par la direction que prend la France. Ce collectif milite pour une restauration de l’ordre et des valeurs républicaines.
Christian Cotten est un psychosociologue français, il a fondé une entreprise de formation et s’est engagé en politique en créant le parti « Politique de Vie ». Connu pour ses prises de position atypiques, il a notamment accusé George W. Bush de crimes contre l’humanité. En décembre 2024, il dépose une plainte contre Brigitte Macron pour usurpation d’identité.
Franck Layré-Cassou est un personnage public aux multiples facettes. Passionné d’histoire, il est également reconnu comme un fervent napoléonien, ayant publié des ouvrages sur l’Empereur et son influence persistante dans notre quotidien. Sa carrière politique l’a vu candidat sous la bannière de Reconquête! dans la 11ème circonscription de Paris et est aujourd’hui militant au sein du Rassemblement National.
Macron entraîne la France vers un conflit mondial
Emmanuel Macron engage la France sans consulter ni le peuple ni le Parlement. Le président outrepasse toute légitimité constitutionnelle en multipliant les accords militaires, comme celui signé avec l’Ukraine le 16 février 2024. Il installe progressivement un gouvernement de fait, où les décisions majeures se prennent dans l’opacité et l’arrogance. En refusant de soumettre la question à un vote parlementaire, il viole clairement l’article 35 de la Constitution, qui impose cette consultation pour toute intervention prolongée. Le risque n’est plus théorique : il expose directement la nation à un conflit ouvert avec la Russie, une puissance nucléaire.
En minorant délibérément l’ampleur de son engagement, Macron manipule l’opinion publique, évoquant des « missions de formation » pour masquer une intervention militaire déguisée. Le processus d’enrôlement français dans le conflit suit une logique d’engrenage, sans débat démocratique ni consultation populaire. Cette fuite en avant montre que le président considère la souveraineté nationale comme un obstacle et non comme un fondement à respecter.
Face à cette dérive, les généraux et officiers français prennent leurs responsabilités. Par leur appel public, ils rappellent l’urgence d’un retour au cadre institutionnel. Leur message est clair : la France ne doit pas être engagée dans une guerre sans débat, sans consentement, sans vote. Leur courage contraste brutalement avec la lâcheté de nombreuses institutions civiles tétanisées par la crainte de déplaire à l’exécutif.
L’opposition parlementaire : inertie et complicité
Alors que le président viole ouvertement la lettre de la Constitution, l’opposition se contente d’indignations verbales sans suite. Aucune motion de censure sérieuse, aucune initiative forte n’a été portée pour contraindre Emmanuel Macron à respecter l’article 35 ou l’article 53, relatifs aux engagements militaires et internationaux. Cette inertie coupable permet au chef de l’État d’agir sans frein, de signer des engagements militaires lourds dans une quasi-indifférence institutionnelle.
Le rôle du Parlement dans une démocratie est pourtant de contrôler l’exécutif. Or aujourd’hui, le pouvoir législatif abdique face à l’autorité présidentielle. Ce renoncement est d’autant plus grave qu’il se produit sur une question de guerre et de paix, au moment où la France pourrait être entraînée dans un conflit mondial aux conséquences dévastatrices. Ce silence parlementaire n’est pas une simple faiblesse : c’est une trahison de la souveraineté populaire.
Certains députés tentent des actions isolées, mais aucune stratégie cohérente de blocage institutionnel n’a émergé. Face à la gravité des faits, l’absence d’une riposte parlementaire massive équivaut à une forme de complicité. Le président gouverne sans opposition réelle, dans un climat de déresponsabilisation généralisée où les gardiens de la Constitution se sont volontairement rendus invisibles.
L’élimination des voix dissidentes dans l’armée
La radiation du général Coustou symbolise l’éradication méthodique de toute voix discordante dans l’armée. En supprimant l’un des rares généraux ayant osé dénoncer la dérive du pouvoir exécutif, le système envoie un message brutal : aucune dissidence ne sera tolérée. Le général Coustou n’a pas été sanctionné pour faute professionnelle, mais pour avoir rappelé ses obligations constitutionnelles de loyalisme au peuple et non à l’homme qui occupe l’Élysée.
Cette stratégie de neutralisation des opposants vise à verrouiller l’armée, dernier bastion capable d’exiger un respect de la Constitution. Le pouvoir actuel cherche à transformer les forces armées en simples exécutants d’ordres politiques, coupant court à leur rôle de garants de l’intégrité nationale. C’est une rupture historique avec la tradition française d’une armée au service de la nation et non d’un pouvoir personnel.
En écartant méthodiquement toute résistance, Macron impose une transformation du régime français vers une verticalité autoritaire absolue. Chaque voix étouffée est une étape supplémentaire vers un État où la critique, même institutionnelle, devient impossible. La radiation du général Coustou est donc bien plus qu’un règlement de compte : elle acte la volonté de purger l’armée de tout ce qui pourrait rappeler que la France n’est pas censée être gouvernée par la seule volonté d’un homme.
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