🔥 Les essentiels de cette actualité
- Le général André Coustou radié pour avoir critiqué la politique de Macron. Une sanction qui vise à museler les voix dissidentes au sein de l’armée.
- Le pouvoir impose une loi du silence totale, même aux généraux retraités. L’armée française menacée de devenir un outil d’exécution politique.
- La radiation de Coustou est un avertissement aux officiers : toute critique sera punie. Un climat étouffant qui risque de fracturer l’institution militaire.
- Macron gouverne contre les intérêts de la France, trahissant ses élites. Le général Coustou incarne la résistance face à une machine politique destructrice.
Le 26 avril à 12h30, Mike Borowski révèle comment la radiation du général Coustou, héros militaire, cache une purge politique orchestrée par Macron contre ceux qui osent défendre la souveraineté française.
Une sanction politique contre un héros militaire
La radiation du général André Coustou n’est pas un simple acte administratif. C’est une décision politique visant à éliminer une voix qui dérange le pouvoir en place. Officiellement, il est sanctionné pour manquement au devoir de réserve. En réalité, il est puni pour avoir dit tout haut ce que beaucoup pensent tout bas : que la France s’effondre sous le poids de ses dirigeants actuels, et qu’Emmanuel Macron en est l’un des artisans. Son engagement n’est pas une frasque médiatique, mais le cri d’un patriote qui a servi la Nation pendant des décennies.
Ce choix de le radier des cadres de la deuxième section, un statut réservé aux généraux retraités mais mobilisables, vise à l’effacer symboliquement des rangs de l’armée. Macron ne peut tolérer qu’un ancien officier supérieur ose lui contester sa légitimité au nom des intérêts supérieurs de la France. Ce n’est pas un conflit juridique, c’est une purge ciblée contre ceux qui refusent de se plier au silence imposé par le système. Le général Coustou paie le prix fort de son intégrité, de son courage et de sa fidélité à la vérité.
En l’évinçant, le pouvoir macroniste cherche aussi à intimider les autres officiers de haut rang. Le message est limpide : quiconque critique le régime sera écarté, discrédité, et privé de ses droits. Il ne s’agit plus seulement d’imposer une ligne politique, mais d’écraser toute dissidence. La radiation du général Coustou est donc bien plus qu’un fait divers administratif. C’est le symptôme d’un régime autoritaire qui ne supporte plus la contradiction, même venant de ses propres soldats.
L’armée muselée face à la dérive autoritaire
Depuis des années, le pouvoir cherche à verrouiller l’armée pour la transformer en simple outil d’exécution politique. En sanctionnant un général en retraite pour ses propos, le régime macroniste franchit un cap inédit : il impose une loi du silence totale, même aux militaires qui ne sont plus en service actif. Cela transforme l’armée française en une institution paralysée par la peur, où la loyauté à la patrie est remplacée par la soumission au chef de l’État.
La solidarité militaire, cimentée par l’honneur et le sens du devoir, se heurte désormais à un État qui menace ceux qui refusent de courber l’échine. Macron ne veut pas d’une armée forte, indépendante, capable de lui rappeler ses responsabilités. Il veut une armée docile, soumise à ses délires mondialistes et à ses choix idéologiques. La radiation du général Coustou constitue un avertissement déguisé aux officiers encore en activité : toute déviance, même morale, sera punie.
Ce climat étouffant risque de fracturer l’institution militaire elle-même. Nombreux sont ceux, dans les rangs, qui partagent les constats du général Coustou sur l’état du pays : immigration massive, insécurité galopante, déclin économique, perte de souveraineté. En réduisant ces inquiétudes à de simples infractions disciplinaires, le pouvoir nie la légitimité des alertes venues de l’intérieur. Mais cette négation crée une tension insoutenable, une colère silencieuse qui pourrait exploser si elle continue d’être ignorée.
Le macronisme contre la souveraineté nationale
En s’attaquant aux généraux dissidents, Emmanuel Macron confirme qu’il ne gouverne plus au nom de la France, mais contre ses intérêts fondamentaux. La radiation du général Coustou n’est qu’un épisode d’un processus plus vaste : l’effacement des piliers traditionnels de la souveraineté française. L’armée, comme la justice ou l’éducation, est sommée de se soumettre à une idéologie mondialiste, incompatible avec les valeurs de la République.
Le général Coustou a mis en lumière ce que beaucoup n’osent plus dire : la France est en déclin, trahie par ses élites. Pour cela, il est jeté hors des rangs, comme un paria. Mais ce sacrifice révèle l’état de la démocratie française : un système devenu incapable de tolérer la critique, même constructive. En punissant la parole libre d’un homme d’honneur, Macron assume sa rupture avec l’intérêt général. Il ne gouverne plus pour protéger, mais pour contrôler.
Le peuple français ne peut plus fermer les yeux. Chaque sanction contre un homme libre, chaque voix réduite au silence, marque une étape de plus vers la tyrannie assumée. Le général Coustou n’est pas seul. Il incarne une frange de la population lucide, patriote, en résistance face à une machine politique qui détruit les fondations de la nation. En l’écartant, Macron espère faire peur. Mais cette peur peut se retourner contre lui. Car ce n’est pas un homme qui s’est exprimé : c’est la conscience d’un pays qui souffre.
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