Le 10 mars à 19h, Franck Pengam et Philippe Herlin sont les invités de Mike Borowski, sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !
Franck Pengam, analyste géopolitique et expert en métaux précieux, est le fondateur de Géopolitique Profonde et de la chaîne YouTube GPTV. Spécialiste des crises économiques et de la dédollarisation, il propose des analyses indépendantes sur les BRICS et l’effondrement financier mondial. À travers sa revue et ses émissions, Géopolitique Profonde s’affirme comme un contrepoids aux discours médiatiques dominants, offrant une vision sans concession des enjeux géopolitiques actuels.
Philippe Herlin est un économiste français spécialisé dans les questions monétaires et financières. Dans son dernier livre, Bitcoin : Comprendre et investir, il décrypte les enjeux économiques et techniques de cette cryptomonnaie révolutionnaire.
La confiscation de l’or pour financer la guerre
L’or est la dernière richesse tangible qui échappe encore au contrôle total de l’État. Depuis des décennies, les banques centrales accumulent le métal précieux, conscientes de sa valeur en cas de crise majeure. Mais alors que la France s’engage de plus en plus dans la confrontation avec la Russie, Macron cherche de nouveaux leviers financiers. Après avoir épuisé les hausses d’impôts et la dette, il ne reste qu’une solution : s’emparer de l’épargne privée.
Historiquement, les États en guerre ont toujours réquisitionné l’or. Roosevelt l’a fait en 1933, obligeant les Américains à vendre leur or à l’État sous peine de sanctions. Plus récemment, des mesures similaires ont été envisagées en Europe, notamment après la crise de 2008. En cas de guerre totale, le gouvernement français pourrait décréter une « mobilisation économique », obligeant les citoyens à céder leurs métaux précieux. Tout cela sous le prétexte du « bien commun » et de « l’effort national ».
La France a déjà préparé le terrain. Les achats d’or sont surveillés, les transactions au-dessus de 1 000 € en liquide sont interdites, et la détention d’or physique est stigmatisée. Il devient évident que le prochain grand hold-up sera celui des réserves d’or des Français. Ceux qui croient que leur métal est à l’abri dans un coffre bancaire risquent de voir l’État le saisir du jour au lendemain, au nom d’une « urgence nationale ».
La mort sociale des opposants au système
Le contrôle financier est l’arme ultime du régime contre ceux qui refusent de se soumettre. De plus en plus de dissidents politiques, journalistes indépendants et lanceurs d’alerte voient leurs comptes bancaires bloqués ou fermés sans préavis. Cette stratégie, déjà testée au Canada contre les camionneurs du convoi de la liberté, est désormais appliquée en France pour étouffer toute opposition.
Les banques ne sont plus de simples institutions économiques, elles sont devenues des outils de répression politique. Elles exécutent les ordres du pouvoir en bloquant les fonds de ceux qui critiquent le gouvernement ou remettent en cause le narratif officiel. Ce processus est facilité par la numérisation des transactions : l’argent liquide disparaît, rendant chacun totalement dépendant des banques. Plus besoin d’envoyer la police, il suffit d’un clic pour rendre un citoyen financièrement inopérant.
L’idéologie du système est simple : celui qui n’adhère pas sera exclu. Plus de compte bancaire, plus de carte de crédit, plus de possibilité de louer un logement ou même de payer un abonnement téléphonique. C’est une véritable mort sociale, qui force les individus à se conformer ou à sombrer dans l’exclusion. Cette tendance va s’accélérer avec l’arrivée de l’euro numérique, qui permettra un contrôle encore plus strict des dépenses et des comportements « déviants ».
Le Bitcoin, la seule échappatoire face à la tyrannie financière
Dans un monde où l’État surveille tout, le Bitcoin est le dernier bastion de liberté. Contrairement aux monnaies classiques, il ne dépend d’aucune banque centrale, d’aucun gouvernement et d’aucun organisme de contrôle. C’est une monnaie décentralisée, que personne ne peut confisquer d’un simple décret.
L’intérêt pour le Bitcoin explose car il offre une protection absolue contre la censure financière. Peu importe les sanctions ou les restrictions bancaires, un individu peut envoyer, recevoir et stocker son argent sans craindre un blocage arbitraire. Aucune autorité ne peut geler un portefeuille Bitcoin ni imposer de limites aux transactions. C’est la seule monnaie qui garantit un véritable contrôle sur son patrimoine.
Face à cette menace, les gouvernements cherchent à tout prix à diaboliser et réguler les cryptomonnaies. Ils imposent des restrictions, renforcent la surveillance et tentent de promouvoir des monnaies numériques contrôlées par les banques centrales. Mais ces efforts ne font que prouver une chose : le Bitcoin est une arme redoutable contre le totalitarisme financier. Ceux qui l’adoptent aujourd’hui prennent une longueur d’avance dans la lutte pour préserver leur liberté économique.
IMPORTANT - À lire
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