🔥 Les essentiels de cette actualité
- Le 28 avril à 12h30, Nicolas Stoquer décrypte sur Géopolitique Profonde l’ingérence de Macron dans le conclave de 2025. À ne pas manquer !
- Macron tente de barrer la route au cardinal Sarah, défenseur des racines chrétiennes, pour imposer un pape aligné sur les idéaux mondialistes.
- Le conclave de 2025 sera une bataille décisive entre fidélité aux traditions et soumission au progressisme. Les enjeux géopolitiques sont énormes.
Le 28 avril à 12h30, Nicolas Stoquer vous donne rendez-vous pour une émission autour d’un sujet d’actualité brûlant, sur Géopolitique Profonde.
Macron et le conclave 2025 : une ingérence d’État au Vatican
Emmanuel Macron ne cache plus ses ambitions d’intervention dans les affaires spirituelles. Déjà coutumier de l’ingérence en Roumanie ou en Moldavie, il s’attaque désormais au cœur de l’Église catholique en cherchant à influencer le conclave de 2025.
Multipliant les contacts avec les cardinaux français, il tente de barrer la route au cardinal Sarah, figure conservatrice redoutée pour sa défense intransigeante des racines chrétiennes et de l’identité occidentale. Ce positionnement est vu comme un obstacle majeur par les réseaux mondialistes auxquels Macron est ouvertement lié.
La présence insistante du président français auprès de la dépouille du pape François, qualifié de « Pape Franc-Maçon », en dit long sur ses aspirations. En s’opposant frontalement à la candidature de Sarah, Macron entend peser sur l’avenir spirituel mondial, préférant promouvoir un successeur aligné avec les idéaux progressistes et modernistes chers aux élites globalistes.
Cardinal Sarah face aux modernistes : les enjeux du conclave 2025
Le cardinal Robert Sarah incarne une Église fidèle à son enseignement millénaire, à rebours des courants réformateurs qui gangrènent l’institution. Ses positions sans ambiguïté contre le wokisme, le relativisme religieux et l’islamisme tranchent avec la tiédeur ambiante. Soutenu par une large frange de fidèles attachés à la tradition, Sarah représente l’ultime rempart contre la dissolution spirituelle de l’Occident.
À l’opposé, les cardinaux français liés à Macron incarnent une ligne progressiste décidée à poursuivre la mue initiée sous le pontificat de François. Ils privilégient l’ouverture tous azimuts, même au prix d’une dilution doctrinale majeure. Les enjeux sont considérables : au-delà de la seule élection du Pape, c’est l’orientation future de l’Église face aux défis géopolitiques contemporains qui se joue.
Un conclave sous haute tension géopolitique
Les révélations du cardinal Erdö jettent une lumière crue sur les manœuvres d’ingérence en cours. En interférant directement avec les électeurs du conclave, Macron et ses alliés violent l’indépendance spirituelle de l’Église, sacralisée depuis des siècles. Si elles sont confirmées, ces pressions politiques constitueraient un précédent gravissime, ouvrant la porte à une instrumentalisation systématique du Saint-Siège par des puissances temporelles.
Face à ces tentatives de mainmise, l’élection d’un pape comme le cardinal Sarah représenterait une victoire pour l’intégrité doctrinale et la souveraineté spirituelle de l’Église universelle. Ce conclave ne sera pas une simple élection, mais bien une bataille décisive entre fidélité aux racines chrétiennes et soumission au mondialisme idéologique.
IMPORTANT - À lire
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