Macron nous A Déclaré la Guerre il Y A 5 Ans : L’impact Réel du Covid

Le 22 mars à 19h, Ivan Rioufol est l’invité de Nicolas Stoquer dans Le Monde Réel, sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !

Ivan Rioufol est un journaliste et essayiste français, connu pour ses positions conservatrices et souverainistes. Longtemps éditorialiste au Figaro, il s’est illustré par sa critique virulente de l’idéologie progressiste, du politiquement correct et de la pensée unique. Il dénonce régulièrement l’islamisme, l’immigration massive, la perte d’identité nationale et les dérives autoritaires du pouvoir en place. Défenseur d’une liberté d’expression sans concession, Ivan Rioufol incarne une droite intellectuelle assumée, en rupture avec les élites médiatiques dominantes.

La gestion du Covid a installé un état d’exception permanent

Le 17 mars 2020, Emmanuel Macron proclame la fin de la liberté de circuler en France. Prétextant une urgence sanitaire aux projections apocalyptiques, il déclenche un confinement strict, soutenu par une opinion publique tétanisée par la peur. Cette décision marque un basculement fondamental dans l’organisation politique du pays : l’instauration d’un État d’exception permanent, où l’exécutif impose des mesures liberticides sans réel contre-pouvoir. Le Conseil scientifique devient un instrument de légitimation des décisions politiques, transformant la science en outil de gouvernance.

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Les confinements successifs, les couvre-feux arbitraires, le traçage numérique, les attestations de déplacement et la mise à l’écart des « non-vaccinés » constituent une chaîne de mesures inédites dans l’histoire démocratique récente. L’habitude de l’obéissance, induite par la répétition des restrictions, a façonné une population docile, privée de toute capacité à contester rationnellement le discours officiel. Le pouvoir a ainsi ancré dans les mentalités une vision du politique comme gestion de la peur, rendant possible la reconduction automatique de ces dispositifs.

À ce jour, aucun bilan public sérieux n’a été établi sur les conséquences économiques, psychologiques et sanitaires de cette gestion autoritaire. L’État se refuse à reconnaître la surestimation manifeste de la gravité de l’épidémie. Les chiffres annoncés (jusqu’à 500 000 morts) ne se sont jamais matérialisés, mais ont suffi à justifier la suspension des droits fondamentaux. Cette absence de remise en question révèle une volonté claire de maintenir le cadre d’urgence comme mode de gouvernance durable.

La propagande vaccinale a légitimé une ségrégation citoyenne

Le slogan « Tous vaccinés, tous protégés » a été le mantra officiel martelé par le gouvernement et ses relais médiatiques. Ce message, présenté comme une vérité scientifique indiscutable, relève en réalité d’une véritable désinformation d’État. Les données issues des essais cliniques et des observations réelles montrent que les vaccins expérimentaux n’ont jamais garanti ni l’immunité collective, ni l’arrêt de la transmission. Pourtant, c’est sur cette base fausse que s’est construite une ségrégation institutionnalisée entre citoyens.

Le pass sanitaire, puis le pass vaccinal, ont opéré une discrimination systématique. Accès aux lieux publics, à la culture, aux transports : tout a été conditionné à l’adhésion à l’acte médical imposé. Les réfractaires, qualifiés de « complotistes », de « non-solidaires » ou de « dangers publics », ont été traités comme des sous-citoyens. Cette logique de marginalisation a permis au pouvoir d’installer un contrôle social massif, inspiré des méthodes chinoises : surveillance, dénonciation, ostracisme.

Là encore, aucune excuse n’a été formulée par les autorités, malgré les preuves accablantes sur l’inefficacité relative des injections et les effets indésirables majeurs qui ont suivi. La stratégie vaccinale a été imposée par la peur, sous la menace de perdre ses droits les plus élémentaires. Cette propagande n’a pas seulement servi à imposer une mesure sanitaire : elle a redéfini le contrat social, en posant l’obéissance comme critère d’appartenance à la communauté nationale.

La peur, moteur d’un pouvoir en quête de légitimité

Le Covid a permis à Macron de se présenter en chef de guerre, posture qu’il n’a plus quittée depuis. Une fois la menace virale atténuée, une autre peur a pris le relais : celle de « l’extrême droite », utilisée pour disqualifier toute opposition sérieuse au pouvoir. Toute pensée critique, toute remise en cause de la version officielle, est désormais assimilée à un danger politique. Les résistants au narratif dominant sont pathologisés, traités de « radicalisés », de « désinformés », ou de « manipulés par Moscou ».

Cette stratégie vise à maintenir un état de tension permanent, nécessaire à la survie d’un pouvoir affaibli. Macron ne gouverne plus par adhésion populaire, mais par polarisation contrôlée. Les manifestations, les mouvements sociaux, les Gilets jaunes, les critiques médiatiques : tout est intégré dans un récit où le président se présente en dernier rempart contre le chaos. L’éviction de chaînes comme C8 ou NRJ12, l’acharnement contre les voix dissonantes, relèvent d’un verrouillage de l’espace public.

Aujourd’hui, la guerre contre la Russie fournit un nouveau théâtre pour cette logique du conflit perpétuel. Macron hystérise la scène internationale, se pose en leader de l’Europe face à « l’ennemi russe », tout en ignorant les fractures internes du pays. Cette fuite en avant belliciste, déconnectée des intérêts réels des Français, s’inscrit dans la même dynamique que celle de la crise sanitaire : utiliser la peur collective pour renforcer un pouvoir illégitime.

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