Le 27 mars à 12h30, Nicolas Stoquer vous donne rendez-vous pour un direct brûlant sur Géopolitique Profonde.
Le vernis républicain craque. Derrière la façade policée du président français, les zones d’ombre s’épaississent. Entre allégeances bancaires, manipulations étrangères et parcours fulgurant semé de passe-droits, Emmanuel Macron incarne moins un chef d’État qu’un pantin entre les mains de puissances occultes. Candace Owens, Donald Trump, Pressibus, Gaël Giraud : les sources s’accumulent, les accusations convergent.
Un président cerné par les pressions étrangères
Les révélations se succèdent et dessinent un président aux ordres. Donald Trump affirme posséder des documents compromettants sur le couple Macron, évoquant dès 2022 une vulnérabilité stratégique. Plus récemment, Candace Owens va plus loin : elle accuse Israël de faire pression sur Emmanuel Macron pour orienter la position de la France sur le Sahara occidental, au détriment de l’Algérie. Résultat : Paris rompt discrètement avec Alger pour se rallier à Rabat, malgré une relation historiquement sensible.
La soirée du CRIF de 2019 reste dans toutes les mémoires : Francis Kalifat, président du Conseil représentatif des institutions juives de France, brandit littéralement Emmanuel Macron comme un trophée, révélant publiquement la nature du lien de subordination entre l’Élysée et les relais d’influence israéliens en France. Cet épisode illustre à quel point le président français semble captif d’intérêts qui dépassent largement le cadre national.
Mais l’Algérie ne se laisse pas faire. Macron multiplie les gestes d’apaisement, presque de soumission, face à un régime algérien qui, lui aussi, semble détenir des éléments compromettants. Le chef de l’État n’apparaît plus comme un décideur, mais comme un homme ligoté, encadré par les intérêts contradictoires de puissances étrangères, chacune tirant sa ficelle.
Le fantôme des Rothschild et l’ascension arrangée
L’ascension politique et financière de Macron relève du conte de fées, sauf qu’il n’a rien d’innocent. Dès son passage au lycée Henri-IV, tout s’aligne sans obstacle : une entrée à l’ENA sans passer les concours selon certaines sources, un poste d’inspecteur des finances dans des conditions douteuses, puis un passage express et irrégulier chez Rothschild où il devient associé en un temps record. Tout cela alors qu’il est toujours fonctionnaire : une entorse au droit que nul ne relève officiellement.
Macron est un pur produit Rothschild. Gaël Giraud le décrit comme un “porte-flingue” de la dynastie bancaire. Sa politique de la dette, sa défense acharnée de l’Union européenne technocratique et des marchés financiers, ne servent qu’un but : faire fructifier le pouvoir tentaculaire de ses mentors. À ce stade, il ne s’agit plus de simples influences, mais d’un lien organique, presque familial.
Hypothèses ultimes : sang, manipulation et double vie
La biographie d’Emmanuel Macron est un champ de mines. Loin d’être transparent, son passé pullule de zones grises, d’omissions, de reconstructions. Certains sites comme Pressibus vont jusqu’à évoquer une parenté directe avec la dynastie Rothschild, renforçant la thèse d’une “carrière programmée”. Cette piste, jugée farfelue il y a peu, regagne en crédibilité à mesure que les éléments se recoupent.
À cela s’ajoute la piste MK Ultra. Macron, par son comportement, son regard absent, sa soumission constante à des agendas étrangers, donne l’image d’un individu conditionné, façonné pour un rôle prédéfini. Même son couple semble artificiel, tant les incohérences entourant Brigitte Macron s’accumulent. Entre ambiguïtés sexuelles, manipulations identitaires et secrets de famille, le tableau devient celui d’un président artificiel, construit de toutes pièces, et désormais aux mains de ses créateurs.
IMPORTANT - À lire
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