🔥 Les essentiels de cette actualité
- Découvrez l’impact de l’ère industrielle sur les combattants avec Sylvain Ferreira, historien militaire et auteur de « La bataille de Marioupol ».
- Le Général de Richoufftz présente son programme « Permis, Sport, Emploi » ayant permis à 2000 jeunes de retrouver un emploi et un sentiment d’appartenance.
- Le Capitaine Gérard Hardy, vice-président de Place d’Armes, défend les valeurs républicaines et la souveraineté française grâce à son expérience militaire.
Le 29 avril à 7h, Sylvain Ferreira, le Général Emmanuel de Richoufftz et le Capitaine Gérard Hardy sont les invités de Nicolas Stoquer, en direct dans La Matinale de Géopolitique Profonde !
Retrouvez Sylvain Ferreira à 7h30, suivi du Général de Richoufftz et du Capitaine Gérard Hardy à 9h !
Sylvain Ferreira est un historien militaire français, spécialisé dans l’art de la guerre et son évolution de 1850 à 1945. Il s’intéresse particulièrement à l’impact de l’ère industrielle sur les combattants et a contribué à plusieurs revues d’histoire militaire. Auteur et concepteur de jeux de stratégie, il a récemment publié La bataille de Marioupol : 25 février – 20 mai 2022.
Le Général de Richoufftz, surnommé le « général des banlieues », s’est fait connaître pour son approche innovante visant à réintégrer les jeunes issus de l’immigration dans la société française. Auteur du livre « France Sécessionniste : Que faire ? », il a mis en place un programme intitulé « Permis, Sport, Emploi », permettant à plus de 2000 jeunes de retrouver un emploi et un sentiment d’appartenance nationale. Ce programme repose sur un partenariat public/privé mobilisant des ressources locales pendant six mois. Grâce à cette initiative, il a réussi à offrir une alternative aux jeunes tentés par la criminalité, prônant ainsi l’inclusion par l’effort collectif.
Le Capitaine Gérard Hardy, vice-président du collectif Place d’Armes, est un ancien officier de l’armée française ayant servi avec distinction au sein des forces armées. Fort de son expérience militaire, il s’est investi dans des causes touchant à la sécurité et à la souveraineté de la France. Son engagement au sein de Place d’Armes reflète une volonté de rassembler les anciens militaires autour de questions cruciales telles que la défense des valeurs républicaines, la préservation de l’identité nationale et la lutte contre la montée de l’insécurité.
L’échec total de Macron et de son agenda mondialiste
Emmanuel Macron symbolise aujourd’hui l’échec historique du projet mondialiste imposé par les oligarques financiers qui l’ont propulsé à l’Élysée. Dans tous les domaines — politique étrangère, économique, sociale — les résultats sont catastrophiques. Loin de défendre la souveraineté nationale, il agit en simple exécutant d’intérêts étrangers, trahissant ainsi le peuple français au profit d’une idéologie sans racines. Loin d’amortir les crises, ses décisions les aggravent méthodiquement, enfonçant la France dans une spirale de déclin.
La situation sur le front ukrainien illustre l’impasse dans laquelle Macron a précipité la France et l’Europe. L’armée ukrainienne, pourtant soutenue massivement par l’OTAN, accumule les revers militaires. Chaque jour qui passe renforce la position russe et affaiblit davantage l’Occident, sans que le pouvoir français n’ose remettre en cause son dogme. Macron, en fidèle serviteur des néoconservateurs américains, pousse l’Europe vers une guerre totale contre la Russie, une guerre que personne ne peut ni gagner ni justifier face à la réalité géopolitique.
L’échec est tout aussi flagrant en Afrique. En République Démocratique du Congo, comme ailleurs sur le continent, la France recule face aux puissances émergentes. Ses anciennes positions d’influence s’effondrent sous les coups conjugués des rivalités géostratégiques et du rejet populaire. En poursuivant des interventions déconnectées des intérêts français, Macron isole encore davantage la France, entachant son image et sacrifiant ce qui restait de son prestige diplomatique sur la scène mondiale.
La France intérieure au bord de l’implosion
La crise intérieure atteint aujourd’hui un seuil critique. Le tissu social français est ravagé par l’insécurité, l’immigration incontrôlée, et la désindustrialisation accélérée. Le climat est explosif dans de nombreux territoires, en particulier dans les banlieues où l’État a abandonné tout semblant d’autorité. Le Général de Richoufftz, figure respectée pour son engagement sur le terrain, n’a cessé de prévenir du risque imminent de guerre civile si rien n’était entrepris pour restaurer l’ordre et l’identité nationale.
La fracture sociale ne cesse de s’approfondir. D’un côté, une élite hors-sol accumule les privilèges ; de l’autre, une majorité de Français voit ses conditions de vie se dégrader inexorablement. Gérard Hardy et l’organisation Place d’Armes incarnent cette résistance lucide qui exige le retour au respect de la Constitution et la défense de l’intérêt national. Leur mobilisation démontre que la prise de conscience s’élargit, malgré la chape de plomb médiatique.
Face à cette situation dramatique, le pouvoir macronien multiplie les mesures autoritaires. Répression policière contre les opposants, instrumentalisation de la justice, surveillance accrue des citoyens : tout est mis en œuvre pour faire taire ceux qui refusent la destruction programmée de la France. Pourtant, jamais le rejet du pouvoir en place n’a été aussi massif. Cette colère populaire, longtemps contenue, est aujourd’hui prête à déborder, rendant l’effondrement du régime inéluctable si une alternative crédible n’émerge pas rapidement.
L’armée, ultime espoir face à la dérive
L’armée française demeure l’ultime rempart contre la dissolution de la Nation. Institution encore respectée par une majorité de citoyens, elle porte la lourde responsabilité de défendre non seulement le territoire, mais aussi la légalité républicaine bafouée par un président hors de contrôle. En refusant d’obéir à des ordres contraires aux intérêts fondamentaux de la France, l’armée pourrait stopper la machine infernale et ouvrir la voie à un redressement national.
Le moment est historique. Les militaires, en tant que serviteurs de la France éternelle, doivent choisir : servir un pouvoir illégitime ou se ranger du côté du peuple et de l’intérêt supérieur de la Nation. La lettre des généraux aux parlementaires n’est pas un appel anodin : elle constitue un avertissement solennel adressé à un régime devenu illégal par sa pratique continue de la violation du droit constitutionnel.
Si l’armée décide d’agir, elle disposera du soutien populaire. Les Français n’attendent plus que des actes concrets pour mettre fin à la trahison des élites. Il ne s’agit pas d’un coup d’État mais d’un retour au respect des lois fondamentales et à la souveraineté populaire. Macron, en s’enfermant dans son aventurisme guerrier et son mépris des institutions, a lui-même ouvert la voie à une réaction légitime. L’histoire jugera ceux qui, par leur courage ou leur lâcheté, auront déterminé le destin de la France pour les décennies à venir.
IMPORTANT - À lire
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