Le 8 décembre à 9h, Roland Hureaux et Raphaël Besliu sont les invités de Nicolas Stoquer, sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !
Roland Hureaux est un essayiste, haut fonctionnaire et homme politique français. Il est diplômé de l’École normale supérieure de Saint-Cloud, de l’Institut d’études politiques de Paris, et ancien élève de l’ENA. Il a occupé divers postes administratifs et diplomatiques, notamment à la DATAR et en Tanzanie. Engagé dans les mouvements souverainistes et gaullistes, il a également travaillé avec des figures politiques telles que Philippe Séguin et Édouard Balladur. Il est auteur du livre « L’homme qui n’aimait pas la France » des Édition de Paris.
La loi Macron, un cheval de Troie destructeur
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Emmanuel Macron, en tant que ministre de l’Économie sous François Hollande, détruit méthodiquement les bases de l’économie française. La loi Macron, présentée comme une réforme « modernisatrice », n’est rien d’autre qu’un cheval de Troie pour démanteler les protections nationales au profit des multinationales. En libéralisant à outrance, il écrase les PME françaises et ouvre la voie à une concurrence déloyale qui fragilise des millions d’emplois. L’objectif est clair, il veut soumettre l’économie française aux exigences des élites financières européennes et internationales.
Le scandale Alstom illustre parfaitement cette trahison. Macron orchestre la vente d’un fleuron stratégique à General Electric, livrant un secteur clé de l’énergie et de la défense française aux mains des Américains. C’est une abdication totale de la souveraineté industrielle. Loin de défendre les intérêts nationaux, Macron agit comme un agent des grandes puissances étrangères, sacrifiant les capacités stratégiques du pays pour les élites mondialistes.
En alignant la politique économique française sur les dogmes de Bruxelles, Macron prive la France de toute indépendance budgétaire. Ses réformes ne profitent qu’à une élite économique et étranglent les classes populaires et moyennes. Il affaiblit l’économie réelle tout en accélérant la désindustrialisation.
Une dictature de la pensée
Devenu président, Emmanuel Macron ne cache plus son agenda destructeur. Il promeut ouvertement une idéologie woke qui attaque les fondements de la civilisation française. À travers l’État, les médias et les institutions, Macron impose une rééducation morale massive, où la France est accusée de racisme systémique, de colonialisme et d’islamophobie. Toute critique de cette idéologie est systématiquement criminalisée ou censurée et plonge le débat public dans une dictature de la pensée.
Simultanément, Macron applique une politique sociale qui écrase la classe moyenne, véritable colonne vertébrale du pays. Par des taxes et des prélèvements record, il appauvrit ceux qui travaillent et investissent, tout en généralisant un système d’assistanat qui fabrique une société de dépendance. Les classes moyennes, accusées d’incarner des valeurs nationales, religieuses et civilisationnelles, deviennent la cible privilégiée de son mépris.
Les révoltes des gilets jaunes ne sont pas un accident. Elles sont le rejet massif d’un président arrogant, déconnecté et hostile à son peuple. Face à cette révolte légitime, Macron choisit la répression brutale et le mépris institutionnel, prouvant qu’il gouverne pour une petite élite mondialisée, contre l’immense majorité des Français. Son mandat ne se résume pas à des erreurs de gestion, il s’agit d’une véritable entreprise de démolition sociale et identitaire.
Déconstruire la France, l’aveu glaçant de Macron
Emmanuel Macron agit comme un agent dévoué du projet euro-mondialiste, visant à détruire la souveraineté française. Lors de son déplacement à Washington, il l’avoue sans détour : son ambition est de « déconstruire la France ». Cette phrase, loin d’être une simple provocation, résume son programme politique. Macron veut effacer l’État-nation pour le remplacer par un modèle supranational dominé par des technocrates bruxellois et des multinationales globalistes.
Sous sa présidence, la France est méthodiquement affaiblie sur la scène internationale. Les décisions stratégiques ne sont plus prises à Paris, mais à Bruxelles ou Washington. Macron aligne la politique étrangère française sur les intérêts américains et européens, trahissant l’héritage gaulliste d’indépendance nationale. La voix de la France disparaît dans les grandes négociations mondiales, que ce soit sur les questions climatiques, économiques ou géopolitiques.
Macron ne gouverne pas pour la France, il gouverne contre elle. En dévalorisant la culture, en stigmatisant l’histoire, en désarmant l’armée, en favorisant l’immigration massive, il détruit les fondements mêmes de l’identité nationale. Son projet est clair, il cherche à intégrer la France dans un vaste ensemble uniformisé, où les nations n’existent plus. C’est une politique d’effacement pur et simple.
En sacrifiant l’indépendance économique, en réprimant les aspirations populaires, et en imposant une idéologie hostile aux valeurs civilisationnelles, Macron précipite la désintégration de la France. Il n’est pas seulement un président impopulaire, il est le symbole vivant de la destruction programmée de la nation française.
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