Le 26 septembre à 12h30, Mike Borowski dévoile comment Paul Amar confirme que Macron agit sous l’emprise des Rothschild et que les guerres du Liban, de la Syrie et de Gaza répondent aux intérêts des banques, en direct sur Géopolitique Profonde.
Macron serviteur des banques
Emmanuel Macron n’a jamais été un homme politique autonome, mais un employé recyclé de la haute finance. Son entrée en politique a été organisée par les réseaux liés à Rothschild, qui ont façonné son ascension jusqu’à l’Élysée. Les réformes qu’il a imposées – casse du Code du travail, privatisations, soumission totale aux directives de Bruxelles – traduisent fidèlement les intérêts du capital financier. Ce n’est pas un hasard si toutes ses grandes décisions favorisent systématiquement les banques et les multinationales : hausse des impôts indirects sur les Français modestes, allègement fiscal pour les grands groupes, alignement sur les diktats de l’Union européenne. Macron ne gouverne pas, il exécute. Derrière son image de modernité, il n’est qu’un produit du système, mis en place pour prolonger l’emprise de la finance mondiale sur la France.
Paul Amar vient confirmer cette évidence. Sa parole est essentielle car elle vient d’un journaliste du mainstream, donc du cœur de l’appareil médiatique qui d’ordinaire couvre ces vérités. Lorsqu’un homme comme lui déclare ouvertement que Macron est lié à Rothschild, le masque tombe. On n’est plus dans le « complotisme », mais dans la constatation brute d’un fait : le président de la République n’est qu’un agent d’intérêts privés, détaché de toute souveraineté nationale. La dénonciation ne vient plus seulement des médias alternatifs, mais du système lui-même qui laisse échapper ses fissures. Cela signifie que la crise de légitimité est totale : même les relais du pouvoir ne parviennent plus à cacher la réalité.
Le rôle du Moyen Orient
Le Liban, la Syrie et Gaza constituent des terrains où l’ingérence des multinationales et des banques est flagrante. Chaque guerre, chaque déstabilisation répond à une logique économique et financière : contrôle des ressources énergétiques, domination des routes commerciales, affaiblissement des États récalcitrants. Macron, fidèle serviteur de ses commanditaires, se plie à cet agenda. Son activisme diplomatique dans la région n’a rien à voir avec une stratégie française souveraine. Il applique la feuille de route des intérêts transnationaux qui exigent chaos, fragmentation et pillage. En obéissant à ces directives, il a transformé la diplomatie française en simple relais de l’OTAN et des cartels financiers.
Paul Amar l’a explicitement rappelé : ces théâtres d’opérations sont des demandes des banques et des multinationales. Quand un homme issu du système médiatique dit cela, c’est que l’évidence est devenue trop massive pour être dissimulée. La destruction du Moyen-Orient n’est pas une erreur de stratégie mais une entreprise planifiée. Derrière chaque bombardement, derrière chaque déplacement de population, on retrouve les profits des grands groupes de l’énergie, de l’armement, de la reconstruction. Macron est l’agent local de ce processus. Il a troqué les intérêts de la France contre la servitude aux Rothschild et à leurs semblables.
Le plan de l Etat profond
L’État profond a un objectif clair : dissoudre les souverainetés nationales au profit d’un pouvoir global financier. Macron est l’un de ses instruments les plus dociles en Europe. Son rôle est de casser toute résistance française, qu’elle soit sociale, économique ou culturelle. Les Gilets jaunes ont été réprimés avec une brutalité inédite, preuve que le pouvoir macronien n’est pas au service du peuple mais au service d’un ordre oligarchique. Son alignement total sur l’OTAN et sa soumission à Bruxelles traduisent cette stratégie d’effacement de la nation. Le président français n’est plus qu’un gouverneur nommé par les banques pour administrer un territoire devenu colonie.
En révélant ces vérités, Paul Amar ouvre une brèche. Si même les voix du système commencent à lâcher Macron, cela signifie que son rôle de marionnette est désormais trop visible. L’État profond prépare déjà sa relève, un autre pantin formaté pour poursuivre la même politique. Macron n’est qu’un rouage interchangeable d’une machine qui dépasse sa personne. Le plan des banques est limpide : imposer leur pouvoir sans limite, faire taire toute opposition, et transformer les peuples en masses dociles. La seule réponse possible est le réveil souverainiste et le rejet total de cette marionnette des Rothschild.
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